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Notes sur le tag : poèmes
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Dernières notes
Gaspara Stampa (1523-1554), Poèmes
Quand ma brûlure est trop intense, et inhumaine cette violence qui m'étreint, je suis tentée de tourner contre moi-même ma propre main parce que dans un seul mal finissent tant de maux. Mais alors c'est Amour qui me parle en secret, Amour, lui qui jamais ne s'éloigne de moi : « Ne porte pas la faux dans la moisson d'autrui ; tu ne t'appartiens pas, tu es à...
Publié le 10/04/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
Paul Jean TOULET : CHEVAUX DE BOIS
A Pau, les foires Saint Martin, C'est à la Haute Plante Des poulains, crinière volante, Virent dans le crottin. Là-bas, c'est une autre entreprise Les chevaux sont en bois, L'orgue enrhumé comme un hautbois, Zo' sur un bai cerise. Le soir tombe. Elle dit : "Merci, Pour la bonne journée ! Mais j'ai la tête bien tournée..." Ah, Zo' : la jambe aussi.
Publié le 03/04/2012 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...
VOILA L'ETE
Soudain l'été est là Il tombe sur tes bras Tu enfiles ton blouson Tu sors de la maison Le jaune le blanc le bleu Et le soleil dans tes yeux Fondent dans ta tête Ton blouson tu jettes Tes instincts primitifs En nombre effectif Regardent les pieds nus Comme si tu avais bu La fontaine sacrée Sur les murs à la craie De doux mots s'échangent Comme si deux anges Etaient passés par là...
Publié le 31/03/2012 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...
Giorgio de Chirico, Poèmes
Souvenir d'enfance Il me souvient d'avoir vu souvent, La ville entière tourner par là Où se tournait le vent Mélancolie...
Publié le 29/03/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
Emily Jane Brontë, Poèmes (1836-1846)
Il devrait n'être point de désespoir pour toi Il devrait n'être point de désespoir pour toi Tant que brûlent la nuit les étoiles, Tant que le soir répand sa rosée silencieuse, Que le soleil dore le matin. Il devrait n'être point de désespoir, même si les larmes Ruissellent comme une rivière : Les plus chères de tes années...
Publié le 19/03/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
MA MERE (THEODORE DE BANVILLE - 1823-1891)
Bien que né à Moulins, Théodore de Banville se veut poète parisien. Venu dans la capitale à l'âge de 7 ans, ce fils d'aristocrates républicains, refusant l'ordre bourgeois, cette "apothéose de l'épicerie", affirme très tôt son engouement pour la poésie. Ami de Baudelaire, ses poèmes, salués comme des chefs-d'oeuvre par Hugo et Gautier, en font un chef de file des jeunes poètes, des...
Publié le 17/03/2012 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...
Le Japon, un an après la catastrophe
La presse mêle les articles sur l’anniversaire de la catastrophe nucléaire et les pages culturelles d’hommage au Japon, en relation avec le Salon du livre. Cela interfère évidemment : infos et littérature ou mangas, tout se croise. Et même quand les œuvres ne parlent pas de Fukushima directement, ou sont très antérieures, on lit et on évoque malgré soi d’autres sens, comme en...
Publié le 16/03/2012 dans Trames nomades par MCSJuan | Lire la suite...
Les dimanches poétiques (69)
Mon rêve familier - Paul Verlaine Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon coeur transparent Pour elle seule, hélas! cesse d'être un problème Pour elle seule, et les...
Publié le 11/03/2012 dans La plume et... par Do | Lire la suite...
Ce poème, t'aime ou tempô...
Désolé pour certains... j'suis parfois un poil chauvin, j'y peux rien : A la Capitale je préfère la Bretagne, A la pollution je préfère les noires montagnes ; J'préfère l'air pur de Saint Michel de Braspart A la Centrale nucléaire en bas de Nulle Part. Je pleure...
Publié le 09/03/2012 dans Eflamm,... par AR GEDOUR MAG - Le Blog | Lire la suite...
DUALISME (Paul GERALDY)
Chérie, explique-moi pourquoi Tu dis "MON piano, MES roses", et : "TES livres, TON chien"... pourquoi Je t'entends déclarer parfois : "c'est avec MON argent à MOI Que je veux acheter ces choses." Ce qui m'appartient t'appartient. Pourquoi ces mots qui nous opposent : le tien, le mien, le mien, le tien ? Si tu m'aimais tout à fait bien, Tu dirais : "LES livres, LE chien" Et : "NOS...
Publié le 18/02/2012 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...
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