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Notes sur le tag : poème

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Téléphone

Un coup de fil, qu’est-ce ? Le téléphone sonne On suit le grésillement du câble Sans savoir où l’on va Et qui nous appelle Exclamation, déception Peut-être enchantement, qui sait ! C’est toi, c’est vous, c’est nous A nouveau réunis, collés à l’écouteur Cela revient, l’ancien langage L’intonation chaude des voix de femme La glaciale attitude des hommes d’affaires...

Publié le 23/01/2013 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Blanc

Blanc comme le plein ou le vide ? Ebloui, je ne sais Le blanc est le regard de l’aveugle Un puits clair d’absence Vêtu de lait, j’erre Dans la prison des rois Enfoui dans les nuages Pourtant ils voient la mort en noir Ceux à qui la foi échappe Le trou et rien, la coupure Carte blanche dans ces divagations Mais encore faut-il distinguer Ombres et méfaits plus sombres...

Publié le 19/01/2013 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Chemins escarpés... (8)

Une existence basée sur le spirituel ouvre l’esprit qui féconde la connaissance vers des richesses insoupçonnées, signe de l’intellect au service de l’universel en quête de sens. Une dimension propice alors à engendrer un esprit sain est la base qui prédispose la question existentielle au réel. Ne pas confondre, dans ce cas, l’obtention de ce que demande le réel par rapport à l’esprit même...

Publié le 18/01/2013 dans Les songes... par Kraly | Lire la suite...

Quinze-vingt lignes

Photo : Elie Romero Elle finit de me lire à voix basse ses quinze-vingt lignes brèves. Silence un peu. – Tu en penses quoi ? – C’est imbittable. Silence encore un peu. – Tu es complètement hermétique à la poésie. – Ah bah oui, mais c’est pas moi qui ai commencé ! L’hermétisme, tout ça… Aucun sourire, tant pis. –...

Publié le 17/01/2013 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...

Lionel RAY : sa VIE, son POÈME

Rien ne ressemble plus à ma vie que le poème Il connaît l'impossibilité d'être seul. En lui d'un mot à l'autre grandit l'imprévisible Mais aussi le chaos où les monstres sont tapis. ... Mon poème prend le risque de lier le masque à l'aveu, Mots et caillous dans la bouche, Le prononcé des ombres et des viandes. Ce n'est pas un miroir pour jeune fille, Ni un...

Publié le 15/01/2013 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...

Marchant sur la plage blanche des jours

Marchant sur la plage blanche des jours, Nous laissons sur notre chemin incertain Quelques galets entassés chaque année. Amas de souvenirs, dans le sable des moments Que le reflux des eaux éparpille peu à peu. Mais chaque année à nouveau, inlassablement, Après avoir échafaudé une pyramide de cailloux, Nous nous penchons encore, la main ouverte, Pour emplir nos poches...

Publié le 15/01/2013 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Nantes, un poème et une photo

NANTES Tu ressembles au gris des soirs magiques au pied d’un château breton posé comme Venise avec ses parfums d’erdre Authentique bretonne Tes jours, l’après minuit Tes vents surréalistes Que tu as survolé De Vaché à Breton Aux parfums de duchesse Tes nègres magnifiques Sont revenus au quai. Je te raconterai aux perdants...

Publié le 13/01/2013 dans Le Blog de... par Louis-Paul | Lire la suite...

Le souffle

Il lui dit, dans un souffle Laisse l’air t’envahir Comme un gaz libéré Perce ton opercule Et ouvre ton espace Au chant profond des sirènes La mer a ses lubies L’air n’est plus Tu as les mains liées Et les pieds empanachés La pirouette du lapin N’est pas celle des oiseaux Avez-vous vu un oiseau Voler sur le dos Seules les machines humaines Peuvent le faire...

Publié le 10/01/2013 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Poème du jour...

L’HORLOGE Les Chinois voient l’heure dans l’œil des chats. Un jour un missionnaire, se promenant dans la banlieue de Nankin, s’aperçut qu’il avait oublié sa montre, et demanda à un petit garçon quelle heure il était. Le gamin du céleste Empire hésita d’abord ; puis, se ravisant, il répondit : « Je vais vous le dire ». Peu d’instants après, il reparut,...

Publié le 09/01/2013 dans Les songes... par Kraly | Lire la suite...

Innondation 2

Pendant longtemps j’ai cru Que la rivière débordait Parce que trop d’eau, trop d’eau Mais peut-être n’est-ce pas vrai ? Trop contrainte, elle s’étale Elle se laisse aller, bienheureuse Et va caresser ce qu’elle ne voit jamais Ces rives enchantées et fleuries Elle va chatouiller les pieds nus D’arbres évaporés naviguant sur la terre Elle soulève leurs bottes Et dépose un...

Publié le 05/01/2013 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

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