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JE PENSAIS

Je pensais que l'eau de la rivière était claire Je pensais que mon jardin serait toujours vert Je pensais que les oiseaux ne chantaient que pour moi Je pensais que le monde tournait toujours à l'endroit Je pensais qu'il suffisait de se lever chaque matin Pour avoir dans les yeux un soleil radieux Je ne pensais pas trouver un jour sur mon chemin Des assassins...

Publié le 12/02/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

UN COEUR QUI BAT

J'attends le printemps Impatiente en guettant Le moindre clair instant De chaleur ambiant La verdure est présente, Les fleurs sont absentes La sève monte en moi J'ai trop le coeur qui bat Devant moi si sérieux Tu murmures des mots A mon oreille aussitôt Je rêve à nous deux Je te veux dans mes bras La sève monte en...

Publié le 11/02/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

Station-service (PART I)

  J’éteins les phares, coupe la radio et arrête le moteur. J’ai conduit toute la nuit. Je regarde mon visage dans le rétroviseur central. « Hum ! Je ne suis vraiment pas frais ! » La barbe commence à recouvrir mon faciès. Mes yeux sont explosés. Bien qu’il me reste encore plus d’une demi-journée de route, la raison impose l’arrêt. Je m’extirpe de l’habitacle, claque...

Publié le 11/02/2008 dans Sheela par Sheela | Lire la suite...

Quand la mer se retire

         Quand la mer se retire, vidant l'estuaire de ses bleus        reste le plomb fondu de la vase grise et molle.         C'est alors que nos frères de plumes et de symboles        écrivent des messages, signés pattes d'oiseaux, ...

Publié le 11/02/2008 dans Laboratoire... par Ariaga | Lire la suite...

... à pic (version 355/430)

    I l semble que je deviens fou du quatorzième Quatuor à cordes de Beethoven. On fait pire comme folie, et d'autres m'ont précédé, je pense. D'autres (folies) m'ont passé. Je les regrette, pierre à pierre. Se dire à chaque instant que le sentier se crevasse, c'était sa démence à lui, et il avançait, non à tâtons, mais à franches enjambées, certain à chaque pas de sentir...

Publié le 11/02/2008 dans ;_ par MuMM | Lire la suite...

MYTHES

De tout temps, les hommes ont cherché à comprendre l'origine de leurs sentiments. Les mythologies, les religions et la philosophie ont tenté d'y répondre, bien avant la psychologie et la psychanalyse. Les héros y vivent des aventures extraordinaires pour donner aux hommes simples des représentations amplifiées de toute la gamme des sentiments. Ces histoires symboliques suscitent,...

Publié le 10/02/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

Edgardo 1992

    À Talence, un soir, m'étant assoupi alors que je m'étais allongé sur le dessus de lit, vers six ou sept heures, afin de réviser un énième chapitre d'histoire, je me réveillai, vers dix heures du soir, au printemps flamboyant, surpris de m'être ainsi laissé aller. Alors, je me levai, engourdi, dans un état de somnolence semi-brumeuse, me préparai une omelette au...

Publié le 10/02/2008 dans ;_ par MuMM | Lire la suite...

1616 - Edgardo Limentani, en suspens

    À peu de choses près, je sais que je tiens surtout ces carnets pour moi. Tant pis pour la vie , écrit Monsieur Songe. Puis il biffe pis . Reste tant pour la vie . Ayant ôté son bonnet, il avait froid à la tête. De plus, la proximité du crucifix, de ce noir cadavre enfumé et encloué, l'intimidait. (Giorgio Bassani. Le Héron . IV, 2. Traduction de...

Publié le 10/02/2008 dans ;_ par MuMM | Lire la suite...

Hardimanche

    I l ôta son chapeau et s'avança doucement. L'oiseau, était-ce un pigeon ou une colombe (elle avait appris qu'il y avait des colombes dans la région), traversa le ciel, sa couleur effacée par le crépuscule. Derrière, il y avait une grange. Des silhouettes de croque-morts qui sortent d'une maison, une nuit pluvieuse, en portant le cercueil de ce pauvre Monsieur Yipe....

Publié le 10/02/2008 dans ;_ par MuMM | Lire la suite...

Bleu insondable

Il réfléchissait beaucoup ces temps-ci. Par petites touches impressionnistes, et le patchwork de ses pensées éparses se recombinait de jour comme de nuit, au détour d'un endroit familier ou d’une rue mal éclairée ; l’assemblage de ses réflexions vagabondes le surprenait toujours à un moment inattendu, lorsque son regard heurtait celui d'une belle inconnue, lorsqu’il surprenait...

Publié le 10/02/2008 dans IN BLog we... par Nikolaz | Lire la suite...

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