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Notes sur le tag : écriture
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Dernières notes
Tentative d’y remédier
L e frigo a des feulements. Papier peint jaune et poutres, au salon murs blancs ; au plafond lambris et poutrelles formant dix longs rectangles de largeur variable. ( je ne m’explique pas comment, soudain, les larmes se sont transformées en ce travail d’écriture ) Le frigidaire frissonne, frétille, murmure. Plusieurs bouquets tous de fleurs fausses, abat-jour...
Publié le 16/09/2007 dans ;_ par MuMM | Lire la suite...
LES CRIS DU PASSE
Famille, j'ai besoin de vous Pour oublier le désespoir Comme dans un miroir J'ai besoin de vous voir Tant de pas sur le trottoir Qui frappent tout à coup Des passants qui s'empressent Devant tant de richesses Déracinée, me voilà Je marche sur leurs pas Famille, j'ai besoin de vous Ce n'est pas un cri de fou. (16.05.07)
Publié le 15/09/2007 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...
Pas loin de l'échevin gisait un cheval mort...
Just for the record : " des éparvins gonflaient ses jambes hérissées de longs poils " (Théophile Gautier, à en croire le Robert culturel ). Le mot ne mérite donc pas de figurer au projet inabouti, presque abandonné, des Mots sans lacune , si ce n'est que son doublon paronymique, épervin, lui, n'est illustré d'aucune citation. - Au secours ! Mon maître est tombé dans...
Publié le 15/09/2007 dans Touraine... par Guillaume CINGAL | Lire la suite...
Texte banal avec 17 liens
L' été a travers é les moi s pour s'extasier au ciel de sept embre. Les histoires tou jours les mêmes re comme ncées prennent de l'am pleur , comme une plainte do uce d'enfant en vert -de-gris. (Tant de variétés de vert, au moins vingt sur un chemin de cinq cent mètres, c'est à vous dé friser les yeux.) L'été a bat tu son plein , et des paupières .
Publié le 15/09/2007 dans ;_ par MuMM | Lire la suite...
Jacqueline Lamba au Château de Tours
« Jacqueline Lamba, c’est en haut ». Ça commence bien, me dis-je ; au royaume de l’explosante-fixe, les étages s’inversent. Non : au troisième étage du château de Tours, Jacqueline Lamba est au plus près du ciel, et presque déjà dans les montagnes. Tout va bien, alors, rien ne déraille. Je ne connaissais, de Jacqueline Lamba , que son statut de « femme et muse...
Publié le 14/09/2007 dans Touraine... par Guillaume CINGAL | Lire la suite...
Prière d'une femme
Devant le grand livre de pierre de l'autel nu et les niches vidées de leurs statues, une femme, dévêtue par la vie du vêtement des mots, pétrie de craintes et d'espérances folles, chercheuse de pistes dans le désert de la nuit obscure, nue comme à sa naissance, face à un oeil immense qui la scrute si fort que ses cellules tremblent prie, éblouie d'espoir prie, depuis si...
Publié le 14/09/2007 dans Laboratoire... par Ariaga | Lire la suite...
UNE PETITE CITATION DE HOLDERLIN (1770-1843)
"L'homme habite poétiquement le monde". Hölderlin était de nationalité allemande.
Publié le 14/09/2007 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...
Novionates (454/20)
T ends-toi comme un drapeau, comme une ramure ; tends tes bras, comme une rameuse, une fileuse d’algues, l’amante des roseaux. Tends-toi comme un tambour, gronde comme l’orage, envole-toi comme un silence. Il faut apprendre à aimer, aussi sur la terre labourée. Des orages monteront, qui n’auront pas d’autre souffle à briser. D’autres baisers te cueilleront, qui te...
Publié le 14/09/2007 dans ;_ par MuMM | Lire la suite...
Du bon usage du blog d'Ariaga
Les Korrigans ont fait un petit tour chez moi et se sont amusés à perturber ce pauvre Athanor-ordinateur. Mes textes dans l'"admin" se parsemaient de mots étrangers à ma volonté, mots qui leur donnaient une allure assez surréaliste et empêchaient la publication car ces coquins de mots refusaient de s'en aller. Ces "bugs" semblent maîtrisés depuis ce matin mais, avant d'en revenir...
Publié le 13/09/2007 dans Laboratoire... par Ariaga | Lire la suite...
ARRIERE SAISON
De l'été tout en couleurs Il reste la couleur de ta peau Dorée par un soleil rieur Comme là-bas à RIO, Le ballet incessant des bateaux Roulant comme des maisons sur l'eau Et les milliers de coquillages Par les vagues jetés sur la plage. De l'été tout en couleurs Nous oublions son ardeur. Annonçant la venue d'un orage Dans un ciel de nuages Comme...
Publié le 12/09/2007 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...
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