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Notes sur le tag : enfance

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A la fin des années 50, enfant j’habitais avec mes parents et ma soeur au cœur de Paris et déjà à cette époque les citadins qui le pouvaient profitaient du week-end pour se sauver à la campagne et s’oxygéner les poumons. Nous n’échappions pas à cette règle. Si je n’ai guère de souvenirs de la première voiture de mon père, une Juva4, je me rappelle très bien de sa 203 Peugeot, noire et...

Publié le 18/07/2010 dans Corboland78 par Le Corbeau 78 | Lire la suite...

Si Eve Volver apparaît dans une histoire le coup partira avant la fin

"-T'es maboule toi ! -J'suis la boule de personne !" Un pied dans la réalité, un pied dans l'imaginaire, Eve Volver , six ans, nous raconte sa vie entre une grande soeur trop sérieuse, Victoria , et une petite, Loula, "capturée" juste après le séjour de maman à l'hôpital." C'est un moulin à paroles, et elle se fatigue elle-même à tant parler mais elle est diablement attachante...

Publié le 08/07/2010 dans cathulu par cathulu | Lire la suite...

Et une limonade! (tag)

Signe particulier: impatiente et rebelle! Avec moi, on sait quand ça ne va pas. Et puis, disons le franchement, je suis hyper émotive même si j'en gagne au fil des ans. Je n'ai pas un coeur de pierre et je ne suis pas du tout blindée. Mais je préfère être comme ça. Les gens blindés ne sont franchement pas drôles. Mauvais souvenirs: les cours d'EPS au collège et au lycée. J'ai...

Publié le 04/06/2010 dans La plume et... par Do | Lire la suite...

Bon sang ne saurait mentir

« Bon sang ne saurait mentir » avait coutume de nous dire depuis son fauteuil en rotin la canne calée sous le poing le chignon terne et austère notre fière arrière-grand-mère Un vieux lorgnon d’entre-deux-guerres lui cousait un œil plus sévère dont elle usait d’un air mesquin glaçant nos mines de bambins et fustigeant de son venin les délires badins d’un âge pré-pubère...

Publié le 29/05/2010 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

Le soleil de mon enfance

Le week end a été doux comme un souvenir d'enfance...

Publié le 24/05/2010 dans Sabine et... par Sabine | Lire la suite...

Anthologie

Il y avait la façade grêlée de roses, rouges, aux pétales comme une pluie recueillie à l'heure attendue du printemps et de l'été, dont nous faisions des confitures, gelées plutôt, douces et légèrement translucides, sémaphores des petits-déjeuners de l'automne, venu désormais. C'était ainsi manger un peu de la maison de campagne, et la perpétuer, urbains repliés que nous étions, en...

Publié le 16/05/2010 dans off-shore par nauher | Lire la suite...

notule 07

Il ne s'agit pas de raconter les livres, d'en dévoiler la matière, les tenants et les aboutissants mais de les faire connaître, sans chercher un classement cohérent, sans vouloir se justifier. Simplement de partager ce «vice impuni» qu'est la lecture. L'enfance. Sujet rebattu. Mais pourquoi y renoncer ? 1-Une petite fille regarde le jeu que mènent autour d'elle...

Publié le 08/05/2010 dans off-shore par nauher | Lire la suite...

Devenir

Le directeur du centre de formation m'avait annoncé son départ à la retraite et dit le plaisir qu'il avait eu à travailler avec moi. Phrases entendues, et parfois convenues, de ceux qui partent et se soucient soudain du souvenir. Mais ce n'est pas ainsi que j'ai reçu cette annonce. Elle m'a touchée. Je n'avais pourtant pas développé, comme cela arrive, une amitié ni même une intimité dans la...

Publié le 27/04/2010 dans WILLEMS... par Jean-Pierre WILLEMS | Lire la suite...

Le génie du non-lieu

La première fois qu'il a mis les pieds à Londres, il n'était pas si jeune et il n'y est pas retourné depuis. La ville manque de chic et de chaleur. Son architecture s'enlise dans le conventionnel. C'est amusant, sans plus. Les musées l'ont ébloui et les parcs séduit. Avril était clément et il aimait revenir le soir, tranquillement, dans le quartier de Victoria Station où il logeait....

Publié le 08/04/2010 dans off-shore par nauher | Lire la suite...

Le passé simple

L'une était partie, bien des années auparavant, à la ville. Mais elle avait acheté, plus tard, une petite maison et sympathisé avec la fermière qui possédait le jardinet adjacent. Ainsi avaient-elles institué, chaque samedi après-midi, la pause du café, vers seize heures, sorte de récréation de la semaine rurale, pour la seconde, car, des deux, c'était elle la plus bavarde. Le travail...

Publié le 25/03/2010 dans off-shore par nauher | Lire la suite...

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