Wilhelmine : C’est pas une heure pour quitter une femme

Service de presse C’est pas une heure pour quitter une femme , de Wilhelmine , éditions de l’Onde, 100 p.15 €. Le sentiment amoureux, sa brève plénitude, ses désordres, ses affres, son chaos, les poètes d’aujourd’hui usent souvent des artifices d’une feinte modernité (ironie amère, cynisme affiché, focalisation sur la mécanique des corps, cryptage du vécu...

Publié le 28/06/2014 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

Fête du Sacré-Coeur de Jésus

Seigneur Jésus, Toi qui es venu allumer un feu sur la terre, je m’abandonne aujourd’hui à la volonté du Père dans le souffle de l’Esprit Saint. Purifie mon coeur, embrase-le d’amour et de charité. Fais grandir en moi le désir de la sainteté. Par le Coeur Immaculé de Marie, je me consacre tout entier à Ton Coeur pour T’aimer et Te servir. Amen .

Publié le 27/06/2014 dans Histoire &... par HISTOIRE & PATRIMOINE BLEURVILLOIS | Lire la suite...

Adrienne Rich (1929-2012), dans Olivier Apert, Une anthologie de la poésie féminine

D'une vieille maison en Amérique   16. « De telles femmes sont dangereuses pour l'ordre des choses »   et bien oui nous serons dangereuses à nous-mêmes   avançant à tâtons parmi les épines du cauchemar ( datura s'enchevêtrant à une herbe simple)   car la ligne séparant la lucidité des ténèbres   st encore à tracer...

Publié le 26/06/2014 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

La Co-création consciente...

Publié le 23/06/2014 dans Les songes... par Kraly | Lire la suite...

L’amour dure trois ans, de Frédéric Beigbeder (Gallimard, 1997)

Le premier chapitre résume tout le livre. Au début tout est beau, même vous. Le bonheur existe, et il est simple : c’est un visage. Vous vous mariez le plus vite possible. Pourquoi réfléchir quand on est heureux ? Penser rend triste ; c’est la vie qui doit l’emporter. La deuxième année, vous comprenez votre femme à demi-mot ; quelle joie de ne faire qu’un. La troisième...

Publié le 22/06/2014 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Robert Creeley (1926-2005), Dire cela

Catulle, tu décoiffes   1 Mon amour — mon amour dit qu'elle m'aime. Et qu'elle n'aura jamais un autre homme que moi.   Pourtant ce qu'une femme annonce à un homme qui la jette doit être écrit sur le vent et sur l'eau vive.   2 Ma vieille dit c'est moi je suis le mieux, elle dit personne ne le fait mieux que moi.   Mais...

Publié le 20/06/2014 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

En 1976 au sujet de la PATRIE…

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Publié le 19/06/2014 dans Scoub' à la... par Pauline | Lire la suite...

LE PARDON 3

  A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire. Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de...

Publié le 18/06/2014 dans AU MAGMA... par MILIQUE | Lire la suite...

DÉFLAGRATION SILENCIEUSE

  DÉFLAGRATION SILENCIEUSE   Comment dire l’amour, et l’intense exacerbation Inaltérable que ce sentiment-là induit me procure?   Il monte en moi comme de la grande musique. Déflagration silencieuse autant qu’assourdissante. Magnifique astre solaire dans sa célébration ultime.   Toi, tu ne peux mesurer l’avide embrasé de mon cœur...

Publié le 13/06/2014 dans AU MAGMA... par MILIQUE | Lire la suite...

Ton Esclave.

Confinée sous tes remparts Ivre sous ta vésanie, Je souhaite que quelque part Loin de cette ineptie, S’élève un enfer plus confortable Pour mes folâtres illusions Car quitte à vivre l'invivable Autant le faire avec passion… Tu pourras toujours posséder Mon corps, mon cœur Et mes armées, Ils n’ont aucune valeur Sous la captivité… Afflige-moi,...

Publié le 13/06/2014 dans LE SILENCE... par watergrey | Lire la suite...