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Notes sur le tag : philippe jaccottet
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Dernières notes
Ossip E. Mandelstam, Simple promesse
Je ne sais s’il y a bien longtemps Qu’on chante cette rengaine : Sourdine aux feutres du voleur, Au bourdon du roi des moustiques… Je voudrais pour ne rien dire Parler encore une fois, Chuinter comme une allumette, Houspiller la nuit, l’éveiller, Soulever le bonnet de l’air Suffoquant comme une javelle Secouer et vider le sac Bourré...
Publié le 16/10/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...
L'HOMME SANS QUALITES, tome II
De ROBERT MUSIL, on connaît essentiellement L’Homme sans qualités , livre monumental (et inachevé). De ROBERT MUSIL, j’avais lu il y a longtemps Trois femmes , puis Les Désarrois de l’élève Törless , ou l’inverse. De Trois femmes , je ne me rappelle rien, sauf une impression très forte, de trois caractères féminins, de trois individus au sens plein du terme. Grigia, Tonka, la Portugaise....
Publié le 10/10/2011 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...
Extraits de Poésies, 1946-1967, de Philippe Jaccottet
Toute fleur n’est que de la nuit qui feint de s’être rapprochée Mais là d’où son parfum s’élève je ne puis espérer entrer c’est pourquoi tant il me trouble et me fait si longtemps veiller devant cette porte fermée Toute couleur, toute vie naît d’où le regard s’arrête Ce monde n’est que la crête d’un invisible incendie. Philippe Jaccottet, Poésies, 1946-1967 ,...
Publié le 03/02/2011 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...
Nouvelles notes pour la semaison, de Philippe Jaccottet
Maintenant la terre s’est dévoilée et la lumière du soleil en tournant comme un phare fait les arbres tantôt roses tantôts noirs. Puis elle écrit sur l’herbe avec une encre légère. Un soir, le ciel resta plus longtemps clair sur les grands jardins verts et noirs couleur des pluies de la veille. Les globes luirent trop tôt. Alors dans le nid des branches apparut le chant du merle et ce fut...
Publié le 22/01/2011 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...
le mot joie, avec Philippe Jaccottet
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Publié le 06/12/2010 dans ELIZABETH... par Elizabeth PARDON | Lire la suite...
Cimetière: Bonifaziu
Le cimetière marin de Bonifacio, ( quelques pas avec Jean Tardieu, Philippe Jaccottet, Jean-Baptiste Stachino et Paul Valéry) le 20 septembre dernier, la ville des morts, vue sur la mer " Choeur d'enfants (à tue-tête et très scandé) Tout ça qui a commencé il faut bien que ça finisse: la maison zou l'orage le...
Publié le 06/11/2010 dans ELIZABETH... par Elizabeth PARDON | Lire la suite...
Sur le plateau de Cauria
CAURIA, avec Philippe JACCOTTET Coriaces, drues, dressées au matin d'automne, les chardonneuses sentinelles du plateau de Cauria. Veille: Et puis en silence tournés vers le soleil levant, i stantari. Contemplation. "Poids des pierres, des pensées Songes et montagnes n'ont pas la même balance Nous...
Publié le 27/09/2010 dans ELIZABETH... par Elizabeth PARDON | Lire la suite...
Ce peu de bruits, de Philippe Jaccottet
Venue du beau temps. Le géranium « herbe à Robert » avec ses très petites et presque banales fleurs rouges portées par des tiges à la fois frêles et droites, voilà qui vous parle encore un peu tout de même. Comme si les derniers signes devaient venir du plus insignifiant. * Le froid, le gris, comme du fer. Ciel couleur de fumées...
Publié le 01/07/2010 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...
L'exposition de Marseille se termine aujourd'hui ...
L'exposition de Marie HERCBERG et de Pierre PARDON à la Galerie SORDINI de MARSEILLE prend fin aujourd'hui Une belle rencontre entre deux artistes qui ne se connaissaient pas: les toiles aériennes de Marie et les ardoises sensibles ont harmonieusement dialogué tout ce mois de mai. Marie et Pierre en tête-à-tête ... Parmi...
Publié le 01/07/2010 dans ELIZABETH... par Elizabeth PARDON | Lire la suite...
Mes nuits sans Oscar Wilde
"On devrait toujours être légèrement improbable". OSCAR WILDE in "Aphorismes". Editions Mille et une nuits. 1997. Là bas la nuit remue, ici elle est muette. Dans le hameau de Philippe J. il y a des pommiers des poiriers et des haies. "Comment peux tu aimer les haies toi qui écoutais "Man machine" ? Comment peut on tomber si bas"? . M'a t-on dit alors que la nuit s'étendait...
Publié le 04/05/2010 dans Certains jours par Frasby | Lire la suite...
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