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Notes sur le tag : écriture
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Dernières notes
L'ESPRIT NOUVEAU ET LES POETES
Les savants scrutent sans cesse de nouveaux univers qui se découvrent à chaque carrefour de la matière. Le domaine le plus riche, le moins connu étant l'imagination, il n'est pas étonnant que l'on ait réservé le nom de poète à ceux qui cherchent les joies nouvelles qui jalonnent les énormes espaces imaginatifs. Les poètes modernes sont donc des créateurs, des inventeurs et des...
Publié le 18/05/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...
LE VERS, RIVAL DE LA MUSIQUE
Pour VERLAINE, le vers est un rival de la musique, et le poème un foyer de correspondances et d'analogies tout en nuances.
Publié le 18/05/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...
Phrase anodine
"Ces phrases anodines, lieux communs le plus souvent inentendus, acquièrent un autre statut dans le poème. Elles se chargent de toute la misère d'un désarroi, de la force latente d'une plainte jamais prononcée. La note dans le carnet témoigne ainsi d'une attention singulière, d'une générosité au monde, de celles qui font le poète ou l'écrivain. Son transport dans l'espace du livre...
Publié le 18/05/2008 dans Daily Life par kl loth | Lire la suite...
Un 1er mai
J’ai toujours aimé la fleur du muguet. C’est une fleur qui me touche. Est-ce l’aspect fragile des petites boules blanches crénelées accrochées à une tige gracile ? Est-ce ce parfum léger qui embaume les pièces de la maison ? Les deux… Comme tous les ans à...
Publié le 18/05/2008 dans Si l'art... par Alain | Lire la suite...
Mémorial
Ce printemps, je m'ai pas vu fleurir les arbres À peine un peu de blanc suspendu insouciant aux branches Cela s’est fait si vite, en une nuit, comment s’y retrouver ? J’ai tant de peine depuis que tu n’es plus là pour soutenir mon cœur La mort, quelle muette aveugle chose quand elle nous étrangle ! Pourtant, tout semble né une fois encore du mystère Il y a ce pollen semé de...
Publié le 17/05/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...
FOUS RIRES (Le journal de Juliette, lycéenne n° 27)
En cours de géographie, Martine n'est pas contente. Le professeur veut avancer l'heure de son cours à 8 heures du matin. Elle répond déçue : "Oh non ... je serai obligée de me lever tôt !". Tout le monde se met à rire et certains se moquent d'elle ! En cours d'Allemand, la professeur s'assied sur une table juste en face de Gérard au 1er rang. Elle croise ses jambes sous sa jupe courte....
Publié le 17/05/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...
Orage
J’aime ce moment déchainement des éléments martèlement du grain décuplement de l’esprit débridement de la pensée orage pluie battement incessant rythmant le raisonnement tonnerre suivant l’éclair fulguration intransigeante volets battants enivrement de la conscience tourmente du ciel jubilation de la création tonnes d’eau tarissant la sècheresse de l’âme imperceptibilité de l’instant lumière...
Publié le 17/05/2008 dans Les coins... par Xavier | Lire la suite...
Capitaine Courageux
Ayant quitté bien malgré lui le confort et la quiétude d'un port d'attache accueillant, le capitaine d'un navire en perdition crut s'embarquer pour une longue et houleuse traversée dont l'issue était incertaine ; et il prit goût à la solitude des voyageurs au long cours, celle des marins solitaires, celle des vieux loups de mer qui finissent par apprécier davantage le silence des vastes...
Publié le 16/05/2008 dans IN BLog we... par Nikolaz | Lire la suite...
UN NOM
Alfred de VIGNY, Les destinées : J'ai fait illustre un nom qu'on m'a transmis sans gloire. Qu'il soit ancien, qu'importe ? Il n'aura de mémoire Que du jour seulement où mon front l'a porté. LAMARTINE, Un nom : Il est un nom caché dans l'ombre de mon âme, Que j'y lis nuit et jour et qu'aucun oeil n'y voit, Comme un anneau perdu que la main d'une femme...
Publié le 16/05/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...
L'art et le reste
Voici bientôt un an que je n’ai plus écrit le moindre vers. Rien ne coule de source, et pourtant c’est là, tout près, je le sens Ça végète déjà, juste refusé, pour poindre avec le jour, peut-être Est-on maître après tout de ce qui se donne sans se livrer ? Je vois mon père, grand et dur, penché sur son jardin Le pommier est en fleurs, c’est les matins qu’il préfère J’entends ma...
Publié le 15/05/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...
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