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Notes sur le tag : poème

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Dernières notes

Dessalement matinal

La vie : chaque jour, prendre ses jambes à son cou Et faire le tour de la terre en esprit… Vingt-quatre heures et une révolution… Quand la nuit vous enveloppe Et vous fait plonger dans la piscine Du petit matin au glacis rafraichissant Vous sortez en entrebâillant la porte Vous sucez le glaçon de votre haleine Et commencez les premières foulées… Vous flottez dans la purée...

Publié le 08/09/2013 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Chemins escarpés... (20)

Quel que soit l’objet de ton intention, la fournaise qui brûle en toi concrétisera les moments précis de ce que j’appelle : « le souffle divin de l’esprit sur la braise de la nécessaire exaltation de l’envie », et cela par-delà les horizons sinistres. Tu feras en sorte d’organiser les exaltations de ton âme au service des vides profonds de ces existences brûlées. Tu...

Publié le 03/09/2013 dans Les songes... par Kraly | Lire la suite...

Septembre, leur fiction

L’aube de ce matin annonce celle de septembre, magnifique, quand tout se tait Dans la fraîcheur alpine de l’automne en train de tourner sur les toits Le sens des jours. Les abus de l’été vont cessant Il faut garder au cœur cet instant pour avancer plus loin sauf Dans la reprise des hommes  qui aspirent à l’événement Le  séisme des  crises et le bruit des bottes...

Publié le 01/09/2013 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

Loup, où es-tu ?

Loup, y es-tu ? Mais où donc suis-je ? Ou cours-je sans jambes ni cervelle ? Un petit pois seul me maintient Dans la droite ligne des farceurs… Meurs donc saltimbanque Que tes os déchus Fatigués de tant de nuits inutiles Brulent sans vergogne dans l’âtre Loup, où vas-tu ? Au pays des rêves sans pied Qui tiennent debout par volonté Comme la chèvre à son piquet Ils...

Publié le 31/08/2013 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Soirs d'été

Longues étaient-elles ces soirées qui n’en finissaient pas Assis sur le pas de la porte ouverte sur l’inconnu Le chat suit du regard le vol des pigeons Il rêve aux soirs d’hiver, quand la plume écrit Et condense sa noirceur sur les lignes de la main Marqué à vie par l’odeur de sable chaud Le lézard se désaltère dans la tasse du percepteur Qui d’autre pourrait mieux que lui...

Publié le 27/08/2013 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Chemins escarpés... (19)

Visant à ne fermer que la porte de l’inconscient, la rage des apparences se meurt dans la fournaise à pain.  Ne considérer que seul l'habit du mâle surgissant de l’idolâtrie pénale empêche de voir  de nos yeux cette boue sèche, car rien ne subsiste à l’esprit si ce n’est la conscience dans l’éternel émerveillement. Ce serait ainsi l’apothéose de ce que nous vivons petitement dans...

Publié le 25/08/2013 dans Les songes... par Kraly | Lire la suite...

Absurde, j'ai retrouvé le goût salé

Absurde, j’ai retrouvé le goût salé Des embruns pleurés aux grottes de l’océan La pluie Comme la bise sur l’arbre Égraine de gouttes La rêverie de l’œil sur le toit Le carillon des larmes de la gouttière Enchante ma cathédrale de zinc Au regard de l’arbre qui, de ses bras tendus Protège son corps d’écailles Grisâtre, l’épiderme nuageux Caresse les cheminées luisantes

Publié le 18/08/2013 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Rêvant de l'Écoutant

        Roy Lichtenstein (1923-1997), Muse endormie (1983), bronze patiné. Exposition au Centre Pompidou, Beaubourg, Paris, photographie : juillet 2013.     Toutes ces Muses endormies (ou plutôt — car la Muse est, tantôt multipliée par neuf, tantôt Une —, tous ces portraits de la Muse endormie), chez les artistes modernes et...

Publié le 17/08/2013 dans Les Lettres... par Frédéric Tison | Lire la suite...

De la douceur et du murmure

    Parler de poésie, c'est comme risquer d'effrayer un oiseau ; il est de s'en approcher tout doucement, à tâtons, murmurant, et de regarder.   (Un grand poète que je connais me racontait naguère qu'un poète de ses amis lui avait dit que Saint-John Perse, qu'il avait personnellement connu, lisait en murmurant ses poèmes. Les Éloges , les Vents ! murmurés...)...

Publié le 16/08/2013 dans Les Lettres... par Frédéric Tison | Lire la suite...

Être la rose

    Celui qui se soucie du poème aujourd'hui ne peut que constater ceci : la poésie a très peu d'interlocuteurs, et le poème, qui est son apparition dans le langage, parfois, gît dans la marge — il est pour ainsi dire dans les limbes , si le latin limbus indique la marge, la frange, le lieu indistinct où quelque chose veille et patiente. Est-il question du poème ou de...

Publié le 15/08/2013 dans Les Lettres... par Frédéric Tison | Lire la suite...

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