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Notes sur le tag : poèmes

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Dernières notes

J'ECRIS COMME JE SUIS

J'écris comme je suis, mais vous êtes dans mes mots, Belle oreille sensible à l'écho de mon monde intime, Je pianote vers vous, ombre-clarté, éclosion d'une rime, Sous vos délicieux traits, mes poèmes semblent beaux. (Alain MEYER-ABBATUCCI)

Publié le 23/04/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

LA POESIE FRANCAISE

Chercher à enfermer la poésie française dans une définition me paraît impossible et illusoire. Elle est traversée de trop de courants qui apparaissent et disparaissent de siècle en siècle. (G. POMPIDOU)

Publié le 22/04/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

TANT DE POESIE

Il y a la poésie du soleil et celle de la brume, la poésie de la découverte et celle de l'habitude, de l'espoir et du regret, de la mort et de la vie, du bonheur et du malheur. (Anthologie de la poésie française - G. POMPIDOU.)

Publié le 22/04/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

VASES COMMUNICANTS

Faire le vide des mots Qui assaillent mon cerveau, Un besoin mais les vases Communicants de la vie A chaque nouvelle phrase Se vident puis se remplissent Comme les fleuves dans leur lit Courent vers la mer et glissent Sans jamais disparaître Les mots ne font que renaître.

Publié le 22/04/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

RETOUR

Je suis de retour ! Je vous mets juste une photo de mon passage au bord de la mer, à BRAY DUNES.

Publié le 20/04/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

Blogème XXXII

La lucidité absolue est le signe qui distingue du commun des mortels les parturientes et certains princes agonisants dont tout le monde tombe d’accord pour dire qu’ils ont été les pires despotes.

Publié le 18/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

Blogème XXXI

Ténèbres du verbe – lumière sauvage de la vie. Mais d'où alors vient cette force de recueillement que tu sens dans certains poèmes, mais seulement là, secrètement, comme une profonde mélodie, une basse continue, un ostinato qui avance les yeux grands ouverts entre la douleur du monde et la chute légère d'un chant ?

Publié le 18/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

Bornéo, vie portuaire

à Nicolas Bouvier Cri de mouettes, pleurs d’asticot L’ardoise fendue geint sous le poids De la nuit ; sur les gués, la racaille Vend l’aïeule son pesant de coke. Les pourvoyeurs de haschich disputent À qui mieux mieux les prix sur la place. Dans les narines, suints et sueurs. Détrempés, des noctambules veillent Le regard torve, les transactions....

Publié le 16/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

Ce qu'essentiellement nous sommes

Aujourd’hui, plus pressé que jamais, il n’a pas attendu Ni le jour et son bruit d’ailes, ni les compagnons de toujours Autre chose de loin l’appelait, comme un sommeil, qui sait ? Le temps de traverser un peu de nuit, une eau qui court Plus rapide que nous, plus ombre qu’ombre, cependant Qu’un vent frais noue sa voix aux hymnes des âmes de passage. (1998)

Publié le 14/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

80 HIVERS

Hé quoi ! Vous êtes étonnée Qu'au bout de quatre vingts hivers, Ma muse faible et surannée Puisse encore fredonner des vers ? (VOLTAIRE - à Madame LULLIN).

Publié le 10/04/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

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