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Notes sur le tag : écriture

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L'IVRESSE

L'ivresse présente du matin au soir Qui comble un manque sans espoir Qui nous met au bord du gouffre Quand la tête et l'àme souffrent L'ivresse des mots sur le papier Qui sont débités, sans être reniés En vertige doux et libérateur Qui veut atteindre les hauteurs L'ivresse qui court après le désir De ton amour en devenir Que tu cherches à contrôler...

Publié le 05/07/2007 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

Si les nuits pouvaient parler

ces nuits où l'on sent son souffle doux et tiède avec, en lui, le murmure du sommeil où il devient présence et que sa peau en éveil brille dans le noir avec la sensibilité d'épiderme qu'elle entraîne ces nuits...cette chaleur surnoise qui vous parcourt , cette fièvre à l'instant où il vous approche la lumière de la rue filtre à peine par les raies du store et vous devinez en ombre...

Publié le 05/07/2007 dans Sel et Poivre par Dana | Lire la suite...

Le carreau patates

... Il la regardait s’éloigner maintenant avec surprise. Toute la matinée, Judex et Rose-Améline avaient travaillé à l’arrachage des racines dans le carré jouxtant la bananeraie, ne s’arrêtant que pour se désaltérer, ne s’échangeant que de rares paroles. Leurs yeux s’étaient pourtant croisés fréquemment, en disant plus long que d’éventuels discours. Il était tout à coup surpris de la trouver...

Publié le 05/07/2007 dans Les coins... par Xavier | Lire la suite...

L'arbre de Kaïkan

  Un banc ne suffit pas, Kaïkan voulait un arbre au pied duquel elle pourrait reposer et rêver de la rédemption du temps. J'ai pris mon sac à rêves et remonté la pente herbue. C'est de l'autre côté que je l'ai rencontré, tout assoiffé de bleu il m'a parlé d'amour et de paix profonde. Il est à toi Kaïkan.        Ariaga  

Publié le 05/07/2007 dans Laboratoire... par Ariaga | Lire la suite...

Complexe de persécution humoristique...

Dans la catégorie "humour i-grimoirien", voici que les blogs,... tels les paroles au téléphone que l'on perçoit en pleine campagne sous les grands pylones électriques, voici que les petites bannières d'i-grimoire virevoltent au gré des fils d'ADSL qui embellissent dernièrement encore davantage nos paysages.... et la journaliste sur sa petite bannière vert pomme au gré des vents...

Publié le 05/07/2007 dans Mon... par domino | Lire la suite...

La feuille est un monde

Ne nous éloignons pas, la beauté est partout. Regardez mes amis, juste à côté de nous, tout en bas du talus, en un écrin fait d'ombre, belle fardée de vert et vêtue de satin, unique entre ses soeurs, cette feuille est un monde.        Ariaga  

Publié le 04/07/2007 dans Laboratoire... par Ariaga | Lire la suite...

SAINTE BEUVE : la rime

Rime, qui donne leur son aux chansons, Rime, l'unique harmonie Du vers qui, sans les accents frémissants, Serait muet au génie.

Publié le 04/07/2007 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

LA NUIT

Loin des villes, loin des foules, Quand les heures coulent, Ta présence, sans un mot, Est pour moi un cadeau. L'envie me poursuit, Comment résister à la nuit ? Fuir, peut être fuir Pour ne rien détruire ? Mais la nuit ensorceleuse Reviens, majestueuse, Mesquine et apaisante, Galante et enivrante. (06.03.07)

Publié le 04/07/2007 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

CHARLES SAINTE BEUVE (1804-1869) PREMIER AMOUR

Printemps, que me veux-tu ? Pourquoi ce doux sourire, Ces fleurs dans tes cheveux et ces boutons naissants ? Pourquoi dans les bosquets cette voix qui soupire, Et du soleil d'avril ces rayons caressants ?                    Printemps si beau, ta vue attriste ma jeunesse ; De biens évanouis tu...

Publié le 04/07/2007 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

Dans le gris laiteux de l’été

    L e jour est gris comme un matin sans café, où l’on a bu deux ou trois tasses de lait froid accompagnées de tartines sans parvenir à s’éveiller. On a préparé la poudre dans le filtre ; l’eau est dans le réservoir haut du percolateur ; mais on ne se résigne pas à enclencher le bouton On. Plusieurs livres sont en souffrance, à l’étage. La douleur donne des coups...

Publié le 04/07/2007 dans ;_ par MuMM | Lire la suite...

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