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Notes sur le tag : roman

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Dernières notes

Locédia, éphémère (60)

Locédia, pourquoi n'ont-ils pas encore fermé tes yeux, ces yeux inertes que tu tiens ouverts désespérément vers le lit, sous le lit vers lequel sont tendus tes bras, comme un geste rituel esquissé, mais que tu n'aurais pas osé accomplir complètement, comme un sacrilège ébauché. _ Monsieur le commissaire, je vais vous expliquer… Je parle à un crâne arrondi, à des cheveux noirs que...

Publié le 19/02/2020 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Aribado à-n-Avignoun au debut dóu vinten siècle

Arrivée à-n-Avignon au début du vingtième siècle Arrival in Avignon at the beginning of the twentieth century Péladan - "Les dévotes d'Avignon" - Aux Éditeurs Associés - 1922.

Publié le 19/02/2020 dans │ˉˉˉˉ│∩│ˉˉˉˉ... par Avignon | Lire la suite...

Locédia, éphémère (59)

J'apercevais aussi, dans la glace piquetée de l'armoire, le lit anodin au pied duquel était étendu le corps de Locédia, un de ces lits recouvert d'un couvre-lit saumon comme on en rencontre dans toutes les chambres de passage. Les murs vides n'étaient rompus dans leur symétrie que par le lavabo en coin, une penderie et une armoire à glace. La veille, le nez enfoui dans le vallonnement créé...

Publié le 15/02/2020 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Le Questionnaire d’Ernst von Salomon, ode à l’indépendance d’esprit, par Oscar Dassetto

Photographie (détail) de Juan Asensio. Ernst von Salomon est né en 1902 en Allemagne, où il est mort en 1972. Il est l’auteur d’une quinzaine de romans (qui ne semblent pas tous avoir été traduits en français) d’inspiration autobiographique. Quand von Salomon publie Le Questionnaire (1) en 1951 (son premier roman après-guerre) chez son éditeur historique, Rowohlt, sa...

Publié le 07/02/2020 dans STALKER -... par Juan Asensio | Lire la suite...

Locédia, éphémère (56)

Lorsque tu seras vieille, que tes cheveux auront blanchis et que je n'aurai plus dans le regard la fraicheur de ton visage, je te rencontrerai à nouveau. Salons de fausses boiseries, lustres de verre. J'errais à ta rencontre. Murs de marbre rose, en colonnes arrondies, immenses, sans profondeur. Longues glaces encadrées de moulures de plâtre doré qui multipliaient à l'infini la foule des...

Publié le 03/02/2020 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Locédia, éphémère (55)

Tu t'étais levée et venais saluer quelques personnes à côté de moi. Je ne sais plus qui était assise à ma droite, une de ces femmes poudrées et édentées à l'allure de fin de race, mais j'ai encore le souvenir de ton bras nu tendu vers moi, devant moi, lentement, avec insistance, au dessus duquel luisaient les lueurs des chandeliers de la table et les visages animés des convives. Puis, avec un...

Publié le 30/01/2020 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Les Bouquinales

Les Bouquinales d 'Hazebrouck approchent à grand pas.  Un rendez-vous à ne pas manquer ce week-end.  Vous pourrez m 'y retrouver,  en compagnie d autres auteurs  durant ces deux jours. 

Publié le 13/01/2020 dans PLUME AU... par PRALINE | Lire la suite...

Locédia, éphémère (49)

12   Retour dans la vie qui pétille et s’offre à l’être en dehors de toute arrière pensée. Reprise du travail passionnément, malgré un climat maussade. La pluie rouge descend du ciel, appauvrissant le paysage d’une couleur brique, d’une poussière pourpre qui pénètre sous les portes et vient jusque dans les lits, les couvrant d’une fine pellicule. Je te voyais déjà dans ta chambre,...

Publié le 07/01/2020 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Locédia, éphémère (48)

En approchant du bas de l’immeuble, nous pénétrâmes dans la partie réservée aux gros requins, monstres gracieux à la bouche fendue. Un scaphandrier, revêtu de plaques de fer, les nourrissait au bout d’une immense fourchette. A tour de rôle, chacun des requins venaient prendre les poissons plats qui leur servaient de nourriture, sortes de boursouflures jaunâtres qui ouvraient la bouche de...

Publié le 03/01/2020 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

À la recherche de Gérard de Villiers

Comment définir Mais rien ne vient (éd. Du Rocher), le premier roman de Julien Moraux ? Hommage aux "romans de gare" de Gérard de Villiers ? Polar psychédélique dopé aux amphétamines ? Réflexion et autofiction sur la difficulté d’être écrivain ? Ou bien encore, comme je l’ai lu sur la page Facebook de l’auteur , " la plus atroce et la plus merveilleuse des fictions sur l’alcoolisme...

Publié le 26/12/2019 dans Bla Bla Blog par Bruno Chiron | Lire la suite...

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