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Notes sur le tag : poème
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C'était il y a huit jours
Rien que l’immobilité et le silence. C’est le début de l’après-midi, Lorsqu’hommes et animaux reposent Dans une douce somnolence, repus de chaleur. Pas un bruit. La campagne est atone. Si ! Lointain, le roucoulement d’un pigeon. Ce silence est léger, ce n’est plus celui de l’été. Il semble chantonner, bouche fermée. Sur la rivière, les lentilles d’eau, Sans vie,...
Publié le 08/10/2011 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...
Histoire de marins, un poème de Tomas Tranströmer
Tomas Tranströmer a obtenu le prix nobel de littérature 2011. Les poèmes de Tomas Tranströmer nous parlent d'expériences très simples , presque banales, quotidiennes un concert d'orgue, l'océan en hiver, les cloches des églises en ex-RDA , et pourtant chacun d'entre eux est un événement en lui-même. À travers une observation très fine de la matérialité du réel, c'est la beauté de...
Publié le 07/10/2011 dans BLOG'Opapilles par Opapilles | Lire la suite...
Inaugurer la transparence (Roberto Juarroz)
Pour Octavio Paz, chaque poème de Roberto Juarroz est une surprenante cristallisation verbale : le langage réduit à une goutte de lumière ( Source Wikipédia ). Transparence est le thème ce mois du Défifoto. J’ai écrit, pour accompagner la photo publiée, un extrait de ce poème "Inaugurer la transparence". En voici l’intégralité, avec pour illustration les quatre photos...
Publié le 06/10/2011 dans Le Blog de... par Louis-Paul | Lire la suite...
Poème de Pablo Neruda
Il meurt lentement celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n'écoute pas de musique, celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux. Il meurt lentement celui qui détruit son amour-propre, celui qui ne se laisse jamais aider. Il meurt lentement celui qui devient esclave de l'habitude...
Publié le 05/10/2011 dans nono par nono | Lire la suite...
Que dire devant la page vide
Que dire devant la page vide D’une nuit verte, au coin d’un réverbère ? Premiers mots qui passent comme un vol de cormorans. Mais qu’y a-t-il derrière ? Un vent de fronde Chassé par la profusion du langage. Silence des sentiments. Un vide dans le noir de l’esprit, Image de la floraison du cœur. Dans la tiédeur de l’obscurité monte en moi Le chant heurté, puissant...
Publié le 03/10/2011 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...
à ma femme
Mon amour Tout l'amour du monde Ne saurait être meilleur Que celui qui abonde au fin Au fond de ton coeur Il n'y a pas d'ailleurs Juste ton présent Qui me dit dans l'instant De rester batailleur Car, rien ni personne Ne saurait me donner Un autre jeu, une autre donne En se laissant aimer Tout l'amour du monde Ne saurait être fidèle Sur cette terre...
Publié le 02/10/2011 dans FUMIGÈNE -... par Erkin Jon | Lire la suite...
Litanie pour juillet plusieurs fois… (Pages données au vent)
Texte modifié... Voir : http://tramesnomades.hautetfort.com/archive/2015/12/18/poeme-pour-dire-soutien-suite-litanie-pour-juillet-plusieurs-5732626.html © MC San Juan
Publié le 01/10/2011 dans Trames nomades par MCSJuan | Lire la suite...
Elle est là, glorieuse de féminité
Elle est là, glorieuse de féminité, Assise, allongée sur le banc sous le rosier. Elle lit, calme, la tête dans une main, Concentrée, mais détendue, entière. Je la revois au temps de notre connaissance ; Quand j’aspirais à ces jours de quiétude, Ne sachant si ce serait toi, ou une autre, Ou même personne, peut-être. Et tu es là, toujours, belle comme au premier jour,...
Publié le 28/09/2011 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...
Poème du Jour...
jardin sans rivière où mentir où mourir je coupe l'hiver le nez du givre, j'établis le tocsin des jonquilles pourquoi ? jardin sans nom, de buis pâle (résigné) jardin des morts, des aimés anonymes jardin desséché (déjà oublié) (Poème de Gaspard Hons extrait de "l'Orage en Deux" - Ed. Le Dé bleu")
Publié le 26/09/2011 dans Les songes... par Kraly | Lire la suite...
De tes doigts de fée, je ne retiens qu’une chose
De tes doigts de fée, je ne retiens qu’une chose Le tremblement de mes paupières à leur frôlement Comme un séisme sous-marin au passage de la comète La nuit s’embrase alors d’étranges lueurs Aux sons de tes doigts sur le verre de mon attente J’avais pourtant connu la caresse des vents d’été Le souffle froid de la source jaillissante J’avais frissonné les nuits d’hiver...
Publié le 24/09/2011 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...
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