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Notes sur le tag : poème

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Dernières notes

Chez moi

Chez moi, il y des palmiersDans le ciel dégagéChez moi, il y a des nuagesDans le ciel d'orageChez moi, il y a l'océanQui joue avec le ventChez moi, il y a la pluieQui tombe même la nuitChez moi, il y a le soleilQui rit dès le réveilChez moi, le champagne Pétille dans les verresChez moi, le thé somnoleDans le midi de caniculeChez moi, c'est ici encoreChez moi, c'est là-bas si fort

Publié le 05/05/2008 dans Laura... par laura | Lire la suite...

Blogème XLIX

Devant le bras étendu du rêveur, nulle branche ne s'effeuille sans la promesse d'une nouvelle sève.

Publié le 04/05/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

Blogème XLVIII

Je parle d’ici parce que je sais que je ne puis plus rien pour toi. Là où tu respires rougeoie une plaie vibrante parmi les souches et les troncs entassés sur l’antique montagne de pierres… un arbre d’argile qui se consume lentement sur ses os. Parfois je me demande s'il existe une autre issue à l'asphyxie que la mort.

Publié le 04/05/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

Si seule

Si seuleSi saleSi saouleDes serments non tenusDes silences non brisésDes serments trop sensésSi seule Dans le silenceSi saleSi seule Hors la sociétéSi saleDes souilluresSi sagesDes sermonsSi saouleDes sermentsSi sensésSi seuleSi saleSi saouleSi sageSi senséeSi sotteSi sordideSi silencieuseSi susceptible

Publié le 03/05/2008 dans Laura... par laura | Lire la suite...

Blogème XLVII

Ah ! mes petits rats de bibliothèque, mais ayons le courage pour une fois de sortir au grand jour pour nous laisser visiter par l’abeille, la fleur ou encore le nuage aux chemins effacés… Bien. Que se passe-t-il alors ? La terre tremble comme dans les livres, l’ouragan se déchaîne, dangereux indubitablement, et l’on se rend compte qu’il n’y aura rien de plus à tirer de ce...

Publié le 03/05/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

LES MOTS APRES LES AUTRES

Des mots glissaient sur le papier glacé D'autres dans les airs se prélassaient Attendant que les enfants les dévorent Comme les friandises qu'ils adorent La maîtresse au tableau écrivait Certains suivaient, d'autres rêvaient Sa voix monotone dictait Les mots après les autres et chantait Dans le silence de la classe...

Publié le 02/05/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

L'ennui d'être femme

L'ennui d'être femmeEst qu'on nous conditionneA faire le ménageLa cuisineLe repassagePour être une vraie femmeIl faut être sobreApprendre l'ennui, taireSes envies,ses rêvesLaisser les hommesA leurs affaires sérieusesCelles du mondeEt se replier sur l'intimeLe linge qui sent la lavandeLa maison l'encaustiqueSi on refuse l'ennui d'être femmeOn risque d'être un HommeSeul et libre.1 er mai 2008

Publié le 02/05/2008 dans Laura... par laura | Lire la suite...

Au ciel plein d'attention

Au ciel, plein d'attention, ici la terre raconte ; son souvenir la surmonte dans ces nobles monts. Parfois elle parait attendrie qu'on l'écoute si bien -, alors elle montre sa vie et ne dit plus rien. R. M. Rilke, extrait de Les quatrains valaisins

Publié le 02/05/2008 dans listesratures par absolu | Lire la suite...

Blogème XLVI

L’homme dont l’emploi est de verser le chloroforme sait qu’il n’a pas le droit de parler avant que ne s’éteigne la dernière plainte. Car parler c’est trop d’espérance sans doute.

Publié le 02/05/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

Comme un manifeste...

Tu écriras sans te ménager ni ménager la langue qui t’a vu naître et dans laquelle tu as bâti ton berceau. Tu écriras pour t’enfoncer dans cette zone franche où l’ombre se mêle à tout jamais à la fumée tournoyante des lampes. Tu écriras pour la liberté, laissant de côté l’arrière-pensée de ramener qui que ce soit à la raison. Tu écriras pour ceux que tu aimes – tes parents,...

Publié le 01/05/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

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