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Notes sur le tag : poésie
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Dernières notes
Carnet / Comme un regard lointain derrière un air de guitare.
Qui est le destinataire d'un livre ? On aurait des surprises si l'on découvrait à qui était adressé tel ou tel chef-d'œuvre. Un vieil amour perdu, des parents disparus, quelqu'un avec qui on n'a pas eu le temps de s'expliquer, un fantôme du passé, un enfant à naître... Je crois qu'un écrivain a souvent de bien mystérieux interlocuteurs et quand cela donne parfois un pilier de...
Publié le 02/08/2019 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...
C'EST EN ETE
C'est en été Sous un soleil de plomb Ou à l'ombre Dans la maison Que passent En silence Les heures. (10.06.17)
Publié le 31/07/2019 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...
Blaise CENDRARS SOMNAMBULE
... Et moi, comme un somnambule, je descendais du cinquième étage le long de la gouttière ; moi, ce jour-là, je m'enfuyais de la maison de mon père. Je voulais m'engouffrer dans la vie de la poésie et pour cela il me fallait traverser la poésie de la vie. ... Blaise CENDRARS , La légende de Novgorode, Fata Morgana, 1997
Publié le 30/07/2019 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...
Rendez-vous
Un sourire, puis départ sans un regard Qu’a-t-elle à dire à cet homme ? Mais, elle a souri tout de même Avec douceur, presque tendresse De ses lèvres charnues Il la suit des yeux, tremblant quelque peu Elle le sait, mais n’en a cure Il la suit sans la regarder Elle l’observe sans dire mot Ils marchent vers la colline Où un seul arbre règne, Les branches basses et...
Publié le 30/07/2019 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...
Downtown walk through
D es mains déchaînées s'en racontent... Pas loin, sur un chemin de honte des coups pour rien, des embuscades aux gras teints, aux nuits de muscades et puis s'engoncent dans les porches lames légères sous les torches O n n'a rien vu (c'est mieux, ça comme - mais si, tu le sais bien, bonhomme) W atusi, hey! what did you see? Si je m'en réfère à ces cornes à l'extrémité de tes doigts tu...
Publié le 22/07/2019 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...
Valentine
La course du temps a de bien doux effets La hanche s’arrondit, le sein se raffermit L’adolescente se contemple, stupéfaite Et n’ose regarder les courbes de ses amies Ce passage si bref, de l’enfant à l’adulte Se laisse enjoliver d’épines et de roses Aujourd’hui, elle tente de vouer un culte A ceux qui passent des caresses à la chose Osera-t-elle braver l’opprobre du monde...
Publié le 22/07/2019 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...
Des ”Cafés noirs” à Luis Ocaña (puis jusqu'à Belladone), un parcours d'écrivain... Note mise à...
On s’en tient à ce qui s’envole : une feuille, un oiseau, un peu d’encre, une pensée. Puis des ailes. Hervé Bougel, Petites fadaises à la fenêtre ................................................................... Voir, tout en bas, mise à jour, 08-08-21 . Autres publications, depuis cette note jusqu’à 2021 (plus livres non lus avant)… ...
Publié le 21/07/2019 dans Trames nomades par MCSJuan | Lire la suite...
”Énigmes du seuil”. Ou ”prendre place dans une part d'infini”...
je dessine mon ombre à l’encre de mon corps chargé de pages d’incertitudes à incendier le futur Rio Di Maria Énigmes du seuil, L’Arbre à paroles, 2018 (Dans ses dessins , nombreux, un théâtre magique,...
Publié le 18/07/2019 dans Trames nomades par MCSJuan | Lire la suite...
Books, A lire ou à relire : ”Je ne peux le croire” anthologie haïkus & tankas
Cette anthologie établie par Dominique Chipot et publiée aux éditions Bruno Doucey est remarquable et bouleversante. Son titre complet dit tout "Je ne peux le croire. Fukushima Nagasaki Horishima". Recueil de haïkus et tankas de poètes contemporains connus ou non. On pourra y lire notamment les textes de Matsuo Atsuyuki, un des rescapés de Nagasaki ou ceux d'Oyama Takami qui s'éleva toute...
Publié le 17/07/2019 dans MB&P : Music... par Play B | Lire la suite...
Attention
Une extrême attention, l’œil rivé à la ligne, Il ne pense qu’à ça, le cerveau pétrifié. La ligne est son guide, même si curviligne. Elle fuit à l’horizon, jusqu’où va-t-il aller ? Il fit ainsi le tour d’un monde artificiel, Entraîné par l’élan d’une droite sans fin Qui reste toujours une, ô jamais plurielle, Avenir solitaire jusqu’à l’étrange fin. Et pendant ce temps-là,...
Publié le 16/07/2019 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...
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