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Notes sur le tag : écriture

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Dernières notes

LA TETE DE MARIUS RENTRE DANS LA COMMUNE

En novembre 1992, le maire de MURVIEL reçoit une nouvelle surprenante : la tête de Marius serait vendue à la Salle des Ventes parisienne Drouot 6 jours plus tard. Sans hésiter, il informe le Préfet ainsi que le Directeur des Affaires Culturelles et leur demande conseil. Le 4 novembre 1992, Monsieur le Maire lance un appel au secours aux instances départementales et régionales, avec...

Publié le 22/04/2008 dans NORD SUD par elisa | Lire la suite...

VASES COMMUNICANTS

Faire le vide des mots Qui assaillent mon cerveau, Un besoin mais les vases Communicants de la vie A chaque nouvelle phrase Se vident puis se remplissent Comme les fleuves dans leur lit Courent vers la mer et glissent Sans jamais disparaître Les mots ne font que renaître.

Publié le 22/04/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

Blogème XXXVII

Sans en être autrement fier, prends le temps de remarquer les changements qui s’opèrent en toi : les fines peaux qui se détachent, çà et là, de ton dos… les ongles et les cheveux qui poussent, poussent n’importe comment… et enfin ces douleurs articulaires qui ne sont après tout qu'une extension des fils de ton écheveau intérieur...

Publié le 22/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

UNE ESCAPADE A LILLE

Nous partons pour LILLE après avoir quitté mon beau-père. Nous traversons la DEULE et tournons à gauche. Nous nous arrêtons devant un petit immeuble. Nous prenons deux photos de la fenêtre de l'appartement que nous avions loué pendant 2 ans, au début de notre mariage. Nous nous dirigeons ensuite vers les fortifications VAUBAN. Nous essayons de retrouver la Pizzeria où...

Publié le 21/04/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

Blogème XXXVI

Ne sois pas trop prompt toutefois à te dire modeste : il n’y a pas de quoi. Modeste, immodeste, deux versants de la même arrogance, de la même paresse, de la même crédulité.

Publié le 21/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

MOTS D'AMOUR

J'avais écrit des mots De simples mots d'amour Sur un tapis de velours J'avais écrit des mots Quelques petits mots d'amour Pour comprendre cet amour Qui était à sens unique J'attendais un petit déclic Quelques petits mots d'amour Semés pendant les beaux jours Murmurés un soir d'été Semés un après-midi d'été Qui n'en finissait pas Mais de...

Publié le 20/04/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

Matin.

J’ai déjeuné devant mon clavier d’une banane d’un thé et d’un petit peu de muesli sans sucre dans un yaourt au lait entier. J’ai cherché une idée pour une note, pour le blog qui me paye à bloguer. J’ai écris la note. J’ai rempli un lave-vaisselle. J’ai habillé l’enfant : un bas de jogging gris remonté à la taille par ses soins, aux dires de ma fille je ne sais pas faire ça comme il...

Publié le 20/04/2008 dans La lettre de... par mh, | Lire la suite...

Blogème XXXV

Bois sec, bois vert… se permettre d’élaguer, le plus bel éloge à ce qui s’écrit, parce que pour une fois la modestie n’y a nulle part.. .

Publié le 20/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

Salon de coiffure

Tous les mois, nous allions chez le coiffeur qui vivait au château. Il me juchait très haut, faisait la moue et se reculait Avant de commencer à s’affairer avec ses ciseaux Autour de mes oreilles aussi sensibles que des sonars. Mes peines D’enfant s’envolaient à mesure que je devenais plus léger. Un film en noir et blanc passait dans ma tête pendant qu’il cisaillait Les mèches qui...

Publié le 20/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

Blogème XXXIV

Tu chemines et, cheminant, te vides lentement dans ton ombre qui se remplit de l’étrange mélasse de ton imagination .

Publié le 20/04/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

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