Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Créez votre blog gratuit ou pro

Je crée mon blog Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère

Notes sur le tag : poésie

Tags relatifs

Dernières notes

amitiés à la crémone

À recompter mes doigts, étonné comme un singe apeuré dans la nuit bruissant les incongrus d'une jungle à tâtons, aux odeurs inconnues j'avisais la fenêtre aux seins couverts de linge   M e serais-je endormi dans ce lieu étranger sans avoir calculé l'entrée ni la retraite ? Je ne veux pas bouger, priant que tout s'émiette et me rende bientôt à ma tendre forêt   I l me...

Publié le 24/12/2013 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

Ma minute à moi !

Nous reproduisons ci-dessous un poème de Bubune, le versificateur qui tire la sonnette d'alarme en écrivant des sornettes qui nous charment. Ma minute à moi !      A tous les idiots qui singent Qui lâchement provoquent Le cul sur leurs sales linges Qu'ils sachent que nous faisons bloc Vous n'êtes qu'immondes créatures D' humains vous n'avez que l'apparence...

Publié le 22/12/2013 dans L'AN VERT de... par lanvert | Lire la suite...

Barcarolle 2013

D e ciels sans fin, les feux miroitent sur les ondes Deux voix seules au monde - enfin, et sans faconde ! et disant tout le bien de pouvoir célébrer l'une l'autre, la fin si longtemps espérée : la belle nuit d'amour   U n parfum de jasmin ajoute à leur ivresse transporte cette liesse loin des sombres bassesses qu'un nain fomente, à terre, en versant plus...

Publié le 22/12/2013 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

vertige urbain

A u reste, moins furtive et bien plus prometteuse qu'au dépourvu le geste offre une chair à prendre la ville, où tu disais vivre sans plus m'attendre crâne, m'éblouissait d'œillades aguicheuses   B ientôt, j'embrasserai des ombres nyctalopes l'uniforme clameur aux multiples accents à prétendre que non, mais seul, et t'espérant et balançant ton nom pour un sou... pour un clope......

Publié le 22/12/2013 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

adage

(Quand je ne te verrai plus)     Au rire singulier que tu lances dans l'air où, charnelle, roucoule une joie impromptue prodige de bienfaits pourtant involontaire à cet éclat subit, je t'aurai reconnue   À ce parfum léger que ta nuque dispense et que ta chevelure embarque dans ses flots mêlant, par alchimie, l'odeur et la fragrance je saurai que je viens à présent...

Publié le 22/12/2013 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

Ni queue, ni tête

Prends-tu tes jambes à ton cou Lorsque le vers est dans la pomme ? Te rinces-tu la dalle et joues-tu des coudes Après avoir avalé des couleuvres ? Du haut de ta tour d’ivoire Tu comptes les tenants et aboutissants Et, je te le donne en mille, Tu n’es pourtant pas né de la dernière pluie Ton cœur d’artichaut, peu m’en chaut ! Les doigts dans le nez et fier comme un pou,...

Publié le 22/12/2013 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Chant sans titre du 22 décembre

Tu restes sans voix devant le pouvoir de cette Parodie, Les rues enguirlandées, les caddies emplis, Les rubans et les nœuds, L’air féroce d’une enfant de six ans devant des piles de jouets, Et celui, comme mort déjà, de ses parents, Leur main au porte-monnaie. Tu te souviens de la pénombre, moisie et bienveillante, d'une chapelle, De la silhouette d’un antique...

Publié le 22/12/2013 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

Totalité

Elle est elle, elle est lui, amour de sa vie, parti sur un autre plan de conscience. Elle est lui, cet homme sans nom dont elle ramasse le regard perdu. Elle est elle, cette femme sourire qui verse du miel sur les brûlures. Elle est l'enfant larmes et rires. Elle est l'animal dont les membres se brisent sur le chemin de l'abattoir. Elle est le chat bien nourri ronron sur canapé....

Publié le 21/12/2013 dans Laboratoire... par Ariaga | Lire la suite...

Caroline Sagot-Duvauroux, Köszönöm

Problème. Écrire convient-il à la poésie, il y a tant de poèmes et tous à crans de tourbillon. Si écrire convenait au poème, un suffirait, un de chaque. La pièce s’ajusterait comme s’ajustent la Critique de la raison pure ou le Parménide à leur propos. Et ça n’est pas parce qu’il y a mille façons d’aimer qu’un poème d’amour ne suffit pas. D’ailleurs on sait qu’il n’y a pas mille façons...

Publié le 19/12/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Tout est là !

Tout est là ! Mais que te manque-t-il ? Le sang bat dans tes veines La conceptualisation prolifère Le mollet reste fier Le cœur pleure à tout va Tu t’émeus de rien Tu ris de tout Tu souris de peu Tu exploses d’émotion Sans savoir pourquoi Ainsi va le monde A fleur de peau A rebrousse poil Dans la chair de poule... Quels bruits pour si peu ! Silence, on...

Publié le 18/12/2013 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Page : Précédent 331 332 333 334 335 336 337 338 339 Suivant