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Notes sur le tag : poème

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Dernières notes

”C'est les éclairs de génie qu'y d'vraient mettre en Wi-Fi” ( Jules Laforgue - la der des der)

- Ecoutez ! Ecoutez ! Il va faire son discours ! Toutes les conversations s'arrêtèrent net, les regards (même les plus embués) se tournèrent vers le petit écran du bistrot : "Certes, ce siècle est grand ! quand on songe à la bête De l'âge du silex, cela confond parfois De voir ce qu'elle a fait de sa pauvre planète, Malgré tout, en domptant une à une...

Publié le 27/04/2013 dans listesratures par absolu | Lire la suite...

Roses

Poésie en images ... l'éloge du monde végétal épisode 2.     Roses –boutons qui attendent   D’éclater dans le ciel   Roses qui s’éveillent   Roses épanouies en soleils   pastel   Roses-tendresse   Roses-caresses blanches et roses   Sur l’habit vert de dame-nature.   Le 27 juin...

Publié le 26/04/2013 dans Laura... par laura | Lire la suite...

Engrais anonymes pour jardins privés ou municipaux (Jules Laforgue - prolongations pour cause de...

PROSE BLANCHE – tous les jeudis de 13h à 14h sur les ondes Bonne gens qui m'écoutes, c'est Paris, Charenton compris, Maison fondée en..., à louer. Médailles à toutes les expositions et des mentions. Bail immortel. Chantiers en gros et en détail de bonheurs sur mesure. Fournisseurs brevetés d'un tas de majestés, Maison recommandée. Prévient la chute des cheveux. En loteries! Envoie en...

Publié le 25/04/2013 dans listesratures par absolu | Lire la suite...

Le temps s’effiloche en lambeaux, inlassablement (Jules Laforgue - séjour prolongé)

  Le printemps l’éveille, s’épanouit en elle le soleil s’infiltre, la chaleur l’égare un peu. L’été s’annonce entre ses mains, les ombres rapetissent, se rangent dans un coin. Le sang a repris son cheminement, les paupières murmurent le retour à la lumière. La mort s’éloigne, encore une fois.     Elle est désirée, de nouveau, l’été s’épanouit, éclate dans ses yeux couleur...

Publié le 24/04/2013 dans listesratures par absolu | Lire la suite...

La terre est ronde comme un pot-au-feu (Jules Laforgue - supplément de rattrapage)

Monsieur Laforgue, N'allez pas penser que je vous snobe, que je vous ai relégué au second plan, que je vous ai largué pour un autre jules, un quelconque joueur d'orgue débutant. N'imaginez pas non plus que votre poésie m'ennuie, que votre prose se nécrose, que votre spleen, votre langueur et votre jeune mort m'ont répugné, qu'un autre poète rigoureusement optimiste m'aura séduite sous des...

Publié le 23/04/2013 dans listesratures par absolu | Lire la suite...

Où sont parties les larmes qui mouillaient ton corps ?

Où sont parties les larmes qui mouillaient ton corps ? Je me suis mise au soleil pour oublier mon sort. D’où vient que tes yeux brillent ainsi sans pleurs ? Je ris de voir que j’avais en moi tant de rancœur. Pourquoi n’entends-je plus ton pied léger caresser le gravier ? J’ai donc perdu toute envie de voir la lune se lever. Pourquoi cours-tu tout le jour après les éphémères ?...

Publié le 22/04/2013 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

jeune femme étrangère au jour écrit des chansons cousue de nuits blanches ( Jules Laforgue - 4ème...

Lorsque le soleil parvient à glisser un rayon dans la rue aussi haute qu'étroite, celle-ci se met à frémir comme une fourmilière assiégée, les étals des camelots scintillent, les terrasses palpitent un café pour la douze ! Alors, comment... ? Bonjour M'dame Rochin ! Portes à clochettes, sonnettes et klaxons improvisent un joyeux carillon. Au-dessus les intérieurs se...

Publié le 20/04/2013 dans listesratures par absolu | Lire la suite...

Le Veilleur, par Yann-Ber Kalloc'h / Ar Gedour, gant Bleimor

Au début du XXème siècle, le poète breton Yann-Ber Kalloc'h   (alias Bleimor, le loup de mer) originaire de l'île de Groix, écrivait en pleine grande guerre ces mots du Veilleur, mots certainement d'actualité en ces périodes troubles qui voient s'éclore une génération d'autres veilleurs...   [...] Me zo ar Gedour bras en e sav war ar c'hleuz, ...

Publié le 19/04/2013 dans Ar Gedour... par AR GEDOUR MAG - Le Blog | Lire la suite...

futur intérieur d'un « si » condamné à perplexité ( Jules Laforgue - 3ème jour)

- Nous vous écoutons. - Nous nous aimions comme deux fous ; On s'est quittés sans en parler. (Un spleen me tenait exilé Et ce spleen me venait de tout.) Que ferons-nous, moi, de mon âme, Elle de sa tendre jeunesse ! Ô vieillissante pécheresse, Oh ! que tu vas me rendre infâme ! Des ans vont passer là-dessus ; On durcira chacun pour soi ; Et plus d'une fois, je m'y vois, On ragera : "...

Publié le 18/04/2013 dans listesratures par absolu | Lire la suite...

Suis-je bien là où je suis ?

Suis-je bien là où je suis ? Vivre dans deux lieux sans savoir Activités ou méditation, que choisir La solitude ou la gare de voyageurs L’évaporation ou la noyade humaine ? C’est la corde raide de l’inconnu Le voyage sans fin de l’Entre deux (et pourquoi pas Antre ?) Un lieu qui n’en est pas un Une aspiration immatérielle Qui vous vide le cerveau Agité, je cours à...

Publié le 18/04/2013 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

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