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Notes sur le tag : poème

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Dernières notes

AVENIR

La fille aux cheveux d'or La nuit quand elle s'endort Espère celui qu'elle attend Elle le voit dans ses rêves ardents Mais son coeur presqu'artichaut N'est pas un coeur en lambeaux Elle attend juste que les rayons Du soleil sur sa maison Comme une envie soudaine Viennent atténuer sa peine Pourquoi rejeter ce qui Est écrit là...

Publié le 27/03/2009 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

CACHE TES BLESSURES

Quand tu parles de tes soucis Même si ton coeur saigne ici Ou là cache tes blessures Car tu sais que rien ne dure Pense aux jours heureux Et tu verras que tout est prodigieux.

Publié le 24/03/2009 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

AUTOUR DE HUIT HEURES

Autour de huit heures s'ouvrent les fenêtres Défilent les filles brunes ou blondes Sur les routes en forme de rondes Les voitures engouffrent les kilomètres Autour de huit heures je voudrais t'appeler Je pense à ma longue journée Je voudrais ne pas m'angoisser Sera-t-elle grise ou ensoleillée ? Autour de huit heures les trains entrent en gare...

Publié le 14/03/2009 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

AINSI FONT

Les chiffons font le papier Le papier fait la monnaie La monnaie fait les banques Les banques font les emprunts Les emprunts font les mendiants Les mendiants font les chiffons Les chiffons font le papier...

Publié le 14/03/2009 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

PARADE DU PRINTEMPS

Le corps lassé par la froideur D'un hiver qui s'étend Retrouve un peu de bonheur Dans la parade du printemps Où les fleurs vont bravant Le froid et le vent mordant.

Publié le 18/02/2009 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

MALLARME écrit ...

Le 5 décembre 1865, MALLARME écrit à CAZALIS : "Ah ! ce poème, je veux qu'il sorte, joyau magnifique, du sanctuaire de ma pensée, ou je mourrai sur ses débris ! N'ayant que les nuits à moi, je les passe à en rêver à l'avance tous les mots". Ecrire un poème, c'est pour MALLARME amener au jour l'impuissance ; ou c'est concevoir sans cesser d'être vierge, comme visité par le bleu du...

Publié le 07/02/2009 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

POEME BLESSE

Parfois je ramasse Un poème blessé Qui meurt Entre mes mains Je l'enterre Et ma solitude s'accroît. (Anise KOLTZ)

Publié le 07/02/2009 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

Désir du soir

          Quand la ville entre dans le noir, tes yeux s’allument différemment.   Alors a lieu une fable nocturne.   Les rideaux du soir s’ouvrent sur le théâtre de la nuit. Les personnages entrent en scène. Le soulographe, la prostituée, l’enfant fugueur. Quelques soldats en uniforme, désoeuvrés. Les masques sont...

Publié le 06/02/2009 dans AlmaSoror par Note | Lire la suite...

FRAGMENTS des BUSCALTS suivi de TERRE HABITEE - Paul BADIN - Rencontres avec René CHAR

      Éditions Poiêtês 94 p – 2 trim 2008 – 17 € 2 ième trimestre 2008   _________________________________________________________________________________________________________________________________________   Les Busclats, c’est le nom de cette maison de berger qu’habitait René Char à L’Isle Sur Sorgue près des monts du...

Publié le 04/02/2009 dans Incertain... par Incertain Regard | Lire la suite...

Le poète, devenu l'homme...

Le poète devenu l'homme Qu'il ne pouvait pas être Vend au rabais Une vérité sans loi. (Anise KOLTZ)

Publié le 31/01/2009 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

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