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Notes sur le tag : poèmes

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Dernières notes

RETOUR

Je suis de retour ! Je vous mets juste une photo de mon passage au bord de la mer, à BRAY DUNES.

Publié le 20/04/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

Blogème XXXII

La lucidité absolue est le signe qui distingue du commun des mortels les parturientes et certains princes agonisants dont tout le monde tombe d’accord pour dire qu’ils ont été les pires despotes.

Publié le 18/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

Blogème XXXI

Ténèbres du verbe – lumière sauvage de la vie. Mais d'où alors vient cette force de recueillement que tu sens dans certains poèmes, mais seulement là, secrètement, comme une profonde mélodie, une basse continue, un ostinato qui avance les yeux grands ouverts entre la douleur du monde et la chute légère d'un chant ?

Publié le 18/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

Bornéo, vie portuaire

à Nicolas Bouvier Cri de mouettes, pleurs d’asticot L’ardoise fendue geint sous le poids De la nuit ; sur les gués, la racaille Vend l’aïeule son pesant de coke. Les pourvoyeurs de haschich disputent À qui mieux mieux les prix sur la place. Dans les narines, suints et sueurs. Détrempés, des noctambules veillent Le regard torve, les transactions....

Publié le 16/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

Ce qu'essentiellement nous sommes

Aujourd’hui, plus pressé que jamais, il n’a pas attendu Ni le jour et son bruit d’ailes, ni les compagnons de toujours Autre chose de loin l’appelait, comme un sommeil, qui sait ? Le temps de traverser un peu de nuit, une eau qui court Plus rapide que nous, plus ombre qu’ombre, cependant Qu’un vent frais noue sa voix aux hymnes des âmes de passage. (1998)

Publié le 14/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

80 HIVERS

Hé quoi ! Vous êtes étonnée Qu'au bout de quatre vingts hivers, Ma muse faible et surannée Puisse encore fredonner des vers ? (VOLTAIRE - à Madame LULLIN).

Publié le 10/04/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

POETE, PRENDS TON LUTH

Poète, prends ton luth ; c'est moi ton immortelle Qui t'ai vu cette nuit triste et silencieux, Et qui comme un oiseau que sa couvée appelle, Pour pleurer avec toi descends du haut des cieux. Poète, prends ton luth et me donne un baiser ; La fleur de l'églantier sent ses bourgeons éclore. Le printemps naît ce soir ; les vents vont s'embraser, Et la bergeronnette,...

Publié le 08/04/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

UN PEU DE CHALEUR

Marcher ici ou ailleurs Rechercher un peu de chaleur Noircir des bouts de papier Quelquefois se sacrifier Et puis marcher au pas Enfin dire : "je ne sais pas". Avoir des projets, des envies, Donner du sens à sa vie Récolter le pire, le meilleur, Avoir dans le coeur cette chaleur, La garder.... Surtout la garder. (04.12.07)

Publié le 05/04/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

André CHENIER (L'Amérique)

Mes vers impatients élancés de mon âme Veulent parler aux Dieux, et volent où reluit L'enthousiasme errant, fils de la belle nuit.

Publié le 04/04/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

LE MATIN

Se lever de bonne heure le matin Se préparer une tartine de pain Regarder le soleil se montrer Sur la ligne d'horizon Choisir sa tenue, s'habiller Regarder en rêvant l'horizon Pour commencer la journée. Ecouter les moteurs tourner Des voitures voisines Regarder quelques vitrines Aux couleurs des vacances Et arriver, quelle chance A l'heure au...

Publié le 03/04/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

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