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Notes sur le tag : poème

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Dernières notes

Le parc Monceau

Ce parc immense aux longs bras déliés De feuillages enchevêtrés et vert pâle Ouvre ses allées aux passants à pas menus Il est midi bien que le soleil ne soit pas au zénith Une légère brume encombre encore ses pelouses Les mères passent, poussant leur landau Où repose, les yeux fermés, l’enfant chéri Un homme, assis, revêtu d’un manteau noir Mange à pleine fourchette dans un...

Publié le 13/04/2014 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Faut-il sacrifier aux rites ?

Faut-il sacrifier aux rites ? L’encens s’écoule en volutes Les chasubles s’ébrouent La parole envoûte les sens… Une confusion décourageante S’empare des corps et des esprits Ombre et lumière Foi et raison Sincérité et habitude... Enferme-toi en toi-même Délivre-toi de cette pesanteur Balaie la poussière de tes pensées Et danse sur la flamme Rougeoyante et tenace...

Publié le 09/04/2014 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

L'absurde... un premier avril

Quel mot délirant Il n’a qu’une seule rime : Kurde ! Un mot sans existence légale… Abs… Cela commence mal Comme l’absence ou l’abstrait Joignez-les ensemble Abs…urde… est-ce une langue Oui, peut-être, mais qui fourche C’est normal L’absurdité est contraire à la raison Alors… abs…tinence ! C’est ainsi qu’il se trouve seul Environné de pommiers Une couronne sur la...

Publié le 01/04/2014 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Carnet / De l’heure (et de l'heur) d’été

Dans les années 80 du vingtième siècle lors d’un passage à l’heure d’été, j’avais écrit  ce poème, L’heur d’été , que je n’aime plus aujourd’hui. Il est extrait de mon recueil L’Inventaire des fétiches que j’avais publié sans doute trop vite en 1988, une occasion favorable s’étant présentée. Détail amusant, quelques lecteurs de L’heur d’été avaient cru voir une coquille dans ce...

Publié le 31/03/2014 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

Quelle différence ?

– Je suis femme et donc lasse De n’avoir que mes yeux Pour parler à ceux qui m’ignorent Tout en me contemplant – Je suis homme et donc prêt A toute tentative de charme Quand déjà ses yeux me fixent Et me disent : Oserez-vous ? – Adolescente, je contemplais sans honte Les efforts sportifs des jeunes hommes Et riais de les voir, rougeauds Encore pleins de force virile...

Publié le 28/03/2014 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

L'heure sauvage

Trois heures trente, l’heure sauvage Celle où rien ne pousse dans la tête… Silence... On tourne autour de soi Sans consistance et sans résultats… C’est un autre monde, inédit Qui ressort des pages bouleversantes De cet entre-deux prenant la gorge… Rien ne s’offre gratuitement… Chaque nuit le même récit voilé Le retournement des principes Et la sûreté des geôles d’antan…...

Publié le 24/03/2014 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Oh ! combien de marins, combien de capitaines

Oh ! combien de marins, combien de capitaines Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines, Dans ce morne horizon se sont évanouis ? Combien ont disparu, dure et triste fortune ? Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune, Sous l'aveugle océan à jamais enfoui ? Combien de patrons morts avec leurs équipages ? L'ouragan de leur vie a pris toutes les pages Et d'un souffle il a tout...

Publié le 23/03/2014 dans BLOG'Opapilles par Opapilles | Lire la suite...

Printemps... des poêtes, le 16ième

Par les grillages de l’attente Je laisse l’espoir à la mer Egrener ses ombres mouvantes Mon regard lèche la torsade Du fer forgé envoluté La brise arrondit sa chamade Poète Rassemble le monde Brode la dentelle des marées Et calligraphie sur leur onde L’annonciation démiurgique Qui vibre au chant désespéré Jailli de ta lèvre magique Tisse et fais renaître le songe Où être heureux nous...

Publié le 21/03/2014 dans BLOG'Opapilles par Opapilles | Lire la suite...

Hiver ou été ?

L’astre vous bourre de ses rayons Tourné vers lui le visage s’ouvre Chaque pore dégorge son eau Vous ruisselez dans le froid de l’hiver Les cris des enfants du village Entament comme une scie obscure Le solo patient et quotidien D’une journée écrasée de rouge Le portail ouvert, béant de fureur Dont on nettoie les dents noires Laisse passer les géants de la route Ombres...

Publié le 20/03/2014 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Maurice Scève, Délie

                          CLXXXIII   Voy ce papier de tous costez noircy, Du mortel dueil de mes justes querelles ; Et, comme moy, en ses marges transy, Craingnant les mains piteusement cruelles. Voy, que douleurs en moy continuelles Pour...

Publié le 20/03/2014 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

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