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Notes sur le tag : poèmes

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SONNET 17 - William SHAKESPEARE

Qui croira mon vers dans le temps à venir s'il est rempli de vos plus hauts mérites ? Bien que, le ciel le sait, il n'est que le tombeau qui cache votre vie, ne montrant vos avantages qu'à demi. Si je pouvais écrire la beauté de vos yeux, et de mètres nouveaux dénombrer toutes vos grâces, l'âge à venir dirait : "ce poète est menteur, de si divines touches jamais n'auront touché une terrestre...

Publié le 22/06/2010 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

LA FONTAINE - Poésies Diverses

Je chéris l'Arioste et j'estime le Tasse ; Plein de Machiavel, entêté de Boccace, J'en parle si souvent qu'on en est étourdi ; J'en lis qui sont du Nord et qui sont du Midi.

Publié le 16/06/2010 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

Le spleen de l'usine

Des portails fermés des usines Où sont entrés matin les ouvriers habiles Des cours fétides des entrepôts Du parfum criard des cantines Des vélos des automobiles en files Des fenêtres fumées des bureaux De l’aspect m’as tu vu des vitrines Où se mêle au charme l’outrance servile Des cent bruits brassés des bars et des bistrots Du...

Publié le 11/06/2010 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

SI VOUS AIMEZ...

Longtemps, longtemps que mon coeur soit rempli de tels souvenirs Comme le vase dans lequel, jadis, furent distillées des roses, Brisez ce vase, réduisez-le en éclats, si vous aimez ; Longtemps encore persistera le parfum des roses. (Thomas MOORE)

Publié le 07/06/2010 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

LA POESIE de la TERRE

La poésie de la terre ne meurt jamais. (John KEATS, Poésies complètes - 1795-1821)

Publié le 06/06/2010 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

J'irai rêver sur vos tombes

Maurice Couquiaud, Editions de L'Harmattan 110 pages 11,50 euros. MAURICE COUQUIAUD : LES GRISéS DéGRISéS Maurice Couquiaud ne tient pas la pose, il ne joue pas l'âge venu au vert galant : "Vieillir c'est apprendre à mieux aimer l'amour en le faisant moins à le styliser par des silences à le déshabiller dans l'ombre...

Publié le 05/06/2010 dans Incertain... par Incertain Regard | Lire la suite...

LAISSER LA PLACE AUX AUTRES

On ne connaît pas l'heure De nos derniers instants Sur la terre ; le bonheur S'enfuit de l'âme avant Car Dieu nous a choisis Il nous enlève aux nôtres Laisser la place aux autres Voilà ce que disent les vieux Et cela faute de mieux. (07.08.09) (En photo, le cimetière de Jarnac)

Publié le 29/05/2010 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

Le pain cher

C’est grâce au théâtre, et à une leçon d’articulation, il y a lurette de ça, que j’ai découvert Gaston Couté. Du patois versifié, dans lequel chaque phonème compte, en effet. Des mots pour macher du Réel. C’était dans les années quatre vingts. Chez un bouquiniste, je trouvai les 4 volumes édités par le Vent du ch’min . Ils sont toujours là, avec en couverture, leurs dessins...

Publié le 20/05/2010 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

L'AGNEAU DANS LE SABLE

Comme une goutte d'eau s'évapore La vie me dévore Douce comme l'agneau je parais Au sable amarrée Je me décompose et m'enterre Je deviens poussière Mais l'animal doux se réveille La tête vermeille. (10.05.09)

Publié le 19/05/2010 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

Lézard

On prend des manières à quinze ans, Pis on grandit sans Qu'on les perde : Ainsi, moi, j'aime bien roupiller, J'peux pas travailler, Ça m'emmerde . J'en foutrai jamais une secousse, Même pas dans la rousse Ni dans rien. Pendant que l'soir, ej' fais ma frape, Ma soeur fait la r'tape, Et c'est bien. Alle a p'us d'daron, p'us d'daronne, Alle a plus personne,...

Publié le 18/05/2010 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

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