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Notes sur le tag : poème
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Dernières notes
Blogème XIX
Lors de ta naissance, comme le monde a dû te paraître vaste… Avec tes premiers pas, il s’est encore profusément agrandi… À l’heure de l’irrémédiable clarté, au bord du noir sans retour, c’est toi qui seras devenu immense et en même temps si léger, si diminué !
Publié le 06/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...
Blogème XVIII
Préfère l’aveuglement au regard lorsque celui-ci gêne le passage vers l’autre rive.
Publié le 06/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...
Blogème XVII
Prophète : point nodal d’agitation où l’imprudence rejoint l’impudence.
Publié le 05/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...
Blogème XVI
Que puis-je t’apprendre que tu ne saches déjà ? Que la lune est changeante dans le cercle de nos sanctuaires, ni trop ronde, ni trop mince, l’onde fuyante, et le plaisir ce simple éclair effacé à l’instant même de son apparition ?
Publié le 05/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...
Blogème XV
Mes insomnies, qui les soignera ? Je ferme l’unique porte en espérant que tu attendras le tout dernier instant pour entrer par la fenêtre avec la messagère ailée, celle qui annonce aux hommes que la vie n'est pas encore l'avènement d'un désastre total et la beauté ce grand bal mortuaire à visiter dans l’exécrable puanteur d’une décomposition...
Publié le 05/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...
Ni bruit d'aile, ni sons d'eau vive, ni murmures...
Ni bruit d'aile, ni sons d'eau vive, ni murmures ; Ô Lune, coule dans mes veines Celles qui saignent longuement Les miroirs de maintenant sont encombrés de souvenirs plus vrais que nature. ( Leconte de Lisle, Jules Laforgue, Armen Lubin, Gérard Macé )
Publié le 04/04/2008 dans listesratures par absolu | Lire la suite...
Blogème XIV
Philosophe : ta pensée est semblable à ces marins qui chevauchent la chevelure ondoyante des océans, à la fois lucides et totalement inconscients des abîmes de sensations qu’il y a dessous. Ta pensée, reçois-la comme une doublure des fluides en circulation, une eau qui s’accumule et transborde le temps.
Publié le 04/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...
Blogème XIII
Étudiant : ce que je te souhaite de rester tout au long de ton parcours terrestre ; tu n’es encore personne, et cependant déjà ta propre mesure, oui, une graine innombrable portée par les pennes du vent...
Publié le 03/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...
Blogème XII
Poète : tu chantes tout bas ce qui s’époumone sur les places publiques – tu cries à la face du monde ce que même les dieux ont préféré taire.
Publié le 02/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...
Il m'est impossible de dire un texte où elle est nue
"Un livre se touche, un livre se caresse, peut-être ensuite raconte-t-il son histoire. J'hésite depuis longtemps à écrire ces lignes. Il m'est impossible de dire un texte où elle est nue. Où je la tiens serrée contre moi. Où tout à coup ma mémoire cède sous mon ventre. Et c'est le monde qui s'éventre, se déchire, et se libère. On ne prend pas un livre. On le cueille. Sa nuit nous appelle de...
Publié le 02/04/2008 dans listesratures par absolu | Lire la suite...
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