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Notes sur le tag : écriture

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Dernières notes

Extrait de NOCTURNES de Albert LOZEAU

O lune, qui ce soir a l'air d'une malade, Lune pâlement bleue, astre cher au nomade, Lampe d'or du poète et soleil des hiboux O lune ! qu'as-tu donc à pleurer comme nous !

Publié le 06/10/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

PATIEMMENT

Je t'ai attendu silencieusement Loin des paillettes alentour Tu m'as attendue patiemment Recherchant des signes d'amour Pas de cinéma entre nous Mais une évidence peu à peu Une chaleur vive entre nous Notre amour n'était pas un jeu Il s'est construit lentement Je t'ai attendu patiemment Le doute frappant à ma porte Avant que le vent ne l'emporte.

Publié le 05/10/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

Otage de soi-même

On peut se retrouver, otage de soi-même, enfermé dans le noir d'un étouffant placard. Mais si derrière la porte, invisible, inconnu, quelqu'un se tient tout contre et parle...Même si le sens échappe, on a déjà moins peur. Ariaga

Publié le 05/10/2008 dans Laboratoire... par Ariaga | Lire la suite...

Faim par milliards

  " ... Quoi de plus important que de sauver les banques, à l'heure où des milliers d'enfants taisent leur faim ? ... " Maryvette Balcou , 30 septembre 2008  

Publié le 05/10/2008 dans Les coins... par Xavier | Lire la suite...

DEJA LE SOIR

Seul. - Le Couchant retient un moment son Quadrige En rayons où le ballet des moucherons danse. Puis, vers les toits fumants de la soupe, il s'afflige... Et c'est le Soir, l'insaisissable confidence. (Jules Laforgue - Les complaintes)

Publié le 04/10/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

L'enfant blond

J'ai bercé l'enfant blond Mais qu'en dira-t-on ? Je lui ai dit des mots Pour calmer ses sanglots En poussant un cri Sa peine il m'a dit Ses larmes ont coulé Contre moi s'est serré Doucement je l'ai bercé Ses sanglots ont cessé Ses yeux se sont fermés Dans un berceau l'ai couché Petit enfant blond Dis, nous nous reverrons ? Petit enfant...

Publié le 04/10/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

Lettre intime

Il y a des matins, au moment de l’éveil, où j’ai envie de te dire que je t’aime. Au sortir des songes, entre l’arôme âcre du café qui passe dans le filtre de la cafetière et le crissement du couteau qui étale le beurre sur le pain grillé, ton image souriante s’invite à mes primes pensées.   Il y a des matins où je m’émerveille devant le globe posé sur le bureau. J’y appose mon...

Publié le 03/10/2008 dans Sheela par Sheela | Lire la suite...

UNE FOULE

Une foule d'hommes, de femmes et d'enfants descend l'avenue. Elle se mêle à la marée humaine qu'elle rencontre et forme un tourbillon à l'entrée du centre commercial. Sans fin, le tourbillon évolue dans un sens ou dans un autre. Le flux ne faiblit qu'à certains points de la place où un musicien se donne en spectacle pour le bonheur de quelques passants ou à l'occasion de rencontres entre...

Publié le 03/10/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

La veuve

Elle va souvent sur la grève Elle regarde les flots grisâtres Et quand la vague se dilate Elle attend encore et encore Que la mer délivre le corps De son amour pas vraiment mort. Et la vague déferle et avance Vide Pour mourir sur le sable Changée en tache humide. On lui dit, vous le portez dans votre coeur. Elle dit, mais où est son corps chaud, où est celle qui se...

Publié le 02/10/2008 dans Laboratoire... par Ariaga | Lire la suite...

LA BOUCLE RETROUVEE

Il retrouve dans sa mémoire La boucle de cheveux châtains T'en souvient-il à n'y point croire De nos deux étranges destins. Du boulevard de la Chapelle Du joli Montmartre et d'Auteuil Je me souviens, murmure-t-elle Du jour où j'ai franchi ton seuil Il y tomba comme un automne La boucle de mon souvenir Et notre destin qui t'étonne Se joint au jour...

Publié le 02/10/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

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