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Notes sur le tag : nouvelle
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Dernières notes
Pour saluer la rentrée littéraire (2)
Si j’écris un roman, il faut bien qu’il ressemble à un roman. J’évacue de suite toute velléité d’imiter de grands anciens : sans même compter que leur lecture demande un effort disproportionné au plaisir qu’ils procurent, ils sont loin de mon goût et hors de ma portée ; aussi bien le résultat ferait vieillot – c’est du moins ce que je crois, à tort...
Publié le 29/08/2012 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...
Pour saluer la rentrée littéraire
Il se peut qu’un jeune homme dont le sens esthétique commence à se développer trouve, par exemple, qu’un pavillon de banlieue, même à peu près fonctionnel, est moche et mal foutu. Ce jugement ne fera pas pour autant qu’il est devenu Gaud í. S’il entame pourtant des études d’architecture, et qu’il y étudie les grands maîtres, il risque tout de même de finir...
Publié le 23/08/2012 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...
Report à nouveau
Fait divers, photo perso J’avais écrit un billet court, parfait, d’une seule phrase ; je lui avais péniblement trouvé une illustration sans rapport ; au moment de lui trouver son titre, je butai et m’éveillai dans la fraîcheur du sud profond, devant moi la journée belle et lente comme un cauchemar doucereux. ...
Publié le 19/08/2012 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...
Edification républicaine
(Pardon pour la photo, sans rapport au fond avec le billet qui suit, mais quand j’ai lu quelque part que le cliché original montrant le 67 ème co-prince d’Andorre, accessoirement administrateur en chef du Bronzeculand France (ex-République française), flanqué de sa concubine officielle du moment, cette dernière l’aidant ici manifestement à surmonter sa peur de l’eau…...
Publié le 15/08/2012 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...
Graphomanie
Il convenait facilement, trois cents ans après le tardif La Bruyère, qu’il ne restait plus rien à écrire. Il se demandait benoîtement pourquoi c’était encore ainsi aujourd’hui. Et puis il se mettait à raconter sa vie.
Publié le 08/08/2012 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...
La dernière digue
Crédits photographiques : Benoît Stitchelbaut Egarée dans ses propres rêves, elle se sentait aspirée à l’envers de sa vie confortable et normée, saisie de désirs impérieux et charnels qu’elle s’interdirait toujours de réaliser – condition même pour qu’elle se les pût offrir si consciemment – et qu’elle laissait vagabonder à loisir. Le vendredi, jour...
Publié le 02/08/2012 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...
Sommeil
Les généralités sont fausses et les particularités ne rendent pas compte de l'ensemble, murmura-t-il à la jeune femme endormie. Quant à ce qu'on voudrait dire, on n'y arrive pas et personne ne comprend rien ni ne veut écouter. C'est quand même bizarre de parler, songea-t-il en sombrant à son tour. Il rêva qu'il se mettait par réaction à écrire des choses qui ne présentaient plus le...
Publié le 29/07/2012 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...
Un aventurier
Il avait l’impression de dilater et diluer en une boursouflure d’ennui pesant une page quelconque et pourtant si précieuse d’un magazine féminin prétendant expliquer aux bonnes gens, d’un tournemain aussi définitif que gracile, l’entière psychologie des profondeurs ; il n’en était pourtant qu’aux premières pages de son roman – cela faisait bien trente...
Publié le 22/07/2012 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...
Déroutantes et immuables dislocations
Jean Burgos, Anamorphoses , Éditions Calliopées, 2012 Jean Burgos, spécialiste de l’imaginaire en littérature, aurait pu se contenter (si l'on peut dire) de ses brillantes publications universitaires. Avec ce recueil, il va au-delà, puisque c’est sa propre imagination qu’il sollicite, laissant de côté sans les renier les éléments théoriques qu’il a développés dans ses...
Publié le 13/07/2012 dans Notes et... par Jean-Pierre Longre | Lire la suite...
Stèle
Jean Léon Gérôme, La Vérité sortant du puits armée de son martinet pour châtier l'humanité, 1896 – M ontre-moi ton cadavre , je te dirai qui tu es. Hurlait la suite des siècles jusqu’à lui. La goule était devant, terrible, terriblement aimante.
Publié le 09/07/2012 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...
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