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Notes sur le tag : poèmes

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Dernières notes

LA VIE AU LYCEE et EN VACANCES (LE JOURNAL DE JULIETTE (20)

Ce soir, Martine sort de la classe furieuse. Elle discutait avec des camarades. Juliette la regarde se mettre en colère et s'en aller sans même l'attendre. Le lendemain, en étude, le surveillant plaisante avec les élèves. A la récréation, Aurélie avoue à Juliette qu'elle est amoureuse de lui. Elles décident toutes les deux de l'appeler Chocorêve car il porte toujours un costume marron, comme...

Publié le 19/02/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

LES VEUVES (BAUDELAIRE)

Avez-vous quelquefois aperçu des veuves sur ces bancs solitaires, des veuves pauvres ? Quelles soient en deuil ou non, il est facile de les reconnaître. D'ailleurs, il y a toujours dans le deuil du pauvre quelque chose qui manque, une absence d'harmonie qui le rend plus navrant. Il est contraint de lésiner sur sa douleur. Le riche porte la sienne au grand complet. Quelle est...

Publié le 17/02/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

SUPPLICE !

Ce qui fit leur bonheur deviendra leur supplice. Des lettres relues, des vers retrouvés, D'anciennes fleurs et des rubans fanés qui furent chers, Des parfums qu'on a trop aimés : supplice ! (Sainte Beuve)

Publié le 16/02/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

Terrasse technologique

Dansait-il sur une terrasse Large et dominant la cité technologique Lui qui, le dernier, embrassa la cathédrale ? On ne saurait le dire parmi les réseaux Où galope un reflet d'étincelles Mais dans les tissus de nos tissus Et dans les gènes de nos gènes Nous sentons bien qu'électriques Le spectre de son baptême Et le frisson de son argot Encore...

Publié le 15/02/2008 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

JE PENSAIS

Je pensais que l'eau de la rivière était claire Je pensais que mon jardin serait toujours vert Je pensais que les oiseaux ne chantaient que pour moi Je pensais que le monde tournait toujours à l'endroit Je pensais qu'il suffisait de se lever chaque matin Pour avoir dans les yeux un soleil radieux Je ne pensais pas trouver un jour sur mon chemin Des assassins...

Publié le 12/02/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

UN COEUR QUI BAT

J'attends le printemps Impatiente en guettant Le moindre clair instant De chaleur ambiant La verdure est présente, Les fleurs sont absentes La sève monte en moi J'ai trop le coeur qui bat Devant moi si sérieux Tu murmures des mots A mon oreille aussitôt Je rêve à nous deux Je te veux dans mes bras La sève monte en...

Publié le 11/02/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

Marie-Pierre Neumann

    Contre le ciel repose l’embrun marin de mes nuits.   La volupté des émotions, S’égare sur ma peau bien trop pâle Pour s’éterniser auprès de la lumière   Les mots filent et défilent Entamant une interminable danse Autour de ma raison.   La sérénité aux aguets, Sourde à mes cris.   Les murs se couvrent du rouge Des paroles emprisonnées par la pudeur des sentiments.      ...

Publié le 10/02/2008 dans Poésie... par Plume | Lire la suite...

NE LISEZ PAS CES VERS

Ne lisez pas ces vers, si mieux vous n'aimez lire Les esprits de mon coeur, les feux de mon martyre, Non, ne les lisez pas, mais regardez aux Cieux, Voyez comme ils ont joint leurs larmes à mes larmes, Oyez comme les vents pour moy lèvent les armes, A ce sacré papier ne refusez vos yeux. (Complainte à sa dame - Théodore AGRIPPA D'AUBIGNE - poème du 16 è siècle)

Publié le 09/02/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

LE POETE COMME REMEDE

Le poète propose de l'air, de l'espace et de l'amour qui sont les dimensions de la grandeur universelle. Si l'on considère la maladie de la Cité, le poète pourrait être son remède. Mais pour être utile à la Cité, il faut qu'un médecin prescrive le poète et que la Cité se reconnaisse comme malade. Gwénael de BOODT

Publié le 06/02/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

REVE

En quête de ce rêve ? Une longue rame à la main, Je vogue vers la plus verte des herbes, Bientôt ma barque est chargée de la lueur des étoiles, Sous laquelle je veux chanter à pleine voix. (HSU CHIH MO  1895-1931 - Poèmes ) Découvrez d'autres citations sur mon blog de poésies / http://depoesiesenpoesies.hautetfort.com

Publié le 05/02/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

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