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Notes sur le tag : poème

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Dernières notes

JONI ET JAMES

Joni le regardait en chantant Devant la foule silencieuse Son flot de paroles émouvant La rendait plus merveilleuse James la regardait en chantant Son piano jouait les accords Sa voix de velours répondant Sans faire plus d'efforts La foule silencieuse écoutait Espérant que par magie ce moment Ne s'arrêterait plus jamais Après les applaudissements En communion avec...

Publié le 20/06/2009 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

NOUVEAU RECUEIL DE POEMES: ”Paysages. A mon mari”

                                                                 Reprenant...

Publié le 16/06/2009 dans Laura... par laura | Lire la suite...

CLAMEURS NOMADES

Francesca Y. Caroutch   Éditions du Cygne.   ISBN : 978-2-84924-139-4 13 x 20 cm 92 pages 12,00 € La poésie de Francesca Y. Caroutch permet la jonction de l'altitude la plus vertigineuse avec le corps dans ce qu'il a de plus temporel, d'instantané et de tellurique donc de plus abyssal. C'est à travers lui que la...

Publié le 08/06/2009 dans Incertain... par Incertain Regard | Lire la suite...

LA MORT DU POETE

La mort du poète symbolise celle de l'homme car il n'y a pas d'humanité concevable sans poésie. Enténébré, autant qu'anesthésié, dans les villes que qualifiait déjà Verhaeren de tentaculaires , captif d'un treillis arachnéen de barbelés, avili par le despotisme de nabots ignares et les écrans de la propagande, victime et coauteur à la fois du suicide collectif, l'être humain tétanisé...

Publié le 05/06/2009 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

A PARIS comme A MEXICO

A PARIS comme à MEXICO A ANVERS comme à AJACCIO A SAINT LO comme à BORNEO A COLOGNE comme à MONACO Des pianos jouent des allegro Des pianos jouent fortissimo Des pianos jouent des concerto Et la foule lance des bravo ! Et moi je suis heureuse Car je suis bien paresseuse Je suis ensorceleuse Et devient cajoleuse.  

Publié le 31/05/2009 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

FRAGMENTS (2)

Gérard Paris   La Porte, Laon . Gérard Paris refuse qu’on en reste au rien même si il y a une grande limpidité à croire ne plus être. Mais cela s’appelle renoncer, être « sans âme, mutilé à jamais ». Et même si dans le rien l’être croit peser de tout son poids il faut franchir les limites et rejoindre cette dimension quasi sacrée où le mot n’est...

Publié le 22/05/2009 dans Incertain... par Incertain Regard | Lire la suite...

Ivresse :

Il ne faudrait pas que tu me blesses Ni que je m’affaiblisse Si je pars sans laisser d’adresse C’est pour que mon cœur se hisse En haut,   tout en haut de mes faiblesses Il y a ton corps comme une caresse Une caresse d’où je glisse avec délice Chercher le vice comme un réflexe Des...

Publié le 19/05/2009 dans ” L'Art est... par VALERIE BERGMANN | Lire la suite...

poème à nous

Poeme à nous (Peut-on croire que l'amour vient à notre porte, pour nous dire je t'aime ?) franck.

Publié le 17/05/2009 dans Les songes... par Kraly | Lire la suite...

COMME UN VERRE DE VIN

Un poème est comme un verre de vin au début d'un repas. (E. LEROY)

Publié le 06/05/2009 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

La Muse :

  La Muse ment et cela depuis tous temps Abuse de son pouvoir, éclairée   par la lumière du soir Susurre des palabres depuis le firmament Pour voir s’ouvrir les roses épineuses de la beauté rare Avant d’ouvrir un grand écart de litotes de gare De son âme, on ne voit que le bleu camaïeu De nos écrits on ne sent que le mélo sur fond creux Qu’elle...

Publié le 05/05/2009 dans ” L'Art est... par VALERIE BERGMANN | Lire la suite...

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