Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Créez votre blog gratuit ou pro

Je crée mon blog Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère

Notes sur le tag : poésie

Tags relatifs

Dernières notes

Dimanche des Rameaux

Un cri de détresse, dans le noir, à la nuit Un seul. Il l’entendit et écouta, encore Des entrailles de la terre, il montait De toute part, assourdi par l’épaisseur : Sauve, sauve-moi, sauve-nous ! Quel impératif ! Le cri sort du ventre Ils ne veulent rien demander, rien… Et pourtant, cela vient à leurs lèvres Ces gémissements du cœur Ils ne peuvent les contenir Ils...

Publié le 25/03/2018 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

SEPTEMBRE

Ses cheveux blonds Couleur de paille Sa robe blanche Comme la lune Ondulaient au vent. (07.08.16).    

Publié le 24/03/2018 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

Demain

Demain est toujours un meilleur jour Même les lendemains de fête sont auréolés D’une vigueur implacable d’espérance Les questionnements sont multiples Et la première question est celle de la survie : Verrai-je encore le jour, ce lendemain si proche ? Elle s’efforçait de ne plus penser à ce futur Vers lequel elle tombait inexorablement Entraînée par le poids de ses fautes...

Publié le 23/03/2018 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

Le dimanche de la solitude

Froid ! Le dimanche de la solitude s’étouffe Marron, vert, qui va-là ? Un canard court sur sa jupe Pour voir la nuit se lever au matin Je cherche une barre pour glisser sur une main Gel, froid ! Glace rompue sans ou pied de corne Qui cherche la fraîcheur d’une herbe blanche Courre,     Saute,         Courre, Là, là, arrêtes,...

Publié le 18/03/2018 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

pulsations (épiglogue)

P lus que je ne l'attends, je l'espère tel un rêve inassouvi l'âme piquée à la boutonnière sur la lèvre un autre pli U rgence impromptue gonflant ma voile j'aspire à ce souffle étrange que prodigue sa voix cérébrale dans de sublimes échanges L a prochaine fois qu'elle sourit je veux en être, instamment ! sentir frétiller entre nos cils à connaître de nos sangs S 'il est un jour qui...

Publié le 16/03/2018 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

Je m'invite, ce soir, à la table de dieu...

J e m'invite, ce soir, à la table de dieu le cheveu éléctrique et l'âme labourée sans foi, salamalecs ni carton véhipé pour lui dire mon fait et lui cracher mon feu E lle est belle, sa table ! Elle ferait envie à ma meilleure amie, ma pensée douce et tendre... En repartant d'ici, j'aurai de quoi répandre mon opportun butin sur de bien frêles vies R igole, mon mignon ! Triste vendeur...

Publié le 16/03/2018 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

APRES L'ORAGE

Le temps fait Ce qui lui plait Jours de pluie Jours de soleil Les paysages Ne sont pas pareils Après l'orage Plus de bruit La nature se remet Et fait des projets. (le 17.09.16)

Publié le 11/03/2018 dans depoésiesenp... par Elisabeth LEROY | Lire la suite...

L’œil

L’œil est le fond de l’âme, On y admire la pointe de l’humain. Il peut être un soleil chaleureux, Une lune chafouine, une étoile scintillante, Ou même un trou noir aspirant les regards… De braise, certains le portent, De jais, il roucoule tendrement, Noisette, il sort des bois, croquant, Vairon, l’âme boite dans son logement. C’est le monde vu de l’œil-de-bœuf. Seul, l’œil...

Publié le 10/03/2018 dans Regards sur... par galavent | Lire la suite...

SI TU AIMES LA PLUIE

Si tu aimes la pluie Alors tu aimes Mars Tout au fond de ton puits Tu crois à une farce Des pluies abondantes Et la peur te hante De voir tant de flaques Tu deviens patraque Les nuages cèdent Le soleil remède Te couvre de bonté Finie l'austérité.  

Publié le 09/03/2018 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...

MON PRINTEMPS DE LA POÉSIE 6/7

LIVRE TRADUIT D'UN PUR DE LANGUE VI   Avec le moi d’ici, en remettant le temps d’avant qui se déchire, je t’ai refait le déroulé, le temps d’avoir du sens, comme un sas de vent avant soi la cassure.   Tout mon secret, la rue d’après, le venin vite, tout le support, ça fait confort.   Le noir de corps frappe au décor. La...

Publié le 09/03/2018 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...

Page : Précédent 120 121 122 123 124 125 126 127 128 Suivant