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Notes sur le tag : poème

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Dernières notes

Poème du jour...

Trop heureux, le Temps se dissout Sans laisser de trace - C'est que sans Plumes ou trop lourde Pour voler est l'Angoisse -   (Poème de Emily Dickinson - extrait de "Quatrains" - Ed. Poésie/Gallimard - 2011)

Publié le 13/12/2012 dans Les songes... par Kraly | Lire la suite...

Le mouvement

Synthèse de l’espace et du temps, Ainsi naît le mouvement Les deux concepts sont inséparables Sans eux le mouvement est mort-né La pensée est elle-même mouvement Méditer : apprivoiser la pensée Elle avait vingt ans et le geste sûr Elle parlait avec ses mains Et celles-ci étaient sa nature même Une courbe dans l’espace Tracée avec la lenteur qui convient Reconstituait sa...

Publié le 13/12/2012 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Albert Fleury

  Rétive profondeur des chambres aux recoins sombres inquiétés. Après la brûlure de l'instant on aimerait la pénombre sobre des peupliers ou la plus reculée fraîcheur du ruisseau sous les joncs. La pierre est muette, l'âme ouverte, quelquefois on perce le mur où tout est derrière, un sens entrebaillé. Ne plus savoir où aller oubliant même les choses pour un autre espace une...

Publié le 11/12/2012 dans Poésie... par Plume | Lire la suite...

Jean-Paul Michel, Je ne voudrais rien qui mente dans un livre

  La vie est une brûlure, pas un calcul       IV   Des oliviers plantés avec soin devant nos yeux couvrent comme une mer la sèche montagne. Les hommes, ainsi, habitent, de leur talent l'espace entier du vivable ils façonnent un visage tenable devant le chaos des monts : c'est la torche qu'ils allument leur poème —...

Publié le 10/12/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

La vie, c’est le mouvement

Flottements de mouvements perpétuels Quel étrange monde que la ville Bruits en collision permanente Sursaut et atonie vous frôle les sens Seul le geste reste placide Et flotte dans l’air froid de l’automne Le piétinement des passants Immense charge journalière Vers la dévoration bureautique Dans les rires dépersonnalisés des uns Et les grognements d’autres délaissés Ces...

Publié le 09/12/2012 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Projet nocturne d’un poème d’hiver à écrire le lendemain matin

Avant minuit entre la braise et le givre à distance raisonnable du monde tu formes un projet d’avenir Pour le matin Un poème d’hiver avec du paysage et tous les adjectifs que tu veux Malgré les innombrables poèmes hivers paysages et adjectifs de la création qu'importe après tout c’est bientôt Noël Tu l’écriras sous l’œil du chat derrière le triple vitrage ce poème non sans avoir...

Publié le 07/12/2012 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

Maison de campagne en hiver

Entrée dans l’eau glacée du vestibule Pépiement lumineux du noir charbon Avant que la lumière ne soit faite Sur la montée d’escalier vertigineuse Rien ne vient…                       la congélation verte Du billard immobilisé sur ses quatre pieds Le salon rouge comme un...

Publié le 05/12/2012 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Florence Pazzottu, L’Inadéquat (la langue crée le dé)

  à ma mère   alors poème – enfant en moi de sept mois n’était pas  un non-parlant mais ce tout-oreille qu’effondra en lui-même aussi bien commença l’extrême silence d’une (bien que revenue) disparue-mère l’indispensable qui (don de langue) fait sol et sens – a lors poème (persiste ce mouvement tiers cette absence –...

Publié le 04/12/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

CHANSON DE SIGNES

  CHANSON DE SIGNES   Des poèmes naissent de surprenantes esquisses Dont l'approche n'est que frôlements amoureux.   En être de mots transi à l'imaginaire créateur, Il s'octroie le plaisir d'agréables heures exaltées A composer des textes tels des chansons de signes.   La main inspirée court et court encore Aux incandescence...

Publié le 02/12/2012 dans AU MAGMA... par MILIQUE | Lire la suite...

Octosyllabique en ver…(s,t,rre…)

Ces vers qui ont huit pieds ! Avez-vous vu des vers à pied Au banquet du cimetière S’entrechoquant les jambières ? D’autres verres translucides Sont remplis de mots fluides Qui coulent en sérénité Sur la page d’ubiquité Les mille-pattes s’emmêlent Croque en jambe, sans semelle Ils rampent tels des vermisseaux Sur les poèmes horizontaux Ambiguïté du sous-verre...

Publié le 01/12/2012 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

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