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Notes sur le tag : souvenir
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Dernières notes
Pourquoi ”Curé sur le mur” ?
Parce que les mots, qu'ils soient au fond d'un livre ou en musique, ont toujours suscité chez moi des rêves, des désirs d'ailleurs. Et que je pense que le texte de COLETTE n'a jamais su mieux dire cela : Le mot «presbytère» venait de tomber, cette année-là, dans mon oreille sensible, et d'y faire des ravages.« C'est certainement le presbytère le plus gai que je connaisse... » avait dit...
Publié le 13/07/2009 dans Ma Cuisine... par Patricia Sarrio | Lire la suite...
je voudrais tant que tu te souviennes
L'une, Mado, vit les yeux au ras du sol, traquant et photographiant les menues traces du temps. L'autre, l'Indien, n'est jamais aussi à l'aise que sur les toits... Entre les deux va se nouer une histoire d'amour en pointillés, celle prédite par Julide chargée de veiller sur Mado car "Elle est comme un verre qui se vide, par une...
Publié le 09/07/2009 dans cathulu par cathulu | Lire la suite...
Souveni de Mouïse / Souvenir de Moïse / Souvenir of Moses
Publié le 29/06/2009 dans │ˉˉˉˉ│∩│ˉˉˉˉ... par Avignon | Lire la suite...
Forget me not (avec Hozan Kebo)
La série des cartes postales, accompagnées de leurs échos par Hozan Kebo, se termine. Enfin, pour le moment. En effet, j'en publie environ deux par an, au sein du réseau d'artistes cARTed , sur le thème de la relation entre expéditeur et destinataire (" From me to you "). À suivre, donc, dans quelques mois… La publication sur ce blog n'a pas tenu compte de l'ordre chronologique. Mais...
Publié le 05/06/2009 dans Daily Life par kl loth | Lire la suite...
FRANCK VENAILLE : AÏE !
Dans le numéro 938/939 de la revue Europe, Franck VENAILLE déclare : Être poète, ce n'est pas seulement écrire - vers ou proses - des poèmes. C'est donner à notre douleur la force et les moyens de se dépasser, de devenir ainsi la douleur de tous, y compris de la poésie elle-même. En remplaçant "douleur" par "souvenir", on s'approchera très nettement des propos...
Publié le 21/05/2009 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...
”Nous recommençons, nous n'abandonnons jamais.” Lars Gustaffson, La mort d'un apiculteur.
Une petite fille disparaît sur une plage, dans le brouillard, alors qu'elle était sous la responsabilité de sa future belle-mère,Abby, une jeune photographe. La narratrice , Abby, va passer L'année brouillard à chercher avec obstination cette petite Emma, faisant fi de la police et du père de l'enfant qui ont baissé les bras. Elle sortira meurtrie mais grandie par...
Publié le 04/05/2009 dans cathulu par cathulu | Lire la suite...
CADEAU DE MA SUPERIEURE
En arrivant lundi au bureau, le matin, je trouve sur mon bureau un brin de muguet . Ma supérieure avait pensé à ses secrétaires. Elle est pleine d'attentions pour nous toutes et je l'en remercie. Elle est vraiment très sympathique car jamais, depuis que je travaille (et cela fait beaucoup, beaucoup d'années.... ) je n'ai eu un tel cadeau.
Publié le 01/05/2009 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...
Sans nom
Quelques fleurs sauvages dans un jardin Des coquelicots, des marguerites, Des narcisses ou des anémones Un arbre Des rideaux de pluie, des ruisseaux, De l'herbe douce et grasse, Des mots nouveaux, sonores et beaux Montagne bleue Cours, cours petit enfant ! Imprime l'image dans tes yeux, Emporte-la , sans nom, ni visage...
Publié le 16/04/2009 dans Le Défilé de... par Neriel | Lire la suite...
Nuiter
Un amant se trouve après un an au lieu où il a aimé une femme, mais tout a changé à ses yeux. "La lune ? ce n'est plus la même, Le printemps ? Ce n'est plus Le printemps d'autrefois Moi seul N'ai pas changé." ARIWARA NO NARIHIRA (825-879) in "Anthologie de la poésie japonaise classique". Traduction, préface et commentaires de J. Renondeau. Edition Poésie-Gallimard Unesco 1971...
Publié le 04/04/2009 dans Certains jours par Frasby | Lire la suite...
Que reste-t-il de nos amours ?
Rangé hier une case de mon armoire. Retrouvé des pulls que je n'avais pas mis depuis quelques années. Et mêlés dans la laine, des poils de chat blancs. Ce ne sont pas ceux de l'obscure beauté qui vit à mes côtés, mais de la regrettée Ginger (1987-2003). Alors, je n'ai guère envie de les retirer… quelque chose d'infinitésimal qui est encore là… I miss you … (je n'aime guère le titre...
Publié le 09/03/2009 dans Daily Life par kl loth | Lire la suite...
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