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Concarneau
© Jacques Deslandes - texte déposé à la sacem Ce poème, c'est à ma mère Guite que je le dédie Je suis un slave breton qui plante ses racines Là où la ville a rendez-vous avec la mer Dans un pays salé où des vagues lubriques Mordent les pieds des roches en dessinant des criques Où mes enfants se baignent aussitôt qu’il fait chaud. Je suis un immigré face à la...
Publié le 10/01/2007 dans L'AMOUR DE... par Jacques DESLANDES | Lire la suite...
Au danseur, mon frère
© Jacques Deslandes - texte déposé à la sacem L’avion s’élance Comme deux bras tendus par l’amour pour embrasser le ciel L’avion se cabre Et moi je suis dans son ventre, les pieds soudain posés sur les nuages Et je pense à toi … Merci d’être si beau, si chaud, si frère Merci d’être si grand lorsque ton corps s’étire Et envahit l’espace...
Publié le 17/12/2006 dans L'AMOUR DE... par Jacques DESLANDES | Lire la suite...
listesratures recheche rédacteur(trice)(s)
Le titre parle de lui-même, j'vais pas blablater pendant des lignes et des lignes (même je suis bien partie pour). Vous avez envie de participer à ce blog en tant qu'auteur ? Vous avez des choses à dire (en rapport avec le monde du livre, de la culture, bien sûr) ? Vous avez lu des livres et voulez en faire un commentaire ? Si vous êtes intéressé(e), envoyez un CV et une...
Publié le 08/11/2006 dans listesratures par absolu | Lire la suite...
D’un spectacle, qui en est le véritable moteur ?
J’ai déjà abordé ce sujet avec plusieurs metteur en scènes, professeurs et même une ou deux célébrités. Chacun d’entre eux a pu m’expliquer d’une façon très pertinente que c’était, qui l’auteur, qui le comédien ou qui le metteur en scène le véritable artisan de la réussite d’un spectacle. Leurs exemples étaient à chaque fois très convaincants, mais il faut bien admettre...
Publié le 12/09/2006 dans l'Illustre... par L U C | Lire la suite...
Rentrée Littéraire morose
La rentrée littéraire 2006 2007 est toute morose. Les grands éditeurs n'ont pas retenu les oeuvres de Yfig. Les perdants ne sont pas celui qu'on croit !!!! Les éditeurs stupides éditent des auteurs sans saveur, sans odeur, sans couleur, pire, sans histoire. Gageons qu'ils ne perpétueront pas leur erreur pour la prochaine rentrée littéraire de 2007 2008, de toute...
Publié le 18/08/2006 dans Yfig ex nihilo par Yfig | Lire la suite...
Capitaine au long cours
© Jacques Deslandes - texte déposé à la sacem Capitaine au long cours Je sais toutes les mers Je sais les océans Et le rire des vents Capitaine au long cours J’ai une vie d’enfer Et toujours je repars Dans un foutu brouillard Capitaine au long cours Dès que la mer m’appelle Je hisse la passerelle Et je pars droit devant Capitaine au long cours Quand la mer...
Publié le 17/07/2006 dans L'AMOUR DE... par Jacques DESLANDES | Lire la suite...
Rideau
© Jacques Deslandes - texte déposé à la sacem Imagine que la vie soit comme une pièce de théâtre, 9 mois plus t ô t, on frappe les 3 coups. Et 9 mois plus tard ... Pour ce tout petit frère Que le hasard nous donne Qui déchire sa mère Au premier cri de l’homme Rideau ! Pour cet étrange nain Qui t’éveille la nuit Et...
Publié le 03/07/2006 dans L'AMOUR DE... par Jacques DESLANDES | Lire la suite...
Trahison
© Jacques Deslandes - texte déposé à la sacem Quand tu trahis ton ami, C’est que déjà Tu es devenu Ton propre ennemi.
Publié le 28/03/2006 dans L'AMOUR DE... par Jacques DESLANDES | Lire la suite...
Pardon, Madame, pour un soir ...
Pour les amateurs de textes rares et curieux, j'ai retrouvé ce texte du chansonnier Jean Rieux qui date probablement des années 1920. Bonne lecture. Le Boxeur Georges Carpentier s’en fut à New-York livrer le « combat de sa vie » contre l'américain Dempsey. Des fusées dans le ciel de Paris annoncèrent sa victoire ... Quelques jours après Mme Curie revint d’Amérique, rapportant...
Publié le 27/03/2006 dans L'AMOUR DE... par Jacques DESLANDES | Lire la suite...
Tu n’emporteras rien avec toi
De Pierre Béarn (1990) Homme, qui que tu sois tu n’emporteras rien avec toi. Homme inhumain par habitude ou par conviction, Abel façonné par la vie en Caïn pour les carnages, quand donc jetteras-tu tes masques de peinturlures tes lauriers de prédateur ? Tu n’emporteras rien avec toi Rien n’était urgent dans la vie mais tu fus toujours pressé d’écraser quiconque se...
Publié le 11/03/2006 dans L'AMOUR DE... par Jacques DESLANDES | Lire la suite...
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