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Notes sur le tag : poème
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Où sont parties les larmes qui mouillaient ton corps ?
Où sont parties les larmes qui mouillaient ton corps ? Je me suis mise au soleil pour oublier mon sort. D’où vient que tes yeux brillent ainsi sans pleurs ? Je ris de voir que j’avais en moi tant de rancœur. Pourquoi n’entends-je plus ton pied léger caresser le gravier ? J’ai donc perdu toute envie de voir la lune se lever. Pourquoi cours-tu tout le jour après les éphémères ?...
Publié le 22/04/2013 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...
jeune femme étrangère au jour écrit des chansons cousue de nuits blanches ( Jules Laforgue - 4ème...
Lorsque le soleil parvient à glisser un rayon dans la rue aussi haute qu'étroite, celle-ci se met à frémir comme une fourmilière assiégée, les étals des camelots scintillent, les terrasses palpitent un café pour la douze ! Alors, comment... ? Bonjour M'dame Rochin ! Portes à clochettes, sonnettes et klaxons improvisent un joyeux carillon. Au-dessus les intérieurs se...
Publié le 20/04/2013 dans listesratures par absolu | Lire la suite...
Le Veilleur, par Yann-Ber Kalloc'h / Ar Gedour, gant Bleimor
Au début du XXème siècle, le poète breton Yann-Ber Kalloc'h (alias Bleimor, le loup de mer) originaire de l'île de Groix, écrivait en pleine grande guerre ces mots du Veilleur, mots certainement d'actualité en ces périodes troubles qui voient s'éclore une génération d'autres veilleurs... [...] Me zo ar Gedour bras en e sav war ar c'hleuz, ...
Publié le 19/04/2013 dans Ar Gedour... par AR GEDOUR MAG - Le Blog | Lire la suite...
futur intérieur d'un « si » condamné à perplexité ( Jules Laforgue - 3ème jour)
- Nous vous écoutons. - Nous nous aimions comme deux fous ; On s'est quittés sans en parler. (Un spleen me tenait exilé Et ce spleen me venait de tout.) Que ferons-nous, moi, de mon âme, Elle de sa tendre jeunesse ! Ô vieillissante pécheresse, Oh ! que tu vas me rendre infâme ! Des ans vont passer là-dessus ; On durcira chacun pour soi ; Et plus d'une fois, je m'y vois, On ragera : "...
Publié le 18/04/2013 dans listesratures par absolu | Lire la suite...
Suis-je bien là où je suis ?
Suis-je bien là où je suis ? Vivre dans deux lieux sans savoir Activités ou méditation, que choisir La solitude ou la gare de voyageurs L’évaporation ou la noyade humaine ? C’est la corde raide de l’inconnu Le voyage sans fin de l’Entre deux (et pourquoi pas Antre ?) Un lieu qui n’en est pas un Une aspiration immatérielle Qui vous vide le cerveau Agité, je cours à...
Publié le 18/04/2013 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...
Don Juin ou la conquête de l'alouette au temps des cerises sur les gâteaux ( Jules Laforgue -...
Il courait, à perdre haleine, entre les poubelles et les plus moches mais qu'est-ce qui lui a pris de venir ici avoir été certifié infâme par Labelle Bleue pris comme un lapin dans la lumière des phares Hélas ! des Lunes, des Lunes, Sur un petit air en bonne fortune.... Hélas ! de choses en choses Sur la criarde corde des virtuoses ! ... s'en prendre à plus « sans-papier » que...
Publié le 17/04/2013 dans listesratures par absolu | Lire la suite...
Couler à pic dans un lac en cinq mille morceaux ( Jules Laforgue - 1er jour)
Marie-Bernadette n'admettait pas de voir son mari partir à la dérive . Alors elle ramait, elle ramait pour deux, pour continuer leur traversée, espérant ainsi gagner l'Autre Rive ensemble, comme il se doit, âme dans l'âme, le cœur pur sur la main. Mais Marie-Bernadette n'avait pas le corps ni le cœur pour affronter la houle, les raz-de-marée, elle n'était habituée qu'aux croisières...
Publié le 16/04/2013 dans listesratures par absolu | Lire la suite...
Echange mots flambant neufs contre mots d'elle uniques ( Albert Samain - rattrapage)
Lentement, doucement, de peur qu’elle se brise, Prendre une âme ; écouter ses plus secrets aveux, En silence, comme on caresse des cheveux ; Atteindre à la douceur fluide de la brise éclairé seulement par l'écran nocturne la regarder se décrire se dévêtir de ses pudeurs contempler l'esprit nu à genoux devant l'inconnu se livrer à la nuit sans fausse vertu effleurer le voile qui se lève...
Publié le 15/04/2013 dans listesratures par absolu | Lire la suite...
Les glycines de San Remo
Ce matin, sous le ciel frémissant comme toi, C’est dans tes grappes et tes feuilles, Tout le miracle bleu du printemps qui m’accueille! Sabine Sicaud (*) Nous avons pris rendez-vous pour revenir dans un mois, ne serait-ce que pour admirer la glycine du bord de mer écrivais-je en réponse à un commentaire de l’ami...
Publié le 15/04/2013 dans Le Blog de... par Louis-Paul | Lire la suite...
Le bonheur
Un ver de terre sort du sol S’est-il rompu le cou pour la vacuité Ou découvre-t-il l’absence de souci ? Il chemine sur la surface A la frontière de l’inconnu Quelle ivresse et quelle arrogance ! Comment ce misérable vermisseau Peut-il tout seul goûter le bonheur ? Et contrairement à l’idée que l’on s’en fait Ce n’est pas la satiété qui le réjouit Mais le vide indolore de...
Publié le 14/04/2013 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...
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