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Notes sur le tag : écriture

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Dernières notes

Salon de coiffure

Tous les mois, nous allions chez le coiffeur qui vivait au château. Il me juchait très haut, faisait la moue et se reculait Avant de commencer à s’affairer avec ses ciseaux Autour de mes oreilles aussi sensibles que des sonars. Mes peines D’enfant s’envolaient à mesure que je devenais plus léger. Un film en noir et blanc passait dans ma tête pendant qu’il cisaillait Les mèches qui...

Publié le 20/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

Blogème XXXIV

Tu chemines et, cheminant, te vides lentement dans ton ombre qui se remplit de l’étrange mélasse de ton imagination .

Publié le 20/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

De l'ordure à l'Or

Paroles murmurées à l'oreille de mon coeur par mon ami intérieur le Vieil Alchimiste   Ne te tourmentes pas sans cesse au sujet de tes défauts. C'est à partir de la matière vile fournie par la nature, de la boue, du fumier, de l'ordure que, par de multiples cuissons et distillations on peut obtenir l'Or Philosophique. Il en est de même au sujet de tes défauts. C'est...

Publié le 19/04/2008 dans Laboratoire... par Ariaga | Lire la suite...

Blogème XXXIII

Cela n’a pas de sens d’opposer la littérature et la vie : l’une poursuit l’autre, se confond à elle à travers leurs communes illusions, et inversement celle-ci rentre sans discontinuité dans celle-là pour l’accomplir toute entière. L’une et l’autre toujours au centre de l’inconnu et nous échappant déjà plus loin devant…

Publié le 19/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

Blogème XXXII

La lucidité absolue est le signe qui distingue du commun des mortels les parturientes et certains princes agonisants dont tout le monde tombe d’accord pour dire qu’ils ont été les pires despotes.

Publié le 18/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

D’une esplanade printanière

Je sais qu’il pleut dehors et je vois que pépite Sur la vitre un torrent si furieux qu’il désole Un couple de bouvreuils apeurés qui débitent Un rameau que le vent fait trembler et affole. L’éclair s’est abattu sur un arbre si blanc Qu’on croirait voir la neige osciller vers la vie… Pourtant, il s’est enfui, cet hiver ; mais qu’un van De ciel gis nous disperse...

Publié le 18/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

Blogème XXXI

Ténèbres du verbe – lumière sauvage de la vie. Mais d'où alors vient cette force de recueillement que tu sens dans certains poèmes, mais seulement là, secrètement, comme une profonde mélodie, une basse continue, un ostinato qui avance les yeux grands ouverts entre la douleur du monde et la chute légère d'un chant ?

Publié le 18/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

Blogème XXX

Certains ne sont pour ainsi dire que leur révolte. D’autres que leur soif. D’autres encore semblent descendre jour après jour en leurs plus intimes porosités. Et qui accepterait de se resserrer dans la plénitude de son propre éblouissement ?

Publié le 17/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

À l'automne les roses

Des massifs de roses bariolent ciel et terre Le soleil papillote au-dessus des maisons Longeant d’un pied léger la courbure de l’eau Le temps roule et nous porte et puis creuse son lit. La fleur n’a qu’un printemps pour celer son fourreau Mais nous, nul ne voudrait céder à la froidure Un seul jour ; il faudra bien, pourtant, dire adieu À sa femme, aux amis, à...

Publié le 16/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

L'autre demi qui commence

Eveil calme serein bien dormi café au lit je suis gâté journée grand soleil dehors salle de bains douche vivifiante Je me regarde dans la glace cheveux poivre et sel surprise je ne pensais pas qu'il y en avait autant aurais je un autre regard aujourd'hui ou a-t-elle déjà fait son oeuvre la nuit de passage dans l'autre demi Descente de la colline pas un souffle mer étale au loin en bas en...

Publié le 16/04/2008 dans Les coins... par Xavier | Lire la suite...

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