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Notes sur le tag : james sacré
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Dernières notes
James Sacré, Un paradis de poussière (note de lecture)
James Sacré voyage en s'installant dans une région : il la parcourt sans hâte, observe les paysages, les manières de vivre de se déplacer et d'habiter les lieux, le travail des hommes, et il se nourrit avec les uns et les autres. Ce n'est pas dire qu' Un Paradis de poussières serait un ouvrage d'ethnologue..., c'est bien un livre de poète, construit avec une...
Publié le 23/11/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
James Sacré, D'autres vanités d'écriture
À propos du lyrisme Le lyrisme : ou l’histoire de la poésie à travers des confusions de formes...
Publié le 28/10/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
James Sacré, Portrait du père en travers du temps
Me promenant dans Pertuis Je pense à mon père sans trop imaginer Aucun de ses gestes ni même son visage Les rues de la vieille ville s’en vont Sans qu’on sache trop où, Mais ça n’est jamais si loin, jusqu’à Par exemple un lavoir ou telle petite place de l’Ange Avec une belle fontaine vivante et d’anciennes façades Maisons du seizième siècle, naguère (on le...
Publié le 07/08/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
Trois anciens poèmes mis ensemble pour lui redire je t’aime, de James Sacré
Le sexe rose et roux veille dans les jambes longues C'est cela la lumière du visage; la hanche dessine autour le voulume doux, le renflement du ventre Le coeur du violencelle est noir! Oh! mes broussailles, mes vipères! et l'argile! Extraits de La femme et le violoncelle Passage d'une pluie sur...
Publié le 08/07/2011 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...
Une fin d’après-midi à Marrakech, de James Sacré
On sait que c’est la cuisine à cause des légumes et des fruits qui sont dans un carton ça fait un coin de couleurs comme quelqu’un qui montrerait d’un coup son cœur et son désir avec beaucoup de simplicité violente. Des piments rouges, des oranges. Le mot vivre dans la grisaille et le silence de cette maison pauvre, le silence. Un coin de cuisine, aussi bien l’endroit du...
Publié le 15/06/2011 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...
James Sacré, Une petite fille silencieuse
À côté des iris sans fleurs ...
Publié le 04/05/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
La petite herbe des mots, de James Sacré
On peut croire qu'un souvenir Creuse la couleur du mot bleu, à force Il en reste plus rien, du bleu ; Et du souvenir pas plus. Qu'est-ce qu'on raconte ?" "Une ancienne cour que l'enfance a fermée Si t'ouvres le portail Quelques mots reviendront, pas grand-chose. La couleur d'autrefois c'est pareil qu'aujourd'hui, presque : De la tôle toute neuve, mais quand même...
Publié le 30/03/2011 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...
James Sacré, Anacoluptères
Une tellement courte collection que depuis c’est tout parti en poussière, fines pattes cassées, débris d’élytres qui brillent encore. Depuis si beau temps d’en allée dans les prés : la grande herbe se cloutait de buprestes dans la douceur de la flouve et des scabieuses. Comme des bijoux dans le foin d’un corps nu. À quoi t’as rêvé sans savoir. Tout ça que tu disposais dans la...
Publié le 28/03/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
Extraits d'America Solitudes, de James Sacré
Un volume de nuée (comme une dorne tendue) Mélange du rouge et du bleu dans le sombre de la nuit venue Au-dessus du Rio Grande entre Bernalillo et Albuquerque. On pourrait se demander si c’est à cause de l’éclairage urbain Ou s’il s’agit des couleurs d’un orage contenu. Le Rio Grande à des endroits n’est plus Que de longues flaques d’eau...
Publié le 06/12/2010 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...
Paysages (3), de James Sacré
Il y a toute cette floraison des églantiers qui donne aux buissons, à la masse de verdure qui descend là devant mes yeux jusqu’aux régularités fin peignées des jardins, une fragilité presque envolée, à la fois des pétales trop vite presque défaits dès que s’ouvrent les fleurs, et de la finesse un peu jetée en l’air de brins de feuillage épineux… qui donne aussi à tout ce vert et à la fin...
Publié le 19/10/2010 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...
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