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Notes sur le tag : blog littéraire de christian cottet-emard

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Dernières notes

Habiter

Les habitants de cette oisive demeure ne cultivent plus leur jardin. La campagne qui s’impatiente autour de la maison s’enhardit et maraude dans le potager rendu à sa paresse. Les animaux domestiques ont délaissé depuis longtemps ce lieu à part un chat ou deux qui nous ressemblent quand nous dormons. Les roses et les pivoines reprennent leur couleur d’aube. Chaque jour de...

Publié le 21/08/2019 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

Les deux pôles de la décadence selon Fernando Pessoa

« Les décadences sont aussi bien la stagnation où s’enterre une société ultraconservatrice que l’anarchie où sombre une société ultraprogressive. (1er mai 1919). » - Fernando Pessoa - Pour qui serait curieux de lire les développements dans ces pages écrites il y a cent ans, c'est extrait de Chronique de la vie qui passe , éditions de la différence, page 319 du premier tome de...

Publié le 19/08/2019 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

Carnet / L’ascension des mers en trabaya

Décor urbain années 30. Je puise de l’eau (une eau sombre) dans une sorte de puits qui ressemble plutôt à une cage d’ascenseur désaffectée. Près de moi, une jeune femme habillée à la mode de cette époque me dit : « Le plus beau, c’est l’ascension des mers en trabaya. »   J’accorde d’habitude plus d’importance à mes rêves éveillés qu’à mes rêves nocturnes et je me garde bien le...

Publié le 17/08/2019 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

Musique pour l'Assomption

Jean-François Dandrieu (1682-1738) : Vêpres de l'Assomption .     =4){Xt_s=screen;Xt_i+='&r='+Xt_s.width+'x'+Xt_s.height+'x'+Xt_s.pixelDepth+'x'+Xt_s.colorDepth;}document.write(Xt_i+'&ref='+Xt_r.replace(/[ "]/g, '').replace(/&/g, '$')+'" title="Internet Audience">');//--> Mesure d'audience ROI statistique webanalytics par

Publié le 15/08/2019 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

Passages

Le marcheur est le seul à s’entendre avec le temps. En retour, celui-ci le comble de bonheurs insignes en lui ouvrant des chemins qui lui ressemblent, des raccourcis pierreux et malaisés entre des maisons et des jardins ou des méandres de pavés luisants le long de sévères murailles.   Allié au temps pour la conquête d’un vieil escalier ou d’une traboule, le passant (qui se hâte...

Publié le 12/08/2019 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

Tu écris toujours ? (Conseils aux écrivains attirés par la lumière)

Méfiez-vous de votre vocation poétique, n'essayez pas de rattraper un TGV en voiture et faites livrer vos havanes à domicile. Par paresse, je n’ai pas participé à beaucoup de concours littéraires. L’un des rares à me tenter fut le Prix de Poésie de la Fondation de la Vocation décerné en présence de feu son président, patron de Publicis, Marcel Bleustein-Blanchet. Je devais me...

Publié le 11/08/2019 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

Le sens de l’eau

Qu’importe aux sapins et aux épicéas ? Nourriciers, ils nous hébergent déjà et survivent mieux aux guerres parce qu’ils ne vivent pas dans le temps humain.   Nous pourrions les imiter un peu si nous n’avions pas perdu le sens de l’eau, si nous n’avions pas oublié l’intimité si vaste et sage avec son chant multiplié par les fontaines.   Forêt confiante en l’infinie...

Publié le 10/08/2019 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

Au parc

Nos autos rôdent autour du parc et le grignotent en ronronnant mais à l’inverse du dompteur qui retient ses fauves, nous n’avons pas de fouets à leur claquer au nez. Aussi s’approchent-elles de plus en plus près, comme si elles seules détenaient le privilège du mouvement.   Au parc, la certitude paradoxale de se sentir chez soi au beau milieu d’un lieu public exhume de nos...

Publié le 08/08/2019 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

À ciel ouvert

Enfants, la conscience de notre disproportion au monde nous pousse à rêver d’habiter les lieux les plus saugrenus. Qui n’a pas réajusté l’univers à sa dimension en construisant des cabanes, en aménageant des placards et même en s’appropriant un gros arbre creux ?   Précaires, rien de ce qui abrite, recouvre, englobe, recèle, en un mot embrasse, n’a échappé à notre élan de...

Publié le 06/08/2019 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

Carnet / Comme un regard lointain derrière un air de guitare.

Qui est le destinataire d'un livre ? On aurait des surprises si l'on découvrait à qui était adressé tel ou tel chef-d'œuvre. Un vieil amour perdu, des parents disparus, quelqu'un avec qui on n'a pas eu le temps de s'expliquer, un fantôme du passé, un enfant à naître...   Je crois qu'un écrivain a souvent de bien mystérieux interlocuteurs et quand cela donne parfois un pilier de...

Publié le 02/08/2019 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

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