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Notes sur le tag : poésie

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Dernières notes

Île de Ré

Île de Ré, île dorée, île leurrée Chahutée par les vagues de l’opprobre Elle valse entre ses rêves et dérive sans vergogne Rien ne nous fera oublier ces étés mérités Ni la raison ni le souvenir des coques s’entrechoquant Ni même les cris des maraîchers sur les marchés La marée monte et descend à satiété Vous emprisonnant dans sa ronde infernale Qui joue à cloche-pied entre le...

Publié le 01/05/2016 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Du train soudain

Du train soudain le golfe à la vue s'offre la mer étale d'argent sans une ride à l'horizon s'unit au ciel de nuages gris et cette lumière qui irradie  la baie et cette lumière qui irradie l'océan elle est je crois semblable à celle qui caressait ton corps nu...

Publié le 30/04/2016 dans MB&P : Music... par Play B | Lire la suite...

Echelle de valeurs

Arabesques en julienne Ah, tiens ? Je marche en corps… C’est malin; pas nouveau… C’est touchante attention… Ça gratte un brin au fond, mais c’est de l’eau bénite ! Je marche un peu plus vite… Bon, il m’en reste encore - fèves dans mes gâteaux, quelques cartons d’invites… Aussi, vais-je bon train promener Mon Bon Chien à la queue qui s’agite loin des plains quotidiens...

Publié le 30/04/2016 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

Jacques JOUET : IMPÉRIALISME de l’ÉCONOMIQUE

  La poésie aime à dire qu’elle résiste à l’impérialisme de l’économique, puisque nul n’ose plus dire qu’il résiste à l’économie de l’impérialisme, mais si ce vœu de pauvreté, qui fait doucement marrer l’économat, la cantonne dans le commerce éthéré franciscain avec les piafs ou les « lumpen-volatiles » que sont les pigeons de ville selon Italo Calvino ou d’ailleurs...

Publié le 28/04/2016 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...

Chipmunk blues

Je marche, dans les pas nouveaux chemins du soir Je m'en raconte - des histoires ! Je m'en berce... J'ai fini, quelque part, un tonneau mis en perce Je rentre - et content ! lissant, du pavé, la moire Un nom me revient à l'esprit, et ça me navre Eh, purée ! Vas-tu bientôt finir par descendre A la cave ! Allez, hop ! Là, dans mon seau de cendres Quel fut ton prix ? Ah, ça ! Moins chargé...

Publié le 28/04/2016 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

Une sage lenteur...

Une sage lenteur a raison de la hâte.   Theognis de Mégare, poète grec VIème siècle avant J.-C. (cité par La Croix, 26-04-16) en légende d’une photographie (Marathon de Londres du 24-04 : sur le sol l’inscription « slow »…). ... J’aime que les journaux citent des bribes de poèmes, et j’aime que les exergues tissent des parcours de lecture en marge des livres, y...

Publié le 26/04/2016 dans Trames nomades par MCSJuan | Lire la suite...

Jacques JOUET : OHÉ LA POÉSIE

  Au coeur des mots poésie, poète et poème, comme au coeur aussi d’ailleurs du mot théâtre, il y a un hiatus « ohé ! » ou « ohè » où la bouche bée son vide en crachant du plein. Donc le mot ressemble assez à ce que je cherche à lui faire dire, encore que le vomissement des deux voyelles enchaînées poaaaîîîme puisse n’échapper pas à quelque ridicule,...

Publié le 26/04/2016 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...

spore en chambre

La chambre bat son plain dans la lumière fauve au creux de la poitrine encombrée de guimauve Tu connais le refrain; j'en récris les couplets une once d'elle, fine, encore à mon chevet Le regard a son prix quand la ville est tant chaire et je ne puis tirer les rideaux là-dessus... Trop secs ! Trop poussiéreux ! Pas bleus, mes yeux sont nus À mon front débordé, j'ai cousu les paupières Dormir...

Publié le 25/04/2016 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

Concision 55

Première tulipe Rouge comme sang séché Elle veille solitaire.  

Publié le 24/04/2016 dans MB&P : Music... par Play B | Lire la suite...

craie dense

Tandis que l'œil enfant sombre, sentimental dans la pierre de Caen prodiguant ses grands soirs au dernier des passants courbé sur ses avoirs des murs, face au ponant, le plus bel or s'étale La chanson du vent d'ouest entame son refrein vers les plis fatigués du plus lointain des mers avec, dans son retrait, des nuages moins fer laissant le ciel ouvert, après tant de chagrin Quelques marches...

Publié le 23/04/2016 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

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