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Notes sur le tag : poèmes

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Dernières notes

LES RAYONS ET LES OMBRES de VICTOR HUGO

Car la poésie est l'étoile Qui mène à Dieu, Rois et pasteurs.

Publié le 02/11/2007 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

Mort et vie

    Je suis la locataire d'un vaisseau de distillation où se dissolvent les chairs et où l'âme grandit. Poisson qui respire dans l'air, j'ai oublié l'océan d'où je viens. Boomerang déposé sur le sable, j'aspire à la vague qui rentre dans la mer. J'attends, la vie est si belle, je la boirai jusqu'à la dernière goutte . Et quand le rêve lucide de la mort m'emportera,...

Publié le 02/11/2007 dans Laboratoire... par Ariaga | Lire la suite...

FEUILLES

Des feuilles tristes et usées D'avoir tant bataillé Contre un soleil desséchant Certains jours de grand vent Tombent sur le sol épuisées Elles sont toutes recroquevillées..... (29/07/07)

Publié le 30/10/2007 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

NOUVELLE VIE

J'ai laissé une partie de moi Des rires, des peines, des joies, Dans ce coin de mon beau pays Où je suis née et j'ai grandi Je suis partie sans un mot Seule, un sac sur le dos Mon avenir était ailleurs En moi des petites lueurs Et déjà assez de bagages Pour avancer dans la vie sans ravages J'ai découvert de nouveaux visages...

Publié le 30/10/2007 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

Les rebelles (bis)

  Cette poésie est de Décembre 2006. J'ai envie aujourd'hui de lui rajouter cette photo qui me fait penser à la maigreur des suppliciés, aux côtes blanchies des cadavres abandonnés dans la nature et mangés par les corbeaux.Beaucoup sont morts parce que on les disaient hérétiques, parce que ils pensaient en dehors des dogmes. C'étaient de grands têtus qui préféraient brûler vifs...

Publié le 27/10/2007 dans Laboratoire... par Ariaga | Lire la suite...

Odile Caradec

  La chienne Vanille hume l'automne     Une douche sera peut-être ma meilleure alliée dans ce monde noir de novembre   Les pommes chantent sur l'étagère et dans les interstices de la nuit si longue on voit des luminosités intenses les branches deviennent douces noires et douces comme les doigts des morts   O les journées vécues à la lumière artificielle...

Publié le 26/10/2007 dans Poésie... par Plume | Lire la suite...

L'HOMEOPATHIE DE L'AME

Par la figure de thyrse, Baudelaire eût pu trouver la caution littéraire de son ambiguïté native, par où d'ailleurs il ressemble, précisément, à De Quincey ; en fait, le poème en prose lui a servi, mieux que le poème en vers et il suffirait pour s'en convaincre de comparer les variantes vers et prose du même thème, à découvrir la solution esthétique de son ambiguiïté ; car, comme le thyrse...

Publié le 26/10/2007 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

LE FEU ENCORE

Tu me voyais glaçon J'étais devenue eau Les arbres attendaient la saison Je ne disais aucun mot La nuit chassait le jour Le feu dansait aux alentours Je nageais avec courage Pour atteindre ton rivage Et ne pas me noyer Dans ton silence côtoyé Chaque jour succédant Au jour finissant En longs chapelets d'or Le feu...

Publié le 24/10/2007 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

GASTON COUTE

Un no uveau site sur Gaston Couté présentant la totalité de son œuvre ! Que dire de plus, sinon inviter chacun d'entre vous à vous attarder un peu sur un texte ou un autre de ce poète beauceron anarchiste sur lequel tout et trop a été dit, mais vers lequel on prend toujours plaisir à revenir. Il faut, à vrai dire, lire Couté à voix haute pour l'apprécier à sa juste...

Publié le 24/10/2007 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

Jean-Baptiste Para

    Détachement     Comme une vache de sa litière le soleil se lève.   A la butée du bois j'écarte les branches pour une attente ruineuse dans tes bras secs.   Est-ce midi ? Est-ce l'étang ? L'air étouffe le bruit des bêches.   Une seule pluie nous délave. Nos voix sont des barques sans lien.       La faim des ombres . -...

Publié le 21/10/2007 dans Poésie... par Plume | Lire la suite...

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