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Notes sur le tag : poèmes

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Dernières notes

TON ETE

Sous ton chapeau Tes yeux rieurs La couleur de l'été T'allait si bien Tu n'en savais rien. Sous la chaleur Le paysage baignait Devant toi les bateaux Voguaient à volonté Le vendeur de beignets Criait et repassait Tes cheveux tressés Résistaient au vent Les vagues ondulaient Tu attendais le moment De t'y enrouler Comme une sirène...

Publié le 13/01/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

BRETAGNE

Quand reverrai-je tes maisons de pierres Et tes bouquets de fleurs d'hortensias Tes chapelles où j'ai lu des prières La mer et ses vagues jetées là Sur tes plages de sable si fin Qu'il semblait couler comme le vin Que l'on boit au Bar des Pêcheurs ? Reverrai-je tes bateaux à moteur Tes mouettes et tes voiliers blancs Comme les coiffes des...

Publié le 12/01/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

La différence

  Vous avez peur de lui comme on a peur de l'Autre qui ne ressemble pas au modèle déposé, rassurante copie d'un humain bien fini.     Il murmure des sons vieux de millions d'années, avant que l'homme ne se pare des oripeaux de la pensée,  et tremble sur ses cils, amère et apaisante, une larme d'enfant beaucoup trop grand. Sa salive le mouille...

Publié le 11/01/2008 dans Laboratoire... par Ariaga | Lire la suite...

Danièle Corre

  Couvrez-moi du manteau des mots avant que mon corps se creuse de caresses défuntes   Gardez-moi du froid de l'enfance désertée des voix sans échos   Je cherche le berceau des bras où s'expliquait le monde       Obstinément l'enfance . - Aspect, 2005. - 103 p. Repris par la revue Poésie/première , n° 37 (mars 2007), p. 55.       Danielle Corre   Née en 1946....

Publié le 11/01/2008 dans Poésie... par Plume | Lire la suite...

ISOLEMENT

Le travail de création demande, comme pour tout travail, des moments d'isolement. Pour créer, le poète a besoin d'isolement. (E.L.)

Publié le 09/01/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

Citation de François COPPEE

Le cercueil du poète était jonché de roses ... La tombe du despote était pleine de sang.

Publié le 08/01/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

Pierre Colin

  Cités flétries     Petit à petit, la nuit a étranglé sa taille et ses hanches. On ne voit plus que les lèvres et les cités flétries, poussière dans le square.   Du taillis est sorti son profil, le clapotis des yeux, mélopées roses, dans les marées du souffle, de l'oubli.   Plus rien ne presse.   Un enfer nous attend au bout de chaque mot, un enfer où s'avance un mot encore plus...

Publié le 08/01/2008 dans Poésie... par Plume | Lire la suite...

ETRE UN POETE

La chanteuse BARBARA minimisait ses talents d'écriture, refusant d'être classée comme intellectuelle, d'être rangée dans la catégorie des poètes, et déclarant souvent qu'elle était inculte. "Faire des chansons, cela ne signifie pas être un poète. Je suis très lucide là-dessus. Une chanson, c'est joli mais ce n'est pas un poème ; ça ne se lit pas sans musique".

Publié le 06/01/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

Monsieur SERGE

Je me sens le coeur lourd Serge qui passait chaque jour M'écouter lire son courrier Est parti un jour de juillet Il aimait retrouver Ginette, Vendeuse aux Galeries Lafayette Bavarder avec les demoiselles Paulette, Josiane ou Isabelle Il vivait avec sa Nanou Une belle Italienne dévouée Elle rendait ses jours plus doux Depuis qu'il avait échoué...

Publié le 04/01/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

Evelyne Morin (2)

  Rage des mots inarticulés Aux vigiles ancestrales les lunes impassibles ont le visage de nos colères dévastées Que ne pleurent ces temps qui nous enterrent étonnés de vivre encore Dansent les noyés sur les eaux Explosent les fenêtres consacrées aux flammes   Les pas mènent à nos pas Dans le mirage indéfini des feux Racines brülantes de nos identités perdues De nous ils...

Publié le 04/01/2008 dans Poésie... par Plume | Lire la suite...

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