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Notes sur le tag : jacques roubaud

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Dernières notes

Jacques Roubaud, La pluralité des mondes de Lewis

                      Plénitude   tout ce qu’un monde pourrait être, n’importe quoi est quelque part, en quelque façon. plénitude des possibles, consistance. n’importe quelle tête parlante, la mienne, par exemple, contiguë à mon corps et pourquoi non contre mon visage, le visage d’ange, le noir visage...

Publié le 03/12/2023 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Jacques Roubaud, C et autre poésie

Nuit puis jour à Paris   val urbain cousu d’oisons brun noir    noircir fut doux     plus tard un air froid par l’afflux sourd du matin aux maisons tordit son azur prison sous un pont pour chalands (glu d’un tourbillon)     l’or inclus dans l’ourcq parut sans raison   alors dut d’un blanc...

Publié le 13/05/2023 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Jacques Roubaud, C et autre poésie

                 Présent   On n’écrit plus au passé. Il paraîtrait Le temps des dominateurs du monde devoir être Le présent. L’imparfait est solipsiste Nominatif. Qu’un langue dérive en autre   N’étonne pas. La langue du bel aujourd’hui Est statistique spasmodique : téléphones Portables dans vos mains...

Publié le 12/05/2023 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Jacques Roubaud, Strophes reverdie

49 Qui ne veut plus savoir ce qui se passe   Arrête ta mémoire Personne ne viendra Conclure cette histoire Ni du cœur ni du bras Tu ne tireras gloire   50 Plaine perdue   Je me suis élongué longtemps Dans l’herbe arasée de la plaine Au loin vont les collines molles Tout ce que j’étais je l’étais Mais tout ce qui viendra n’est rien...

Publié le 21/05/2020 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Le TRAVAIL de Jacques ROUBAUD

  Pangmur le blanc et moi avons chacun notre métier son esprit pense à sa chasse et moi je pense à la mienne   Je préfère à toute gloire la paix de mon livre, chant du savoir et lui qui ne m'envie jamais aime son métier enfantin   Parfois après une lutte terrible une souris tombe en son pouvoir et moi je prends dans mon filet un mot...

Publié le 26/11/2018 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...

Jacques ROUBAUD et le MONDE

  que faire d'un monde qu'on ne dit pas   dont nul n'a su ne sait rien dire, rien   pas un détail, pas une occurrence particulière accrochée à une description   un monde d'une généralité si extrême   que l'unique, le sans répétition, y est abrogé   dès l'instant que personne ne peut comprendre   dont personne dans sa...

Publié le 16/10/2018 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...

Le BEAU selon Jacques ROUBAUD

  ...   je le savais, je m'en souviens, il faisait beau,   de la beauté de l'air qui ne dit rien   pose les heures dans nos mains, et s'en va.   ...   Jacques ROUBAUD , La pluralité des mondes de Lewis, Gallimard, 1981    

Publié le 12/10/2018 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...

Jacques Roubaud, Autobiographie chapitre dix

                                  Évolution   primate de savane sèche, bipède autrefois omnivore, opportuniste, malin et prudent, j’ai été gagné par la crainte en même temps que par la conscience.   Jadis, je m’en souviens, mon cadre naturel était l’herbe plantée de très peu d’arbres...

Publié le 01/12/2017 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Tom Raworth (1938-2017), Penser un titre

           Penser un titre   plus tard elle lui marcherait sur les pieds en dormant jusqu’au bord de l’inspiration les ongles vernis arrêtés au milieu d’une phrase négligeant — méprisant la courbe légendaire des étoiles élaborant des stratagèmes rétrécissait dans sa tête jusqu’à emplir le jour créant une illusion la...

Publié le 22/02/2017 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

En feuilletant Jacques Roubaud

   Je ne suis pas particulièrement spécialiste de l'Oulipo, même si j'ai une grande admiration pour Queneau ou Georges Perec. Je crois que leur grandeur réside entre autres dans le fait qu'on peut les lire sans être trop conscient de la contrainte  oulipienne qui est à la source de leur inspiration. Je viens d'en faire l'expérience, à nouveau, avec un autre grand...

Publié le 26/05/2016 dans Le blog de... par Jacques-Emile Miriel | Lire la suite...

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