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Notes sur le tag : poème
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Dernières notes
Aimé Césaire
Prophétie là où l'aventure garde les yeux clairs là où les femmes rayonnent de langage là où la mort est belle dans la main comme un oiseau saison de lait là ou le souterrain cueille de sa propre génuflexion un luxe de prunelles plus violent que des chenilles là où la merveille agile fait flèche et feu de tout bois là où la nuit vigoureuse saigne une merveille de purs...
Publié le 30/04/2008 dans Poésie... par Plume | Lire la suite...
Blogème XLV
L’horreur absolue arrive toujours quand l’homme, par lâcheté ou manque d’imagination, n’a pas eu le courage d’envisager le pire. La littérature permet cela : de se regarder au fond des yeux, d’égal à égal, en quelque sorte, de cheminer en bonne compagnie jusqu’à l’ultime fosse du mal.
Publié le 30/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...
Blogème XLIV
Il n’y a pas qu’une enfance, il y en a d’innombrables. Autant de portes d'entrée dans les restes effondrés du labyrinthe. Autant de sommeils liquides enroulés autour des obsessions des dieux.
Publié le 29/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...
Blogème XLIII
La facilité qu’on a de danser sur le parquet de ses erreurs !
Publié le 29/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...
UN COEUR QUI BAT
J'attends le printemps Impatiente en guettant Le moindre clair instant De chaleur ambiant La verdure est présente Les fleurs sont absentes La sève monte en moi J'ai trop le coeur qui bat Devant moi si sérieux Tu murmures des mots A mon oreille aussitôt Je rêve à nous deux Je te veux dans mes bras La sève monte en moi Déjà tu n'es plus...
Publié le 28/04/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...
Blogème XLII
Par-delà les colères et les contradictions, rien n’affirme mieux le poids d’un homme que son aptitude à se réconcilier.
Publié le 28/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...
Blogème XLI
Certains passent à travers le temps de façon si commode qu’il ne les érode ni ne contribue à leur mûrissement. Ils sont nés vieux tout simplement.
Publié le 26/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...
Blogème XL
Quelquefois, bouche-toi les oreilles avec de la ouate imbibée de cire, et mets-toi devant un arbre moussu, à l’ombre de la plus forte branche, là où la lumière semble se séparer de la poussière qui monte du sol ; n’est-ce pas un soulagement de ne plus entendre le son de ta propre voix ?
Publié le 25/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...
L’ardoise des jours
Il faut la pauvreté pour sonder l’instant sans réserve Et l’aride splendeur d’un cœur trop meurtri – mais Que peut l’enfouissement, ce désert, le silence S'il ne s'y glisse pas un soupçon d'air, un fil d'éternité ? (1994)
Publié le 24/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...
Blogème XXXIX
Ceux qui ne ressentent nulle crainte à rechercher la compagnie des enfants, c’est à peu de choses près qu’ils se suffisent à eux-mêmes. Les jouets qu'ils tiennent dans les mains déjà tombent dans un autre monde.
Publié le 24/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...
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