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Notes sur le tag : claudel
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Dernières notes
Entre les arbres de Cézanne
Rais de lumière entre les arbres de Cézanne Extraits de « Eloge de l’Infini » Par valérie bergmann - 22/08/2007 lien permanent actualiser page Je pense avant de commencer à être celui qui pense : « Je suis. » Sinon, moi serait un autre, et Je suis précisément, non pas moi mais cet autre. [Rimbaud :] « Cela m’est...
Publié le 25/09/2007 dans ” L'Art est... par VALERIE BERGMANN | Lire la suite...
4 septembre :
Je vous donne donc rendez-vous à la Sainte Table pour la Pentecôte. Il faut vous enfourner au confessionnal. Pauvre garçon ! C'est dur, mais enfin pas plus que pour les autres. Les camarades y sont passé. Pas de respect humain, Jacques Rivière ! Paul Claudel, "Lettre à Jacques Rivière", 3 mars 1907, dans Toi, qui es-tu ? (Tu, qui es ?) , Paris, 1941, p. 25.
Publié le 04/09/2007 dans Dominique Le... par gonfalonniere | Lire la suite...
Créationnisme (10)
Pas de Bloy, en dehors d’une anthologie qui non seulement “tronque” les textes, mais encore ne présente pas les meilleurs - une anthologie de Jésuites ? Bloy ne se déguste pas par petits tronçons de phrases comme les grands moralistes français, La Bruyère ou La Rochefoucauld. L’Âme de Napoléon , cité notamment dans cette anthologie, ça n’a pas très bien vieilli. Si un Allemand aujourd’hui...
Publié le 31/08/2007 dans Lapinos par Xavier JASSU | Lire la suite...
L'invitation
L’été dernier, il avait fait très chaud et cela m’avait beaucoup gêné dans mon travail. Au bout de quelques minutes, je ruisselais de sueur et mes membres devenaient de plomb. Aussi ai-je prié cette année pour avoir le temps le plus froid possible. * Depuis trois semaines, je résiste à l’invitation d’un pote à venir me reposer auprès de lui dans la montagne. Ce matin, je cède à la tentation...
Publié le 27/08/2007 dans Lapinos par Xavier JASSU | Lire la suite...
Des choses cachées...
" Je dirai, puisque tu le veux, la rose. Qu'est-ce que la rose? Ô rose ! Eh quoi ! Lorsque nous respirons cette odeur qui fait vivre les dieux, n'arriverons-nous qu'à ce petit cœur insubsistant qui, dès qu'on le saisit entre ses doigts, s'effeuille et fond, comme d'une chair sur elle-même toute en son propre baiser mille fois resserrée et repliée? Ah, je vous le dis, ce n'est point la...
Publié le 14/09/2006 dans Un Soir Ou... par guy | Lire la suite...
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