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Notes sur le tag : jacques ancet

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Dernières notes

Quelques auteur(e)s lyonnais(e)s dans les années 80...

... photographié(e)s par Evelyne Proriol pour les besoins de ce livre aujourd'hui introuvable : Patrick Dubost (si !) Jean-Pierre Andrevon Geneviève Metge Jacques Ancet Mon amie Cécile Philippe (qui a été l'un de mes anges gardiens à Montréal en 2002-2003, et que j'évoque dans mes " Anges profanes " sans la citer)  ...

Publié le 10/11/2020 dans Branloire... par Houdaer | Lire la suite...

POÉSIE. Saraswati 10, parcours de citations...

Après la recension, voici un parcours de citations, en suivant l’ordre des pages de la revue Saraswati n°10 . C’est un deuxième parcours, car dans la recension elle-même j’ai complété mes commentaires en citant des éléments des réponses et en reprenant des citations d’auteurs qui y figurent. Je commence par les citations hors textes, choix de l’édition qui dit une orientation (éthique,...

Publié le 12/05/2020 dans Trames nomades par MCSJuan | Lire la suite...

Jean de la Croix, « Chanson entre l’âme et l’époux 1 à 12 »

  « I Épouse Mais où t’es-tu caché me laissant gémissante mon ami ? Après m’avoir blessée tel le cerf tu as fui, sortant j’ai crié, tu étais parti.   2 Pâtres qui monterez là-haut sur les collines aux bergeries, si par chance voyez qui j’aime dites-lui que je languis, je souffre et meurs pour lui.   3 Mes amours...

Publié le 26/04/2020 dans Un... par Claude Chambard | Lire la suite...

Luis Cernuda, « Le printemps »

DR   « Cette année tu ne connais pas l’éveil du printemps dans ces champs lointains, lorsque sous le ciel gris, tôt le matin, tu entendais les sifflements impatients des oiseaux, surpris sur les branches encore sèches de l’épaisseur feuillue et humide de rosée qui devait maintenant les abriter. Au lieu des prairies émaillées de corolles de safran, c’est l’asphalte sale de ces...

Publié le 02/04/2020 dans Un... par Claude Chambard | Lire la suite...

Juan Gelman, « Notes XII & XIII »

DR »   «  NOTE XII   les rêves brisés par la réalité les compagnons brisés par la réalité/ les rêves de compagnons brisés sont-ils vraiment brisés/perdus/rien/   pourrissent-ils sous la terre ?/leur éclat brisé disséminé en petits morceaux sous la terre ?/un jour les petits morceaux vont-ils s’unir ? va-t-il y avoir...

Publié le 14/03/2020 dans Un... par Claude Chambard | Lire la suite...

Luis Cernuda, « Ombres »

DR   «  Ombres   Il était blond et fin — avec un visage d’enfant, ajouterais-je, si je ne me rappelais ses yeux bleus, ce regard de qui a goûté la vie et l’a trouvée amère. Au poignet de sa manche, rouge comme une blessure fraîche, il portait un galon de caporal gagné au Maroc d’où il venait. Il était sur un char et déchargeait des bottes de paille dorée pour les...

Publié le 29/09/2018 dans Un... par Claude Chambard | Lire la suite...

Jean de la Croix, « Chansons entre l’âme et l’époux »

             « Au profond du cellier de mon ami j’ai bu, et je sortais             parmi cette vallée             et plus rien ne savais ayant perdu le troupeau que j’avais.  ...

Publié le 11/08/2016 dans Un... par Claude Chambard | Lire la suite...

Juan Gelman, « Vers le sud »

  sur la poésie   « il y aurait deux choses à dire/ que personne ne la lit beaucoup/ que ce personne c’est très peu de gens/ que tout le monde ne pense qu’aux problèmes de la crise mondiale/et   au problème de manger tous les jours/il s’agit d’un sujet important/je me rappelle quand l’oncle juan est mort de faim/ il disait que manger il ne...

Publié le 27/02/2015 dans Un... par Claude Chambard | Lire la suite...

La fatigue a des couleurs, de Jacques Ancet

Frederick Childe Hassam , Thunderstorm on the Oregon Trail , 1908,  watercolor  on paper mounted on paperboard, Collection privée La fatigue a des couleurs comme les saisons. Elle a ses douceurs et ses éclats, ses silences. Mais surtout ce qu’elle permet de voir : d’une chose à son image, imperceptible, une sorte de distance sans distance. L’incertitude du...

Publié le 11/07/2013 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...

La chambre vide

    La chambre vide   Le moment où la nuit pénètre le jour est invisible comme les deux corps qui s'aiment et s'oublient.   De longs silences les traversent plus musique que la plus pure musique, un espace pour disparaître et demeurer pourtant.   Ils ne savent que l'instant qui n’en finit pas d’être l'autre,   ils ne savent...

Publié le 24/06/2013 dans La renouée... par Paola Pigani | Lire la suite...

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