Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Créez votre blog gratuit ou pro

Je crée mon blog Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère

Notes sur le tag : poèmes

Tags relatifs

Dernières notes

Gwen Garnier-Duguy

  Sainteté je marche vers toi   A Pauline     Le jour se lève. Je marche. Mon corps porte les traces séchées du continent européen. Ses peuples se dressent dans mes jambes. Les innombrables mains retournées à la terre courent sur mes épaules, me soutiennent, espèrent que je conduise les élans qu'elles me donnent vers la certitude. Je marche. Je parle l'ancien...

Publié le 05/10/2007 dans Poésie... par Plume | Lire la suite...

PRISONS

Il y a des prisons qui donnant sur l'enfer, barbelés et barreaux, camisoles chimiques, insultes à la matière et insultes à l'esprit, dépouillent toutes les peaux jusqu'à la transparence. Il y a des prisons où même un cancrelat est une compagnie préférable aux humains, où les songes brûlants flambent comme un alcool et balayent l'odeur des rivages de l'autre. ...

Publié le 04/10/2007 dans Laboratoire... par Ariaga | Lire la suite...

LA SOURCE DES VERS

Contre les voluptés des plus heureux du monde Je n'échangerais pas les maux que j'ai soufferts : C'est le plus grand soupir qui fait le plus beau vers. (Sully Prudhomme René François - 1839-1907)

Publié le 04/10/2007 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

SI PETITE

Je ne sais plus vraiment comment je vis Un grand vent a soufflé par ici Un chant funèbre de fin d'été Sort de ma bouche quand je veux chanter Mon coeur est gonflé par trop d'angoisse La rainette à ma porte coasse Les nuages défilent au-dessus des côteaux Je me sens si petite dans mon grand manteau Le feu qui brûle dans la cheminée...

Publié le 02/10/2007 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

Bérengère Olive

  A quoi ça tient, tout ça     Hier dans la rue, un homme marchait, qui avait mis ses plus beaux gants de ménage pour sortir. Ceux qui sont roses. Il y avait tant de brisures sur le trottoir, enjamber, décaler le pas pour que toujours la pointe du soulier repose au-delà de la ligne de crête, c'était impossible. Changer de route, alors, plonger dans les profondeurs et prendre le métro qui...

Publié le 01/10/2007 dans Poésie... par Plume | Lire la suite...

LA MUSIQUE COMME UNE ECLAIRCIE

Tu as besoin de fraîcheur Tu vois un peu de bonheur Dans les yeux des musiciens Tu penses toujours à demain Et tu penses à ton avenir Tu cherches dans tes souvenirs Tu revois un peu de soleil Après une nuit sans sommeil Tu veux prendre sa main Lui demander de jouer Sur la guitare qu'il tient Des mélodies que tu aimerais jouer Il dit qu'il n'a...

Publié le 30/09/2007 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

INSPIRATION DU POETE

Où donc est-il le temps charmant Où le mot m'arrivait si vite ? Le mot venait d'abord et la pensée ensuite. J'étais un poète vraiment ! (Tristan BERNARD)

Publié le 28/09/2007 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

EXCUSES

Je ne serai pas trop présente en ce moment, mon mari s'est blessé à la jambe et au bras mardi dernier. De longs mois de rééducation après plâtrage et opérations nous attendent tous les deux. Je vous prie de bien vouloir m'excuser. J'essaierai de poster quelques notes pour faire vivre mon blog mais suivant le temps qu'il me restera. Je vous remercie pour votre présence constante durant plus...

Publié le 28/09/2007 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

JE T'AI DONNE UNE POESIE

Je t'ai donné une poésie où j'avais célébré ta beauté, mais tu l'as déchirée et tu en as jeté les morceaux dans le lac... parce qu'il n'avait pas de nénuphars, m'as-tu dit. (HI TSONG, Empereur de Chine - 1620-1657)

Publié le 26/09/2007 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

L'AUTOMNE (vu par quelques poètes)

THEOPHILE GAUTIER, Emaux et Camées (1811 - 1872) Déjà plus d'une feuille sèche Parsème les gazons jaunis ; Soir et matin, la brise est fraîche, Hélas ! les beaux jours sont finis ! R. L. GEERAERT, Les sueurs de la joie (1925 - -, Belge) Un reste de soleil sur le seuil de la brume, Une glu chaude encore à la pente des nues Et l'automne vous prend...

Publié le 22/09/2007 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

Page : Précédent 76 77 78 79 80 81 82 83 84 Suivant