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Notes sur le tag : évocation
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Interlude mucical
Francis Poulenc (1899-1963) : Sextuor pour flûte, hautbois, clarinette, cor, basson et piano (allegro vivace). Francis Poulenc parle du groupe des six. =4){Xt_s=screen;Xt_i+='&r='+Xt_s.width+'x'+Xt_s.height+'x'+Xt_s.pixelDepth+'x'+Xt_s.colorDepth;}document.write(Xt_i+'&ref='+Xt_r.replace(/[ "]/g, '').replace(/&/g, '$')+'" title="Internet...
Publié le 28/04/2021 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...
Le jour des blouses grises
Quand j’étais encore concerné, la rentrée des classes marquait pour moi le jour le plus noir de l’année, surtout à l’école primaire. À cette époque, au début des années soixante du vingtième siècle, les vacances d’été commençaient le 27 juin et se terminaient le 15 septembre, ce qui en faisait véritablement, selon l’expression consacrée, les grandes vacances. Le jour de la rentrée,...
Publié le 31/08/2020 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...
Carnet / Dans un pli du temps
À cette heure fébrile de la nuit, lorsque le jour me manque le plus, en particulier en ces temps encore incertains où je me demande quand il sera possible de recommencer à se promener normalement dans les grandes villes d’Europe que je préfère, Lisbonne, Porto, Venise, Lyon, Rome, Florence, et dans celles que je souhaite découvrir, Madrid, Cagliari, Séville, je repense à un de ces moments...
Publié le 06/06/2020 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...
Carnet / Le jour des blouses grises
Quand j’étais encore concerné, la rentrée des classes marquait pour moi le jour le plus noir de l’année, surtout à l’école primaire. À cette époque, au début des années soixante du vingtième siècle, les vacances d’été commençaient le 27 juin et se terminaient le 15 septembre, ce qui en faisait véritablement, selon l’expression consacrée, les grandes vacances. Le jour de la...
Publié le 02/09/2019 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...
La bonne étoile
Tu regardes toujours à la fenêtre avant de te coucher car ce que tu vois dehors dans le halo du dernier réverbère est ta vie Dans ce tableau nocturne le pré quelques buissons l’orme les frênes le chat la route où trotte parfois presque tranquille le renard Pas grand-chose en somme mais tout ce dont pouvait sans doute rêver le pauvre gars dans les tranchées...
Publié le 11/11/2018 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...
Les derniers temps de la vapeur
Tout au fond du jardin, un mur recouvert de tuiles séparait les groseilliers de la voie ferrée. Louis se gavait des grappes translucides lorsque le sol se mit à vibrer. Cette fois-ci, Louis se promit de ne pas bouger et de regarder la locomotive à vapeur jusqu’à la fin de la manœuvre mais comme d’habitude, la panique le saisit dès que la masse noire approcha et étendit sur lui son...
Publié le 09/07/2018 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...
Mauvais esprits, nous m’dame ?
En complément de mon billet sur la statue de Voltaire installée à Oyonnax, je mets en ligne ce texte que j'avais donné à la revue Le Croquant n°16 (automne - hiver 1994). Et en plus, une petite référence musicale à Candide qui a inspiré Leonard Bernstein . A utour du lycée, les préfas poussent comme des verrues sur un visage obèse qui peut tout aussi bien être celui...
Publié le 05/05/2018 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...
Carnet / Mai 68 : du bateau ivre à la galère
En 1968 j’avais neuf ans et j’étais à l’école privée Jeanne d’Arc à Oyonnax dans l’Ain, une petite ville du Haut-Bugey. Chez moi, j’entendais bien sûr les adultes commenter les événements de mai, notamment au cours des repas de famille qui avaient lieu boulevard Dupuy dans la maison où vivaient mes grands-parents et mon arrière-grand-mère. Parfois, le dessert était gâché par une querelle...
Publié le 01/05/2018 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...
Ted Hughes, Birthday Letters, traduction Sophie Doizelet
Wuthering Heights Walter était le guide. Le cousin de sa mère Avait hérité de quelques assiettes à soupe des Brontë. Il se sentait désolé pour elles. Les écrivains Sont des gens pitoyables. Ils se cachent de...
Publié le 21/09/2015 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
JE M'ACCUSE 37
JE M'ACCUSE 37 Je m'accuse D'encore m'étonner Que la maladie Fasse le tri des gens Autour de moi alors même Que le membre absent Se rappelle sans cesse A leur souvenir gêné.
Publié le 17/02/2014 dans AU MAGMA... par MILIQUE | Lire la suite...
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