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Notes sur le tag : écriture

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Dernières notes

Le ciel était une panse d'âne gonflée

Toujours le même principe : à partir de la première phrase d'un roman, écrire une nouvelle. « Le ciel était une panse d’âne gonflée qui pendait très bas, menaçante, au-dessus des têtes ». Luis Sepulveda , Le vieux qui lisait des romans d’amour Le ciel était une panse d’âne gonflée qui pendait très bas, menaçante, au-dessus des têtes. Nous marchions en file indienne à découvert et...

Publié le 29/11/2008 dans Des mots en... par olleduc | Lire la suite...

Vue

Ce qu’à Lyon, on appelle une vue n’est accessible que de quelques endroits : des sommets de Fourvière ou de ceux de la colline des canuts. Ces derniers sommets s’édifièrent dans un conglomérat de rues tel que cette vue qu’on déflore, au fur et à mesure qu’on s’élève dans les étages d'un immeuble, ne se peut imaginer lorsqu'on est sur le trottoir, en tous cas si vaste ,...

Publié le 28/11/2008 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

JULES RENARD, tu es sympa...

Voilà deux citations sur le bonheur (dont on a déjà parlé) mais en ces temps de crise, elles prennent plus de valeur. "Le but, c'est d'être heureux. On n'y arrive que lentement. Il y faut une application quotidienne. Quand on l'est, il reste beaucoup à faire : à consoler les autres". "Poil de Carotte, mon ami, renonce au bonheur. Je te préviens, tu ne seras jamais plus heureux que...

Publié le 28/11/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

DANS UN LIT

Le lit est tout le mariage. (Honoré de Balzac, Psychologie du mariage ) Heureux qui peut dormir sans peur et sans remords Dans le lit paternel, massif et vénérable, Où tous les siens sont nés aussi bien qu'ils sont morts. (José Maria de Heredia, Les Trophées ) Je demande à ton lit le lourd sommeil sans songes Planant sous les rideaux inconnus du remords....

Publié le 27/11/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

DEUX CITATIONS

Certains se font de la poésie une idée si vague qu'ils prennent ce vague pour l'idée même de la poésie. (Paul VALERY) La poésie est le possible qui demeure possible, l'attente qui accepte d'attendre. (Michael EDWARDS - L'émerveillement )

Publié le 26/11/2008 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

Le roman, c'est une drogue

"Le roman, c'est une drogue. C'est la liberté totale. Madame de Stael disait : " les romanciers sont plus à nu dans leurs oeuvres de fiction que dans leur autobiographie." Je pense que je parle plus de moi dans mes romans que Christine Angot dans ses autofictions. Comme disait Valère Novarina : "Ce qu'il faut écrire, c'est ce qu'on ne peut pas dire." " Anna Gavalda

Publié le 26/11/2008 dans Des mots en... par olleduc | Lire la suite...

C'EST PARTI !!!

Oui c'est parti pour les achats de fin d'année ! Personnellement, je n'ai encore rien choisi, je réfléchi encore.... Je pense que j'ai tout mon temps d'autant que les cadeaux demandent réflexion. Je ne suis pas encore entrée dans les magasins (à part les supermarchés) où je trouverai certainement ce que je cherche.

Publié le 26/11/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

J.M.G Le Clézio prix Nobel de littérature 2008

  "J'écris pour essayer de savoir qui je suis".   "Les écrivains sont fragiles. Tous les êtres humains sont fragiles, mais les écrviains sont vraiment des petites choses très fragiles qui peuvent se casser facilement... Donc tout ce qui leur donne du soutien, qui leur remonte le moral, est très bon".   J.M.G Le Clézio, prix Nobel de littérature 2008.

Publié le 25/11/2008 dans Des mots en... par olleduc | Lire la suite...

BLESSURE

Chacun de nous a sa blessure : j'ai la mienne. Toujours vive, elle est là, cette blessure ancienne. Elle est là, sous la lettre au papier jaunissant Où l'on peut voir encor des larmes et du sang ! (Edmond ROSTAND, Cyrano de Bergerac )

Publié le 25/11/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

Debout devant l'évier de la cuisine

Toujours le même principe : à partir de la première phrase d'un roman, écrire une nouvelle. « Debout devant l’évier de la cuisine, les yeux fixés sur les robinets de cuivre qui brillaient si loin de lui et sur la goutte d’eau pendue au bout de leur nez, qui grossissait lentement, puis tombait, David prit conscience une fois de plus que ce monde avait été crée sans tenir compte de lui»....

Publié le 24/11/2008 dans Des mots en... par olleduc | Lire la suite...

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