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Notes sur le tag : poèmes

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Dernières notes

L'ETE

Cette année là L'été s'annonça Plus majestueux Plus chaleureux Arrivé pile à l'heure Pour notre bonheur Pour les grincheux Pour les frileux Vous l'adorez Vous le louez Soit, profitez-en En le caressant De longues heures De pur bonheur Vous obligeant Par beau temps A la paresse Mais rien ne presse (27.06.08)

Publié le 19/11/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

PRIERE

La prière est la soeur tremblante de l'amour. (Victor Hugo - La légende des siècles) Voilà pourquoi les fleurs, ces prières écloses Dont Dieu lui-même emplit les corolles de miel, Pures comme les lis, chastes comme les roses, Semblent prier pour nous dans les maisons du ciel. (Alphonse de Lamartine)

Publié le 18/11/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

Huitain amoureux en patois

Voici un petit poème d’amour en patois lyonnais, écrit dans la manière pétrarquisante de l’époque (1541) par Pierre de Villiers , compositeur de chansons donné comme contemporain de Rabelais.  Ce huitain appartient à un ensemble aujourd’hui introuvable, «  Le Paragon des Chansons, contenant plusieurs nouvelles et délectables chansons que oncques ne furent imprimées au singulier...

Publié le 16/11/2008 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

Un chant de lavandières (XVIIème)

Je lavon si bien lo drapio, Avoy lo devanti de pio, Que je lo fan blan comme amandra, Et, du manchou du batillon, Je freton voutro coutillon, En chantant comme una calandra, Et, sens craindre ni ven ni bizy, Ma fey, me commare, nous an, Per savonna voutre chemise, De savon de vingt-e-cinq-an  ...

Publié le 15/11/2008 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

Le dit de Bredin le Cocu

  Coq à l'âne en patois lyonnais de la fin du XVIème siècle, par Bredin le Cocu (Benoît du Troncy)   Qui vout ouy una chanson Qu'est touta de mensonge ? S'il y a mot de vereta Je voglo qu'on me tonde La felon melon du lon La felon melonge ..   Nostra chatta a faict do chins Ley, dessous una ronce...

Publié le 15/11/2008 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

LA POESIE DE NOS JOURS

On se lamente souvent du désintérêt que rencontre la poésie de nos jours en France. Bien inutilement. Mais il est un autre péril, plus insidueux, celui de tomber dans une coupable candeur, de tout confondre : la chansonnette et le plus haut poème, le divertissement de salon et l'approche du mystère de l'être, l'accessoire, le décoratif et l'essence même de la parole. (Gérard PFISTER)

Publié le 14/11/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

COULEURS D'AUTOMNE

Dans ce pays où le mistral dessèche la terre Et soulève dans les rues la grise poussière Quand le chant des cigales s'est enfin tu Que la pluie sur le sol s'est abattue Que l'automne apporte son ciel blanc Comme la brume qui s'attarde sans élan Quelques nuages alourdissent l'horizon Je laisse derrière moi la maison Pour prendre ce petit chemin grimpant Sur...

Publié le 11/11/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

SACHEZ QUE...

Sachez que la poésie se trouve partout où n'est pas le sourire stupidement railleur, de l'homme, à la figure de canard. ( Lautréamont )

Publié le 08/11/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

LA VOIX

Une voix, une voix qui vient de si loin Qu'elle ne fait plus tinter les oreilles Une voix, comme un tambour, voilée, Parvient pourtant, distinctement jusqu'à nous. Bien qu'elle semble sortir d'un tombeau Elle ne parle que d'été et de printemps. Elle emplit le corps de joie, Elle allume aux lèvres le sourire. Je l'écoute. Ce n'est qu'une voix humaine Qui...

Publié le 06/11/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

POETES

Touché par l'amour, tout homme devient poète (PLATON) Le comble du poète c'est d'être inspiré sans pour autant avoir de muse ! (Fabien BLANCHOT) Nous autres, poètes, quand nous avons de la peine, au lieu de la chasser, nous lui cherchons un titre (Frédéric DARD)

Publié le 04/11/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

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