Créez votre blog gratuit ou pro
Notes sur le tag : écriture
Tags relatifs
Dernières notes
Un almanach littéraire 2014
Vers le début de cette année, Stéphane Beau m’avait demandé si je voulais participer à la rédaction d’un almanach littéraire que les Editions du Petit Véhicule , avec son étroite collaboration, projetaient alors de concevoir. J’avais bien évidemment répondu favorablement à cette sympathique proposition. Hier soir, le fameux almanach dit du Saumon Poétique, littéraire et fraternel est...
Publié le 17/12/2013 dans L'EXIL DES MOTS par Bertrand REDONNET | Lire la suite...
LE PAPILLON
Emile s'étira sur son lit de paille. Il sentait la chaleur monter dans la maison. Il se leva et se dirigea vers la fenêtre. Un ciel bleu azur le réveilla tout à fait. Il ouvrit la porte ; pas un bruit dehors, seulement des abeilles qui passaient devant lui en bourdonnant. La chaleur déjà pesante le décida à s'envoler à la recherche de ces fleurs dont il raffolait. Sur son chemin il rencontra...
Publié le 15/12/2013 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...
Courir dans la campagne givrée
Sous un soleil d’acier Courir dans la campagne givrée Revêtue de paillettes d’argent Et ne pas manquer de s’extasier Devant le chef d’œuvre rarissime D’une toile d’araignée Enrobée de poudre cristalline Un silence impressionnant Un ciel bleu presque blanc Deux pieds qui tressaillent sur la route Et le souffle acide et glacé Qui racle les poumons Instant...
Publié le 14/12/2013 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...
DECEMBRE
Le 13 : A la Sainte Luce, le jour croît du saut d'une puce. Le 21 : S'il gèle à la Saint Thomas, il gèlera encore trois mois. Le 25 : Pluie pour Noël, soleil pour les Rameaux. Le 26 : A la Saint Etienne, chacun trouve la sienne.
Publié le 12/12/2013 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...
Le pauvre clown
Il tient encore sa carcasse Elle tient debout, raide de volonté Laisse-toi aller ! Il s’enfonce dans le brouillard D’une vie misérable d’impatience Il élague son parapluie De quelques baleines supplémentaires Et sous cette tente improvisée Il devise plaisamment Avec son moi devenu lui Mais qui es-tu toi ? Je suis ce que personne ne sait Le vent sur la colline,...
Publié le 11/12/2013 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...
Diplômes ? Non, non, surtout pas !
Ce qui se passe en Pologne, pour être affligeant, n’est point original. C’est le lot commun à toute l’Europe et, peut-être, à l’ensemble du monde : les jeunes gens n’y trouvent pas de quoi gagner honnêtement leur casse-croûte. Sauf certains. Ainsi l’humour polonais, qui avait déjà fait ses preuves avec ses sarcasmes sur le ridicule de la nomenklatura communiste, n’est pas en reste pour...
Publié le 09/12/2013 dans L'EXIL DES MOTS par Bertrand REDONNET | Lire la suite...
LA MAISON FERMEE
La maison fermée Au soleil Soupire Au silence Des mots doux Qui effacent Les mots fous. (15.06.12)
Publié le 08/12/2013 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...
Prenez un jour comme les autres
Prenez un jour qui commence tôt Il fait encore noir… ça bouchonne… Son esprit vaque en d’autres latitudes… Soudain, l’air passe en direct La colonne s’écoule, droite et fraîche Et monte, envahissant l’espace De l’âme et du corps liés ensemble… S’éclaircit la brume intérieure Jusqu’à la transparence légère Le silence des abîmes l’envahit Ouverture vers l’inconnu empesé...
Publié le 07/12/2013 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...
Piqûre de rappel ou premier vaccin
La monarchie désignait sous le nom de «sujets» les objets de son arbitraire. Sans doute s'efforçait-elle par là de modeler et d'envelopper l'inhumanité foncière de sa domination dans une humanité de liens idylliques. Le respect dû à la personne du roi n'est pas en soi critiquable. Il ne devient odieux que parce qu'il se fonde sur le droit d'humilier en subordonnant. Le mépris a pourri le...
Publié le 06/12/2013 dans L'EXIL DES MOTS par Bertrand REDONNET | Lire la suite...
LA SALLE A MANGER (FRANCIS JAMMES)
Il y a une armoire à peine luisante Qui a entendu les voix de mes grand'tantes, Qui a entendu la voix de mon grand'père, Qui a entendu la voix de mon père. A ces souvenirs l'armoire est fidèle. On a tort de croire qu'elle ne sait que se taire, Car je cause avec elle. Il y a aussi un coucou en bois Je ne sais pourquoi, il n'a plus de voix Je ne veux pas le lui demander. Peut être bien...
Publié le 05/12/2013 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...
Page : Précédent 183 184 185 186 187 188 189 190 191 Suivant
Tags les plus populaires
actualité cinéma littérature poésie société chanson chanson francaise histoire blog jean luc romero michel occitanie recettes états-unis allemagne europe flux intégral religion ville de vanves admd affaires européennes géopolitique louis xv caricature cartoon choiseul christianisme cinema femme film films icpme livres louis xvi paris parti socialiste petites annonces ulm philosophie ps riacp sculpture théâtre ulm ulm occasion écriture église actu amélie bonnin annonces ulm architecture assemblée nationale