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Notes sur le tag : écriture

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Dernières notes

Latitudes - 1 -

J’avais autrefois, au-dessus de la tête, la douceur à peu près égale, sauf cas de crise, des climats de bord de mer. Des climats qui sentaient le sable, la brume et les algues de la marée. Et puis, sous mes pieds, toute cette verdure des marais, des chemins de halage et des berges herbeuses le long des larges conches. C’était, dans mon esprit, un climat sans surprise, un climat dont la...

Publié le 30/01/2018 dans L'EXIL DES MOTS par Bertrand REDONNET | Lire la suite...

Genèse de l'impressionnisme

  12. Auguste Renoir – Ma période impressionniste : 5.  Le Déjeuner des Canotiers              J’étais à Chatou et l’automne débutait. Le balcon du restaurant Fournaise n’attendait plus que ses invités.     Balcon du restaurant de la maison Fournaise à Chatou – photo Alain Yvars        ...

Publié le 28/01/2018 dans Si l'art... par Alain | Lire la suite...

Soleil brûlant

Après s'être rafraîchis les pieds à Prima Cala, Francesco et Marcella prirent la direction du centre historique de Molfetta. Ils visitèrent le Duomo di San Corrado et flânèrent un moment dans les jardins jouxtant la cathédrale. Il n'y avait pas grand monde à cette heure de la journée. Le soleil était brûlant. Les bateaux amarrés dans le port semblaient eux aussi souffrir de la...

Publié le 27/01/2018 dans La plume et... par Do | Lire la suite...

Les Gardiennes (le roman)

   Ayant apprécié le film réalisé par Xavier Beauvois, j'ai voulu en savoir plus sur le roman qui l'avait inspiré, d'autant plus qu'il y aurait de notables différences entre l'oeuvre d' Ernest Pérochon et le long-métrage.    Je me suis procuré un exemplaire d'époque, publié en 1924. (C'est mon côté snob.) Je l'ai trouvé d'une lecture agréable, plutôt facile....

Publié le 26/01/2018 dans La senteur... par HenriGolant | Lire la suite...

L'humeur des lieux

Je l’ai souvent prétendu et le prétends encore : tous les endroits de la terre sont beaux ou laids selon ce que l’on est venu y vivre. Hier, j’ai traversé des plateaux enneigés, de petites vallées glacées, d’immenses forêts que la solitude rendait muettes, le tout scintillant sous un grand soleil d’hiver. - C’est beau pourtant, ai-je dit, à D. assise à mes côtés… Mais pourquoi ce...

Publié le 25/01/2018 dans L'EXIL DES MOTS par Bertrand REDONNET | Lire la suite...

C'est ainsi

C’est ainsi Il n’y a rien qui soit de trop Ni l’étoile, ni le noir Ni le soleil présomptueux C’est ainsi Il y a toujours des cris Le jour où l’homme remue Et sort, ivre de fureur C’est ainsi Il n’y a pas d’eau dans l’abreuvoir Ni même d’avoine dans l’auge Le cheval part, seul au monde C’est ainsi Il y a encore des abeilles Qui bourdonnent au fond de l’air Et...

Publié le 25/01/2018 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Entre Bari et Barletta

Berghetti avait conduit une bonne partie de la nuit. Il avait fait un premier arrêt pour remplir le réservoir puis, il s'était arrêté vers 2h du matin pour se reposer. Marcella, exténuée, ne s'était pas réveillée. Elle s'était endormie peu de temps après leur départ de Rome. C'est lui qui l'avait installée sur le fauteuil passager. Elle tenait à peine debout quand il l'avait...

Publié le 21/01/2018 dans La plume et... par Do | Lire la suite...

Le port des gueux

C’est un nom de hameau d’une éloquence pathétique. Un port dans la campagne... L’image flotte en filigrane : il y a beaucoup d’eau et il y a des manants loqueteux. En passant par là nous passons en même temps de l’autre côté des mots inscrits en italique sur le panneau indicateur. Le hameau se détache du présent, duquel nous avons soudain arrêté la fuite. Il nous fait signe et il décline...

Publié le 21/01/2018 dans L'EXIL DES MOTS par Bertrand REDONNET | Lire la suite...

C'était hier

J’ai marché hier sur des chemins improbables. C’étaient des chemins que j’avais inventés au travers des prairies neigeuses. Et j’y ai croisé l’oiseau des grands hivers, celui qui vient chez moi quand il fait froid et blanc, parce qu’ailleurs, plus à l‘est et plus au nord, il fait plus blanc encore. Il est le bel oiseau des biomes les plus froids de la machine ronde, la taïga et la...

Publié le 19/01/2018 dans L'EXIL DES MOTS par Bertrand REDONNET | Lire la suite...

Persistance rétinienne

Oui, elle l'avait vu apparaître à la surface de son bol de soupe à la tomate mais Marcella ne savait pas du tout à quoi renvoyait ce CODE. Pourquoi était-ce si important? Elle ne comprenait rien à ce que lui racontait ce petit bonhomme ventripotent à la tonsure de moine. Il allait d'un mur à l'autre, les mains dans le dos, posant toujours les mêmes questions. Et Marcella faisait toujours la...

Publié le 13/01/2018 dans La plume et... par Do | Lire la suite...

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