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Notes sur le tag : poème

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Dernières notes

Regard

Glisse-toi dans ton ombre Epouse cette sombre pénombre Qui traverse ta vie Et l’enchante sans avis Entre dans la tente Et couvre ta tête imprévoyante Assainis ton être démuni De la caresse des nuits Seras-tu la mort voilée Ou la transparence étoilée Tu glisses entre les gouttes Et seul poursuis ta route Parti dans l’atmosphère Tu n’es plus sur terre Ta légèreté...

Publié le 19/09/2016 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Concision 65

Effleure le crâne Prend le corps entre ses bras Pulsations du soir.  

Publié le 18/09/2016 dans MB&P : Music... par Play B | Lire la suite...

Premières pluies

Le rien du sommeil Et le tout du tonnerre L’infini sans pensée Le fini encombré Tu te dresses sur ta couche Et oses prononcer Dieu Qu’ai-je fait ? Tu reprends conscience Ce trou dans ton être Est-il le cri primordial Ou cours-tu dans l’absence Pour te convaincre d’aimer ? Fracas du verre La pluie tombe, grossière Sur les toits de tôle Et les rêves de geôle...

Publié le 18/09/2016 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Queue

Ils étaient là depuis trois-quarts d’heure Pressés les uns contre les autres Personne ne voulant céder sa place Et la queue s’étirait, mollement Mon voisin écoute nos conversations L’oreille en capuchon, le nez en vrille Qu’a-t-il reconnu qui l’ait fait trémousser Un reste d’affection ou d’opprobre ? Je me  retourne, c’est long Long comme un jour sans pain Les têtes...

Publié le 17/09/2016 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Poète

Il est poète pour ne rien dire Il n’en pense pas moins Et lui non plus, pire Il n’en prend aucun soin Avez-vous déjà vu Ceux qui n’ont qu’un grain Pour devenir fétu Et vaquer en pèlerin Ils s’enfoncent en votre chair Et ricanent de votre effarement Plus rien ne les libère Même leur enfermement Alors ils marchent sûrs d’eux Tête haute et chapeau bas Sans un...

Publié le 16/09/2016 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Devenir source

Devenir Source Qui coule dans le matin brûlant Devenir Soi Qui rayonne jusqu’au firmament Être juste dans une présence Se poser pour regarder et ressentir S’avancer à petits pas dans les expériences de la Vie Grandir jusqu’aux étoiles Jusqu’au Soleil intérieur Et advenir à ce que l’on Est Dans une clarté fulgurante Une intensité dramatique Une fièvre contagieuse Une explosion...

Publié le 15/09/2016 dans Sylvie... par syb24 | Lire la suite...

Canicule

La rue est ronde de la chaleur Qui tombe du ciel lentement Avec la douceur d’un agneau Et la berce d’apesanteur Les voix traversent l’air densifié Elles pépient en oiseaux polis Pénètrent l’oreille voluptueusement Et montent en vrille dans la nuit Toutes fenêtres grandes ouvertes Comme un pois chiche vous flottez Aucun souffle ne vous chasse Vous êtes là, patients,...

Publié le 15/09/2016 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Concision 64

Par les pulsations de mon cœur dans la pénombre Le silence irradié.  

Publié le 10/09/2016 dans MB&P : Music... par Play B | Lire la suite...

Fanny

Verte Fanny, crie la jument bègue Où cours-tu donc de si matin ? Ne sais-tu pas que le colimaçon Est jaune, visqueux et grelottant A quoi sert cet esthète aux poils luisants Qui souffle sur la lune tiède Et étire son langage au fil de la nuit Rien ne trouble le silence doré D’un noir immense et sans vie Qui s’ouvre sur le lac débordant Des jours d’été, fluides et sveltes...

Publié le 09/09/2016 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

”LA MORT DES OISEAUX” PAR FRANCOIS COPPEE

    " La mort des oiseaux   Le soir, au coin du feu, j'ai pensé bien des fois À la mort d'un oiseau, quelque part dans les bois. Pendant les tristes jours de l'hiver monotone, Les pauvres nids déserts, les nids qu'on abandonne, Se balancent au vent sur un ciel gris de fer. Oh ! comme les oiseaux doivent mourir l'hiver ! Pourtant lorsque viendra le...

Publié le 08/09/2016 dans l'écrivain... par Christian Jougla | Lire la suite...

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