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Notes sur le tag : rêverie
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Dernières notes
L'Impulsion des fantômes
Et, soudain, nos fantômes s'animent, engageant leurs pas dans nos pas, dans des murmures en boucles, qui bouleversent le bel ordonnancement, de la trace, jusqu'à l'obscurité ; et voici qu'apparaît le point élucidé (ainsi intime) de nos paupières closes et méditatives : le négatif (presque) d'une seule de nos minutes......
Publié le 09/02/2012 dans off-shore par nauher | Lire la suite...
”Défets” sur mon lit...
État normal certifié : Un jour je reviendrai à la vie, quand je mourrai. Cette phrase me plait. Elle me va comme un gant de soie recouvrant une main de velours. Allez comprendre. Tout et son contraire font de moi ce qu’ils veulent, et ils en veulent des choses. Des belles, des jolies choses. Celles qui méritent qu’on les écrivent, celles qui méritent d’être lues. Prétention ?...
Publié le 22/12/2011 dans ” L'Art est... par VALERIE BERGMANN | Lire la suite...
Vestiaire d'âme
Souviens-toi ce qu'il y avait d'ivresse, sur la balançoire, à soulever le monde (ainsi s'en détacher, poids mort...) , et d'avoir le ventre retourné d'une presque nausée dans l'instant où tu redescendais vers le sol... Bonheur de printemps, ou d'été... Mais beaux ennuis, aussi, quand tu t'asseyais sur la planche, des heures entières, à ne savoir où donner de ton...
Publié le 24/10/2011 dans off-shore par nauher | Lire la suite...
L'échappée vaine
Je serai l'artisan de mon propre dépaysement JEAN BERTRAND PONTALIS : "Loin" , éditions Gallimard, 1992. Comme le grand voyageur, il a tourné les talons, il s'en est allé seul. "Facile de laisser tout" . Et leur tronches tous derrière, les gens de sa maison qu'il appelait "les miens" , et qui avaient fini par lui ressembler trait pour trait tandis qu'il ne leur ressemblait en rien,...
Publié le 26/09/2011 dans Certains jours par Frasby | Lire la suite...
Schumann, nocturne et lumineux
La première pièce des Fantasiestücke de Schumann, Des Abends , est une demeure silencieuse, dans une rue de Bruges où nul ne passe , la nuit tombée, et dont l'éclairage modeste vient s'apaiser aux vitres épaisses de verres colorés et ronds, comme des culs de bouteilles, sertis dans un treillage de plomb disposé en losanges.
Publié le 18/09/2011 dans off-shore par nauher | Lire la suite...
Vacances 1 : premier jour
Un coin de jardin où seul un arbre mort pointe ses branchages vers un ciel lourd de nuages, vision d’hiver qui introduit un décalage subtil entre la réalité et ce réveil dans une maison inconnue, mais accueillante. Je sortis du lit, impatient de m’éclaircir l’esprit et de humer un contexte nouveau. Après m’être fait une tasse de café, je m’installais dans le jardin, sous ce ciel...
Publié le 31/08/2011 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...
Où vont les feuilles ?
Un rêveur uni à la vie des songes interroge l'insignifiant. On réunirait aisément des documents sur l'anxiété subtile des feuilles mortes. Mais puisque celles-ci ne sont pas encore mortes, Permettez que je vous les cueille avant que d'autres ne les rechantent. Nota : Comme on ne peut répondre à la question, sans d'abord se demander "où vont les...
Publié le 24/08/2011 dans Certains jours par Frasby | Lire la suite...
Pluie et divagations
Eau, pleine, grasse, qui tombe du ciel et des arbres jusque dans le cou et chatouille les idées jusqu'à vous contraindre à écrire (n'importe quoi). C'est un jour de matinée au lit, dans le lit, sur le lit, ventousé entre les draps, l'appareil à images sur genoux, les mains sur le clavier, la tête dans les jambes pour mieux réfléchir à rien. Quelle journée épuisante, rien à faire, rien...
Publié le 07/08/2011 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...
La nuit venue
Tout ne revêt-t-il pas, dans ce qui nous exalte, les couleurs de la nuit ? C'est elle, maternelle, qui te porte, et tu lui dois ton entière splendeur. Tu te serais dissipée en toi-même, perdue dans l'espace sans fin, si tu n'avais été par elle contenue, enserrée en ses liens pour devenir chaleur et faire, en flamboyant, naître le monde. NOVALIS (1772-1801) : "Hymnes à la nuit" , éditions...
Publié le 01/08/2011 dans Certains jours par Frasby | Lire la suite...
Retenue
La vérité ne peut presque jamais se dire quand il s'agit d'êtres humains, car elle ne peut engendrer que douleur, tristesse et destruction. ERNESTO SABATO : (24 Juin 1911- 30 Avril 2011 ) extr."Alejandra" (1961), éditions du Seuil (Point) 1982. Pour voler plus haut et plus loin. Il suffit de bousculer un peu les oiseaux . Toutes ces choses qu'on devine, brûlent la langue. Des...
Publié le 30/04/2011 dans Certains jours par Frasby | Lire la suite...
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