Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Créez votre blog gratuit ou pro

Je crée mon blog Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère

Notes sur le tag : nouvelle

Tags relatifs

Dernières notes

Enfin, les mots rouges

[...] Et les mots rouges, ces mots qui brûlent la peau comme le fer marque le troupeau, qu'on gardera pour soi au risque de le perdre à jamais... Ces mots, couleur de l'interdit, qu'on prononce tout bas à l'heure où tout s'éteint, ces mots qu'on vit plus qu'on ne les dit, qui dansent plus qu'on ne les pense, quand tout autour plus rien ne bouge. Pourquoi la Terre continue-t-elle de tourner,...

Publié le 18/06/2007 dans listesratures par absolu | Lire la suite...

Ensuite viennent les mots bleus

[...] Il y a les mots bleus, qu'on dit tout près des cieux, à ce qu'on a de plus précieux. Les mots bleux, dont j'ai perçu l'écho jadis, que j'avais gardé sur mon corps, comme des indices, avant que leur traces ne s'affadissent. [...]

Publié le 15/06/2007 dans listesratures par absolu | Lire la suite...

Dernière ligne droite

Une dernière ligne droite ensoleillée, bordée de champs qui fument au petit matin. Dressé en son milieu, l’arrêt de bus n’a guère de succès, juste une fidèle que chaque matin je croise. Les brumes matinales tendent à s’estomper. La belle inconnue est exacte à son rendez-vous. Comme chaque matin, elle attend stoïque son bus. Fallait pas. Il ne fallait pas monter dans cette voiture...Elle a...

Publié le 13/06/2007 dans Sheela par Sheela | Lire la suite...

Premièrement : les mots verts

[...] Il y avait les mots verts, encore trop acides pour mettre leur jus en bouteille, pas assez mûrs pour tomber au creux de mon oreille. Ceux-là même qui s'échappent alor sque le sommeil nous rattrape. Ces mots couleur des prés qu'on peut dire quand on est encore loin, herbe folle pas encore déracinée d'un amour déjà calciné. [...]

Publié le 12/06/2007 dans listesratures par absolu | Lire la suite...

Métro, boulot, déborde

[...] On s'est cognés à ces mots qui collaient jusqu'alors au palais, ces mots qu'on croyait trop laids et qu'on a fini par expulser. Pulsion, répulsion, on cherchait à libérer la haie qu'on avait de sio sur l'autre. Finis les draps de soie dans lesquels on batifolait. Adieu les feux follets dans ses yeux. Finis les cieux qu'on regardait tous les deux, au-delà des immeubles entassés, oubliant...

Publié le 09/06/2007 dans listesratures par absolu | Lire la suite...

Sous, venir...

Il est de ces êtres, qui n’ont pas encore pu naître, révéler vraiment ce qu’ils sont, ce qu’ils ont depuis tant de saisons, et ce sans raison apparente.. elle fait bonne figure, garde tout pour elle, regarde autour d’elle, et ne s’y retrouve pas..   Il est de ces êtres qui gardent   leur Chrysalide, de peur de s’envoler trop haut,...

Publié le 03/06/2007 dans listesratures par absolu | Lire la suite...

La photo manquée - Maripasoula

À chaque voyage sa photo manquée, où que ce fût, quel qu’en fût le sujet, c’eût été la plus belle, la plus forte, la plus difficile aussi. Maripasoula, quelque part dans l’ouest guyanais, à la frontière du Surinam. 11h, le fromager tristounet, à l’écorce de peau d’éléphant, m’abrite du soleil. Accroupi à son pied jonché de canettes Heineken, j’attends une place dans une pirogue....

Publié le 01/06/2007 dans BLOGUY par capableu | Lire la suite...

One-Shot

Mechanical dance Les garçons se déchirent à la Téquila T’es qui l’amor ? La mort de ma vie ! Les filles s’enfilent entre 2 verres de Vodka Mechanical lovers Avec ses yeux de feu Il est le phénix de la piste A la recherche de la proie facile Il pille les filles Corps et âme en peine En panne d’amour Il s’approche d'elle L'entraîne sur la piste aux étoiles Ses yeux...

Publié le 30/05/2007 dans Sheela par Sheela | Lire la suite...

Le cri

Le cri   J’eus tous les soirs, sous ma fenêtre, un homme âgé, en guenilles, titubant, hirsute, et illuminé d’absinthe (ça se voyait au fait qu’il rayonnait dans la pénombre) qui criait un mot que je mis plusieurs mois à comprendre. Les premiers jours, ou plutôt, les premiers soirs, j’entendis « ahyiaaaa », puis « mayiaaaa » puis je m’habituai à ce hululement vespéral et...

Publié le 29/05/2007 dans Yfig ex nihilo par Yfig | Lire la suite...

Soûle, Eve ment - extrait

[...] C’était beau, c’était immense, si court, si intense, plein de tendresse, insensé, deux jours entre parenthèses, synthèse du bonheur parfait, dont la durée n’excède pas 72 heures. Après son départ, l’euphorie, le cœur engourdi, la douleur présente, mais pas encore ressentie, lèvres encore scellées de tant de baisers, témoins d’une torture à frôler l’extase sans pouvoir la toucher, à ne...

Publié le 29/05/2007 dans listesratures par absolu | Lire la suite...

Page : Précédent 68 69 70 71 72 73 74 75 76 Suivant